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Prénom: Cedric
Nom: Forest
Surnom: Soul Breaker
Âge: 20 ans
Sexe: Masculin
Orientation Sexuelle: Hétérosexuel
"Groupe": À l'institut
Nombres d'années depuis arrivée: Quelques jours à peine
Description physique: Ses longs cheveux noirs volent en bataille au dessus de ses épaules larges. Sous cette crinière, sa peau pâle, montrant sa vie plutôt nocturne, contraste parfaitement. Malgré ses 6" il parait plus grand car il est très mince. Ses yeux bleu azur sont souvent de marbre, ne dévoilant qu'une petite partit des émotions qui l'anime.
Description psychologique: Depuis qu'il a onze ans, Cedric erre, dans les rues sombres, en faisant ce qu'il peut pour survivre. Il n'aime pas être avec quelqu'un, cela le met mal à l'aise, il préfère donc la solitude. Parler de sa vie le dégoûte et entendre les autres en parler l'irrite encore plus. Pour lui, la vie est une immense perte de temps, mais, sans savoir pourquoi, il y tient beaucoup. Il ne sourit plus depuis longtemps et n'a vraiment pas une très grande estime de soit. Bien qu'il fut maltraité par les hommes normaux, Cedric ne semble pas leur en vouloir plus que les autres mutants qui ont eux aussi subit des rejets autant et même plus grave que le sien.
Qualités: Il abandonne rarement, il est fiable et ne parle jamais pour rien dire.
Défauts: Très téméraire, impatient et assez indépendant.
Peurs: Il se méfit beaucoup des inconnus et a peur d'être enfermé.
Particularités:
Talents: Il dessine très bien et joue de la base.
Pouvoirs: Prison mental
Description de la mutation: Il enferme l'esprit des gens dans leur propre corps pendant un certain laps de temps (dépendamment de l'énergie qu'il lui reste et de la puissance de l'autre). Dans le fond c'est comme paralyser quelqu'un. La personne ne peut plus parler, bouger et reste dans le noir de son âme. Cedric doit avoir un contact physique entre ses mains et le front de la victime.
Point faible: Le pouvoir reste inactif si le contact physique ne se fait pas. Un bon télépathe peut réveiller, avec un peu d'effort, la victime du pouvoir.
Limite d'énergie: Il peut aisément neutraliser un humain normal, a quelques difficulté avec les mutants et beaucoup de difficulté avec les télépathes. Après une dizaine d'utilisations par jour (12 heures), il se fatigue et cela peut le mener à l'inconscience. Sur des mutants le chiffre descend à six utilisations. Sur un humain, le pouvoir peut durer de 10 à 20 minutes et sur un mutant, de 5 à 10 minutes.
Histoire: Dans cette salle qui était trop propre à son goût, la lumière doré pénétrait par les fenêtres et emprisonnait dans la pièce un calme déconcertant. Le planché lustré, les tapis droits, les plantes toutes placé à intervalle régulier donnaient à cette pièce une trop grande constance qui mettait le jeune homme plus mal à l'aise qu'il ne l'était déjà.
L'homme devant lui, bien que jeune, arborait des traits de sagesse, mais aussi sévère. Cet homme, trop curieux selon lui, devait sûrement occuper un rang important dans cet établissement, mais pourtant Cedric n'était pas très impressionné. Les yeux presque vident d'émotions du jeune homme fixèrent un instant le noir au fond des iris de son interlocuteur. Les questions qu'il lui posait, dévoilaient des parties de son passé qu'il espérait pouvoir oublier. Il n'aimait pas en dire trop sur lui-même, mais il semblait qu'il devait faire une exception...pour cette fois.
-Toute l'histoire de ma vie m'a mené impérativement ici, commença-t-il sans trop de presse . Tout cela à commencer à ma naissance, mais les conséquences ne sont apparut que bien plus tard, à l'âge de onze ans. Ma vie n'est pas une histoire triste, mais n'est pas très joyeuse non plus. J'ai vécu dans l'ombre d'un frère mort à l'âge de quatorze ans. On attendait de moi que je sois aussi parfait, aussi intelligent que lui, mais toutes ces paroles qu'on me disait, qui me poussaient à devenir cette personne qui n'était pas moi, m'entraînaient, irrémédiablement, vers l'anti-thèse de celui-ci. J'ai été seul, je suis seul et je le resterai. Personne ne s'est occupé de moi, personne ne m'a aimé comme des parents et personne n'a voulut de moi comme ami. Et ce, avant même d'avoir découvert mon don, ou, devrais-je dire, ma malédiction. Une damnation au yeux de certain, une fatalité au yeux des autres. Cette punition m'est apparu, à onze ans, pendant que je recevais le cinquième coups de poing de la récréation, dans la cour de ce lieu qu'on appel école et que je nomme enfer. J'ai prié, oh oui, prié dieu pour que cela cesse, prié Mari pour me donner courage, et, surtout, j'ai supplié qu'on arrête. Une simple dispute, avait déclanché une réaction en chaîne qui menait à cela. Et alors c'est arrivé, alors que j'essayais de détourner le regard de mon bourreau. La colère, la rage, le mépris, le désespoir, tout y passa, toutes les raisons étaient bonnes pour retourner à l’autre ce qu’il m’avait fait. La force était-elle que le jeune du rester plusieurs semaines à ce remettre. La foudre, ou ce choc qui m'a touché après, ce n'était pas l'émotion, mais la première pierre. Non, on ne me craignait pas, j'était à leurs yeux, maintenant, un démon à éliminer. Je me suis enfui de ce lieu qui me hante encore. J'ai courut, sans m'arrêter, j'ai continué encore et toujours, jusqu'à être chez moi. Dans ce monde, j'étais tombé bien bas et encore, ce n'était qu'un début...La suite, bien que courte, ma marqué à jamais. En quelques instants, mes propres parents, ceux qui m'ont donné la vie, ceux qui m'ont consacré du temps, mes surtout de l'argent, m'ont jeté dehors, mon père me criant dessus et ma mère pleurant et demandant pourquoi autant de malheur était tombé sur elle. Ils n'avaient pas peur de moi, ils avaient hontes. Honte d'avoir mit au monde un monstre, honte d'avoir pensé l'aimer. Dans ce monde obscur, ma vie ne tenait qu'à un fil, mais ce fil, je l’entretenais. J'ai du voler et piller nourriture et argent. J'ai menacé et paralyser des gens, des marchands, des vendeurs - pourtant innocent - pour pouvoir me nourrir. La victime voyait un éclair bleu puis tombait dans un puit noir et ombrageux pendant un moment. J'ai regretté ces gestes sauvages, presque barbares. Je me poussais moi-même à commettre ces actes, alors que par dessus tout je voulais vivre libre. Toute cette histoire m'a mené à votre...école qui, à ce qu'on m'a dit, accueil les... il allait dire monstre, mais se reprit à temps...mutants.
Cedric reprit son souffle et posa un regard grave sur l'homme en face de lui.
-J'aimerais faire parti des élèves de cette institut, [b] dit-il en pesant ses mots , pour apprendre à mieux maîtriser mon pouvoir et à assurer un avenir libre entre les mutants et les humains.
L'entretient continua ainsi pendant une heure encore. Le soleil illuminait les motifs d'un tapis que Cedric regardait comme s'il lui trouvait quelque chose d'intéressant, lorsque l’homme devant lui, lui dit qu'il pouvait rester, à condition d'assister aux cours. Le prix valait-il la peine pour un hébergement gratuit tout comprit sans être rejeté par tout le monde. Oui, évidemment! Oh moins je pourrai dormir sous un toit. Il bredouilla un "merci" à l'homme et sortit en refermant la porte derrière lui
Note(s): Cela ne me dérange pas d'avoir un lien avec quelqu'un.
