Maison des Christopher

Alors que Marshall rangeait les documents dans son bureau, Cézanne avait eu une conversation plutot mouvementé avec sa mère. Alfred n'eut donc pas à attendre très longtemps avant que la porte ne s'ouvre sur sa femme, encore dans sa petite robe bleu. Elle ne pu s'empêcher de remarquer la rougeur d'Alfred et sa prmière réaction fut de s'avancer près de lui et de mettre son poignet sur son front pour prendre la température. Cézanne passa de l'inquiétude à la gène en une fraction de seconde.

Mais que'est-ce que je fais... c'est évident qu'il ne fait pas de fièvre! pensa la docteur en se reculant légèrement.

En fait, grace à son pouvoir, maintenant elle en était sur.  

-C'est rare que tu cognes à la porte... fut la seule chose qu'elle trouva à dire en se détournant pour retourner dans sa chambre.

Évidemment qu'il cogne à la porte! Idiote...il va pas passer au travers avec mes parents dans la même maison! Ça va pas du tout... Pourquoi je suis aussi gêné! Ce n'est pas comme si je n'avais jamais été aussi proche de lui! J'ai... fait bien pire que seulement le toucher avec mon poignet! pensa-t-elle rageuse.

Elle vira au cramoisie en ce rappellant qu'elle avait été nue sous la douche avec son fiancé quelques heures plus tot, même si ça n'avait été que quelques secondes. Heureusement, avec le peu de lumière dans la pièce et le fait qu'elle n'était plus face à Alfred, ce dernier aurait bien de la difficulté à remarquer son changement de couleur. Elle se dirigea vers sa petite table de nuit ou elle avait déposé son téléphone, laissant ainsi la porte grande ouverte pour qu'Alfred puisse entré.

-J'imagine que la discussion avec mon père a bien été? demanda Heallya sur un ton chaleureux.

La question était plutot réthorique. Cézanne semblait tendu et elle n'arrivait pas à regarder Aqua en face. Elle prit son cellulaire et composa plusieurs messages textes. C'était une façon simple de ne pas avoir à regarder autre chose sans avoir l'aire de faire de l'évitement.

Alfred eu un petit frisson au contact de de Cézanne. Lorsqu’elle se détourna de lui Alfred ne put voir son profil puis ses joues devenir un peu rosé suis au contact. Par contre il n’y porta pas attention, car devant lui était le profil de la plus belle des femmes. Durant un instant il se perdu dans le moment.

Magnifique... Était la seule pensé de Alfred avant que Cézanne le ramène sur terre avec ses questions, il entra alors et ferma la porte derrière lui.

Oh! Je me suis dis que c’était mieux de cogner dans les circonstances… Je n’aurais pas voulu expliquer des cris venant de la chambre à tes parents Tout en parlant Alfred se dirigea vers l’un des fauteuils de la chambre et enleva son veston nonchalamment et le lança sur celui ci avant de se retourner vers Cézanne qui était en train de devenir de plus en plus cramoisie en tentant de regarder son cellulaire.

Oh ? Le look de Cézanne en ce moment donna une très mauvaise idée à Alfred, il se dirigea vers Cézanne mais s'arrêta devant le bureau qui était juste devant elle, clairement dans son champs de vision même si elle regardait son cell, Alfred se plaça à moitié debout, à moitié assis sur le bureau. Il avait déjà quelques verres dans le corps et se sentait un peu joueur. Il se plaça alors confortablement, s’assurant d’avoir un bon éclairage et la posture requise pour la suite.

La discussion a bien été, elle c’est terminé par une poignée de main et ton père qui me souhaitait la bienvenue dans la famille. Je crois que c’est un bon signe.   Pendant qu’il parlait, Alfred commença à déboutonner tranquillement sa chemise, clairement à un rythme volontairement lent, sa voix était douce et sur un ton plutôt bas.

Ce fut une bonne discussion. Je crois que nous avons des affinités lui et moi. C’est une bonne personne. Il t’aime beaucoup, clairement Alfred avait un ton un peu émotif, et pendant qu’il avait dit la dernière phrase son regard avait quitter Cézanne pour balayer la chambre puis se posé sur la fenêtre. Il était à mi-chemin dans son processus, clairement en angle pour que Cézanne le remarque du coin du regard.

Et de ton côté ? Comment a été la suite avec ta mère ? Un bouton de plus y passa.

Alfred se doutait bien que les deux avait dû parler intensément durant l'absence des deux hommes.

Cézanne hocha la tête tranquillement aux réponses d'Alfred pour montrer que, malgré qu'elle était sur son téléphone, elle l'écoutait. Elle vit très bien son fiancé commencé à déboutonné sa chemise, mais elle essaya très fort de ne pas rougir d'avantage.
Oh... Hello sexy...
Respire... Expire... Tu peux y arriver. Il essaie de jouer avec toi, comme d'habitude. C'est juste que la, t'es trop consciente de toi. Relaxe. C'est pas comme s'il allait poussé le jeu trop loin non plus... alors relaxe! s'ordonna la docteur.
Ouais... c'est ça! Relaxe! Tu peux aussi aller l'aider... C'est un jolie spectacle.
La femme redéposa son cellulaire sur la table, puis regarda Aqua avec un sourire ravie.
...
-Je suis heureuse que mon père t'aime bien! Ma mère aussi d'ailleur... De mon coté, elle m'a passé un savon! Je me suis faite engueuler comme du poisson pourri! s'exclama Cézanne avec un rire franc.
...
Elle se rapprocha calmement d'Alfred et, bien que son visage rouge trahissait sa gêne, continua de défaire la chemise de ce dernier. Ses gestes étaient calculer et peu à peu, elle réussit à se détendre.
... Ne fait pas ça... Arrête! Profite du moment! Arrête de faire chier!
-J'ai réalisé quelque chose lorsqu'on a parler ma mère et moi... La première fois que l'on c'est rencontré à l'infirmerie... Tu avais dû m'arrêter. Tu t'étais excuser plusieurs fois d'avoir dû le faire. J'avais toujours écarter la possibilité que tu aies discuter avec l'au... moi. Que lorsque je m'étais effondrer dans les couloirs, elle était apparu, avait perdu les pédales puis on s'était retrouver tous les deux à l'infirmerie... dit doucement Cézanne.
Ça y ait! Ruines! Des ruines! Tu viens de tout gâcher! Putain que tu fais chier!
La docteur n'était plus rouge. Elle semblait nostalgique mais un sourire continuait d'étirer ses lèvres. Maintenant qu'elle avait complètement détaché la chemise de son conjoint, elle la fit glisser le long de ses épaules en se rapprochant de plus en plus. Les mains de Cézanne effleuraient la peau d'Alfred au fur et à mesure que le vêtement quittait son corps. Lorsque ce dernier fut complèetement sur le bureau, la poitrine de la jeune femme s'appuyait sur le torse nu d'Aqua. Heallya avait prit appuie sur le bureau avec l'un de ses genoux, rélévant sa cuisse, pour compenser son équilibre. Elle fixait son fiancé avec une assurance qu'elle n'avait pas vraiment.
Ne continue pas sur ta pensé...et fait juste te faire plaisir. S'il-te-plait!
-Est-ce que c'est ce qui c'est passé durant ce temps là qui t'as pousseé à m'inviter a Venise? Est-ce que... continua Cézanne
ASSEZ!!!
Elle ne fini pas sa phrase. Heallya échappa un cri de douleur tout en appuyant sa tête sur l'épaule l'Alfred. Il était évident qu'Axyahell y était pour quelque chose.

Alfred était clairement un sourire taquin alors que Cézanne était cramoisie mais elle sembla se reprendre rapidement. Alfred regarda la jeune femme s’approcher et venir près de lui avec un regard amoureux.
Ce ne sera pas un chemin facile, mais au moins les premiers pas de ce côté son fait. Lorsque Cézanne commenca à ouvrir sa chemise à son tour ce fut au tour d’Alfred de rougir légèrement devant la jolie doctor. Cette femme va surement me rendre fou...

Lorsque Cézanne parla de leur première rencontre, le visage d’Alfred afficha une petite surprise, après tout il venait d’en parler un peu a Marshall. Le contact qui suivit le prit un peu de court. Mais il appréciait tout en se demandant où allais Cézanne dans ses pensés.

Est-ce que le fait que mon premier contact vrai contact ai été avec Axya la dérange ? Alfred n’était clairement pas certain de la direction de la conversation lorsque Cézanne échapa un cris de douleur.

Cézanne !  

Alfred passa son bras dans le dos de la jeune femme pour la retenir en cas de chute

Que ce passe t’il ?  

Axya… mais pourquoi ?  Alfred se doutait que si Axya avait agit c’était pour d’une façon défendre Cézanne mais contre quoi ?

Cézanne ne s'était pas attendu à une intervention d'Axyahell dans sa tête. La douleur avait été attroce et elle ne bougea pas pendant une bonne minute.
Non mais! Ça ne se pose pas comme question! Tu aimes tant que ça te faire mal!?
-Ça va... Je crois qu'elle écoute notre conversation et qu'elle n'aime pas là ou ma question allait... Au final, tu m'as répéter plusieurs fois que peut importe si c'est moi ou elle...
répondit Heallya tranquillement.
Tu crois que ça m'enchante? Moi aussi je dois partager! Mais je partage beaucoup plus! Égoïste!
Elle ne fini pas sa phrase. Elle soupira simplement en relevant sa tête pour offrir un jolie sourire à son fiancé. La douleur se dissipait tranquillement, mais la docteur pouvait ressentir que son double était en colère.
Si tu n'es pas capable de comprendre qu'Alfred est dans une position difficile et que cette conversation va faire mal à tout le monde, alors donne moi ta place! Moi je vais en profiter!
C'est bon... Je ne vais pas lui poser ce genre de question qui nous compare d'une certaine façon, alors laisse moi tranquille! Arrête d'être dans ma tête! Arrête d'intervenir dans ma vie privé!
pensa Heallya pour son double.
... Mais c'est ma vie aussi... Sale égoïste...
-Elle se permet beaucoup trop... Je ne sais pas comment tu fais honnêtement! Elle est là à me pourrir la vie plus souvent qu'autrement et elle ne semble pas du tout te préoccupé... commença Cézanne avant de se ravisser, N'allons pas sur son cas en fait... Je n'ai aucune envie de ressentir son mécontentement encore.
...
Cézanne ferma les yeux en expirant lentement. Elle rapprocha son visage de celui d'Aqua pour y coller sa joue. Elle chassait les idées noires de sa tête, en espérant y chasser un peu Axyahell, et se contact l'aidait énormément. Son corps était encore coller à celui de son fiancé et ce dernier pouvait sans doute sentir son coeur battre la chamade dans sa poitrine. Heallya raffermit tranquillement son etreinte, enlançant l'homme de ses bras avec un peu plus de force graduellement. Cézanne focusait sur les muscles qu'elle touchait, remontant légèrement vers la nuque et nommant mentalement les os, les ligaments ainsi que les organes. C'était beaucoup plus facile de ne pensé à rien d'autre comme ça!

Alfred ne dit rien pendant un moment. Il apprecia le contact de la jeune femme, il pensa à sa ligne de questions. Il acceptait le fait que Cézanne soit composé de deux facette, il l’aimait et l’acceptait comme tel, mais il ne savait pas vraiment ce que c’était vivre avec la situation dans sa tête.

C’est pas tout à fait juste de dire que ca m’importe peu quand même...     Alfred ne répondit pas, le sourire de Cézanne semblait un peu forcé, la douleur et la situation devait y être pour quelque chose, alors il était surement mieux de ne rien dire.

Je ne crois pas que je puisse répondre à ce genre de question sans causer du trouble...     Pensa t’il alors que Cézanne posa sa tête sur lui. Il pouvait sentir la chaleur qui venait du corp de Cézanne. Il entendait sa respiration qui se calmait peu à peu. Alfred passa un bras autour d’elle et de l’autre se mit à caresser doucement ses cheveux.

Il eut un frisson lorsque Cézanne le serra un peu plus fort et lorsqu’elle passa ses mains sur lui. Cela lui donna le temps de remettre ses pensés en place. Lorsqu’il sentit la respiration de Cézanne revenir au calme il avait une idée de comment approcher le sujet..

Tu dois l’avoir oublier, mais lorsque nous avons pris l’avion je t’avais expliquer un peu les événements de l’infirmerie, incluant ma rencontre avec Axya. Alfred prit une petite pause pour s’assurer d'utiliser les bon mots. Ce jour là, j’ai rencontrer une femme mystérieuse, pleine de fougue, passionné et je dois dire incroyablement jolie. Mon coeur a en effet craqué un peu. Alfred se permit un petit rire en revoyant la scène dans sa tête.

J’ai appris par la suite que cette femme était en fait rempli de complexité, elle était aussi douce, curieuse, charmante et d’une intelligence farouche. Elle m'a simplement fait craquer un peu plus quand j’ai gratter ce mystère. Alfred sourit doucement et pressa un peu sa joue contre celle de Cézanne avant de continuer sur un ton qui ne se voulait qu’un murmure.

J’ai appris que la femme qui s’appelle Cézanne Christopher est une personne très complexe, une personne unique, avec des facettes à découvrir. Mais ce n'est pas une situation facile, ca a commencé avec moi qui ne voulais qu’aider une superbe femme à mieux comprendre ses pouvoirs elle semblait en avoir besoin Alfred souriait doucement, il était sur que les charmes de Cézanne avait aidé Alfred a offrir son aide, il ne pouvait pas le nier.

Je ne savais pas à ce moment dans quoi j’embarquais, mais je ne le regrette pas un moment. Il pris une grande respiration avant de continuer.

Aujourd'hui, je ne suis pas sûr de comment gérer l’évolution de cette situation en fait, je ne crois pas qu’il y ai un manuel pour la gestion des personnalités double chez l’être aimer. Mais je sais que ce n'est rien comparé à ce que toi tu dois vivre, alors je fais de mon mieux pour être la pour toi comme je le peux, ce n'est pas tout à fait vrai que cela m’importe peux que ce soit toi ou elle, cela serait simplifier cette situation un peu trop. Le ton de voix d'Alfred était toujours bas mais remplis d'émotion, son coeur battait doucement mais un peu trop vite, cela trahissait son état d'âme. Sa main était toujours à caresser les cheveux de la femme qui était coller sur lui.

Je t’aime, ca inclus que je l’aime elle aussi car d’une façon, elle est toi, sans vraiment l'être, comme toi tu es elle, mais pas vraiment non plus. Alfred avait un petit pincement au coeur en disant cela.


Est-ce que ca compte comme une maîtresse une double personnalité ?     Alfred chasa rapidement cette pensé.

Elle ne me préoccupe pas beaucoup car je sais qu’elle n’agit que pour ce qu’elle croit être ton bien. Ce n’est pas un monstre qui se cache dans le noir, je ne la voit pas comme une maladie ou une tumeur à retirer, j’ai peut être tort, je suis peut être naïf, mais je suis incapable de voir ce côté de toi comme ca.   Le regard d’Alfred était lourd et un peu triste, il savait le sujet dangereux.
 
Est-ce que cela répond à la question de Axya ne voulais pas que tu pose ? Alfred se doutait bien que Axya avait agit car Cézanne avait quelque chose derrière la tête avec sa question.

Cézanne était rendu à compter les globules rouges lorsqu'Alfred commença à parler. Elle revenait un peu d'une trance et un léger mouvement, moins prononcer qu'un sursaut, pu être perçu. L'une de ses mains était entre les omoplates d'Aqua alors que l'autre était dans ses cheveux. La respiration d'Heallya resta très calme, mais s'accélera un peu.
...
En effet...j'avais oublié. Ou plutot... je l'ai un peu oublié par exprès. Ça me revient un peu... Je crois?
pensa Cézanne en essayant de stimuler sa mémoire.
Bah...si tu veux le savoir...tu devrais être capable de ''voir''...
Les images qui lui vient furent plutot celle de l'infirmerie lorsqu'elle avait rencontré Alfred la première fois. Un sentiment de confusion.. de l'intérêt? Elle se vit prendre la main d'Aqua sans aucune gêne pour se diriger vers la bibliothèque... Alfred devant la salle bonder de monde. Un cours improviser... de l'impatience. Ce n'était pas ses souvenirs...
...
J'ai vécu ça moi?
se demanda la docteur
...
Lorsqu'Alfred dit que son coeur avait un peu chavirer pour son double la douleur fut plus intense qu'elle ne l'avait imaginer. Cependant, elle n'en laissa rien paraitre. La douleur s'appaissa un peu lorsqu'il avoua avoir complêtement chavirer pour elle. Cela lui mettait un baume sur le coeur.
Bah bravo... j'espère que t'es contente maintenant? Tu as mal... J'ai mal. Alfred n'a pas de réponse magic!
Ça me done beaucoup plus de questions que de réponses au final... On ne savait pas dans quoi on s'embarquait tout les deux!
réfléchit Cézanne
...
Heallya ne pu s'empêcher d'échapper un petit soupire. Il était difficle de savoir si ce dernier était du soulagement, de l'exaspération ou encore de l'inquiétude. Elle continuait simplement d'écouter Alfred sans vouloir l'interrompre. Après tout, elle voulait savoir, bien que ce soit un peu une curiosité morbide. Ce n'est qu'une fois terminer que Cézanne se recula légèrement pour regarder Alfred dans les yeux.
...
-Je t'aime tu sais? Et tu as chaviré pour elle avant ou après l'étreinte?!
s'exclama-t-elle pour détendre un peu l'atmosphère.
Hummm... donc la thérapie à vraiment changer quelque chose...
Bien qu'elle se voulait souriante et complètement détendu, il lui était difficile de l'être. Son regard gris réflétait clairement ses inquiétudes et le mal que certains des mots d'Alfred lui avaient fait, bien malgré lui. Elle déposa un léger baiser sur les lèvres de son aimé avant de se reculer de nouveau.
...
-Ça répond à la question j'imagine...plus ou moins. Je sais que ce n'est pas juste de te poser ce genre de question. Je ne peux pas non plus te demander de choisir entre elle et moi, puisqu'au final... ce n'est que moi! Il n'y a pas de choix... Elle avait raison de ne pas me laisser poser la question. La réponse ne pouvait pas être agréable. Je savais avant même de la poser que ça ferait mal. Mais j'ai beaucoup de difficulté à contrôler mes émotions envers toi.

Cézanne posa sa main gauche sur la joue de son fiancé, puis descendit vers son torse nu. Un brin de désir se lisait sur le visage de la docteur.

-Tu me fais sortir de mes gonds... plus que n'importe qui n'est capable de le faire. Tu me rend complètement folle à tes heures et pourtant tu sais aussi comment me calmer. Je ne me suis jamais sentie aussi bien qu'avec toi et pourtant personne ne m'a jamais autant fait souffrir. Savoir que je ne peux pas faire autrement que.. de te partager...

Les mots s'étranglèrent dans sa gorge. Elle détourna les yeux, incapable de regarder Alfred plus longtemps. Elle s'éloigna également un peu de lui, ramenant sa main vers son coeur et lui redonnant une plus grande liberté de mouvement.

- ''Tu dois arrêter de voir cette facette de toi comme une inconnue''. ''Tu dois reconnecté avec cette personalité''. ''Tu dois arrêter d'avoir peur et accepter cette partie de toi''. Je crois que j'ai fait des progrès?

Cézanne laissa échapper un petit rire nerveux. Elle devrait faire la paix avec ça aussi éventuellement.

Alfred savait bien que ses réponse n'aidait pas, mais elle avait posé la question, il ne pouvait pas laisser cette conversation dans le néant. Il ne pouvait voir son visage durant un moment mais lorsqu’elle se recula, il put voir l’impacts de ses mots dans le reflet des yeux gris de la jeune femme, il regretta de ne pas avoir laisser la conversation dans le néant à ce moment.

Je l’ai encore blessé. Imbécile! Alfred soutenu son regard et ne répondit pas à la question et garda le silence, il apprécia le léger baiser mais laissa Cézanne continuer tout en la regardant avec douceur. Il eut un petit pincement au cœur quand elle parla de lui.

Est-ce que je suis une si mauvaise influence sur elle ? Et si je nuisait au fond ? Est-ce que je rend la situation pire au final ? Le doute fut visible durant un moment sur le visage d'Alfred.

Je... Alfred ne savais pas quoi dire, l’évaluation de Cézanne était juste, il l’avait en effet fait souffrir beaucoup trop, il savait pas quoi dire. Lorsqu’elle se détourna de lui il eut un petit moment de panique, ne sachant pas quoi faire dans la situation il figea durant un moment. Il écouta ce qu’elle disait et lorsqu’elle parla de ses progrès, le doute d’Alfred s'estompa d’un coup

Arrête, c’est à propos d’elle, bouge ! Pensa t’il avant de se reprendre alors que Cézanne c’était légèrement reculer en se détournant, Alfred au contraire fit un pas pour se rapprocher et passa ses bras autour d’elle. Son menton vint se placer dans le creux du cou de la jeune femme et il sera doucement sa fiancé dans ses bras.

Il approcha ses lèvres de son oreille et lui chuchota : C’est évident que je t’aime toi. Il ne dit rien de plus et resta ainsi le torse contre son dos et ses bras autour d’elle.Il ne savait pas quoi dire de plus en fait, il avait peur de la blesser encore plus.

Son odeur lui remplit les narines alors qu’il tentait de se vider l’esprit . Pourquoi faut t’il qu’elle sente si bon...

Cézanne apprécia le moment pendant un court instant. Elle pouvait sentir la fatigue de son fiancé au travers son pouvoir chaque fois qu'elle le touchait. Elle redoutait simplement de sombré dans le sommeil. Elle ne faisait que penser à comment reculer ce moment fatidique.

Ce ne serait absolument pas correct de le tenir réveillé trop longtemps... et puis moi aussi je devrais dormir.
pensa la docteur, tout de même tenter d'utiliser son pouvoir sur eux deux.

Lorsqu'Alfred lui chuchota à l'oreille un frisson la parcourru. Définitivement, elle n'aurait pas besoin de son pouvoir pour rester réveillé! Elle ne se défit cependant pas de l'étreinte de son conjoint. Cézanne laissa planner un silence perturber uniquement par leur respiration avant de le rompre. Ils devaient dormir.

-J'ai eu le temps de prendre nos valises dans la voiture. Je vais devoir t'emprunter un bas de pyjama et une chemise. Peut importe qui a fait ces valises, cette personne ne jugeait pas nécessaire de fournir un pyjama féminin.
Déclara-t-elle en déposant sa tête contre Alfred.
...
Elle finit par se retourner, un visage plein de suspicion. Elle avait vu le doute dans son regard lorsqu'elle avait parler des effets qu'il lui faissait. En fait, il faissait beaucoup plus que ça! Elle mit sa main droit sur la nuque d'Aqua et le força à baiser la tête pour qu'il la regarde droit dans les yeux. Il y avait une fureur ardente dans les pupils de sa femme.
...
-Si tu me quittes, je te retrouverai cette fois. Tu es pris avec moi pour le reste de tes jours. Je vais m'en assurer parce que je jure que je vais laisser l'autre faire ce qu'elle veut de toi! Alors ne pense pas une seule seconde à partir! Ma vengeance sera terrible... Donc tu vas toujours être là demain matin... si?
demanda-t-elle un peu sèchement.
Si tu nous quittes, t'es un homme mort. Je ne vais pas revivre ça trois fois!
La docteur ne relacherait son emprise que sur une réponse satisfaisante. Elle semblait cependant prête à le rouer de coup pour avoir sa bonne réponse.

Alfred fut clairement surpris, il ne s’attendait pas à une réaction aussi vive de Cézanne. Il n’avait jamais pensé partir, mais il dois avouer qu’il avait douter un moment dans ses pensés. Lorsque le visage de sa fiancé était en face du sien, Alfred ne put donner qu’une seule réponse à Cézanne. Il colla son front sur le sien et la regarda dans les yeux avec une petite lueur dans ses yeux, il caressa sa joue doucement, comme si il appréciait le moment.

Je n’ai aucun désir de me réveiller autre part qu'à tes côtés. Si jamais je ne suis pas la demain matin, toi non plus tu n’y sera pas, car tu sera certainement avec moi. On est une paire. Alfred en profita pour  donner une baisé langoureux à la jeune doctor. Il n’arreta que lorsqu’elle fut satisfaite de sa reponse. Ce qui sembla prendre un certain temps.

Lorsque Cézanne relâcha finalement Alfred, il prit un petit moment à mettre fin au baiser, puis il recula légèrement pour mieux voir Cézanne. Alfred lui fit son plus beau sourire, il avait encore un reflet passionné dans ses yeux en regardant sa fiancé. Un petit sourire s'affichant sur ses lèvres,

Ne le dis pas Alfred, ne va pas la, ca va mal finir…. Alfred souriait toujours un peu en regardant sa fiancé.

Tu peux absolument prendre des vêtements dans ma valise pour cette nuit, nous irons te chercher ce qu’il te manque plus tard. Alfred posa un autre baiser, un peu plus rapide cette fois sur les lèvres de Cézanne avant de se défaire de son étreinte doucement.

Je devrais aussi me mettre en préparer pour la nuit, il se fait tard un peu. En finissant sa phrase, Alfred se dirigea vers le lit, il était déjà torse nu mais en chemin il défit sa ceinture et la posa avec son veston.

Bravo Alfred, tu la garder à l’intérieur celle la. Pensa Alfred alors qu’il termina le moment simplement en boxer. Alors qu’il était encore dos à Cézanne, sa mauvaise habitude se manifesta, autour de lui toute l’humidité de la pièce se rassembla pour venir se coller à sa peau et parcourir son corps en entier pendant que ses yeux était fermer. Les perles d’eau glissait sur lui rapidement dans une danse frénétique donnant un show peu commun à sa fiancé.

Ahhh ca fait du bien Pendant le moment Alfred arreta de pensé a quoi que ce soit, après un moment l’eau autour de lui se regroupa en une seul goutte et fila à travers la fenêtre. Alfred sembla pensé à quelque chose.

Oh ! Désolé! J’aurais surement dû utiliser la douche, mauvaise habitude Alfred regarda autour de lui et ne vit pas immédiatement de salle de bain annexe à la chambre, son regard se termina sur Cézanne, il n’avait pas l’air désolé tant que ça en fait.

Tu préfère quelle coté ? Demanda t’il l’air innocent en pointant le lit.

Cézanne apprécia le baiser et aurait préférer le faire duré encore plus longtemps...mais elle avait tout de même un peu de retenu. C'est pourquoi elle relâcha son emprise sur Aqua. Elle acquiesa simplement d'un petit hochement de tête lorsqu'il lui permis de prendre certains de ses vêtements.

Merveilleux! Parce que c'est hors de question que je porte la lingerie qui est dans ma valise... qui peut bien penser que ça sert de pyjama!
pensa-t-elle, un brin outré par ce mauvais choix.

Elle ne fut qu'à moitié surprise qu'Alfred retir son pantalon sans plus de façon. Elle ne détourna pas le regard, mais rougit tout de même un peu à la vue qui lui était offerte. Elle fut beaucoup plus abasourdi par le petit manège de son fiancé. Son contrôle sur l'eau la fascinait toujours autant. Elle ne le lui avait jamais avouer, mais il avait tendance à rendre la chose très théâtrale et grâcieuse... Pas tout à fait comme son pouvoir à elle qui n'avait rien de particulièrement éloquent lors de son exécution. Seul le résultat était impressionant.

-La seule raison pour laquelle c'est une très mauvaise habitude, c'est que l'on va avoir besoin d'humidificateurs...
fut les seuls paroles qu'elle trouva alors que ses cheveux commençaient à s'élever légèrement dans les airs.

Elle détourna enfin son regard pour prendre les vêtements dans la valise d'Alfred.

-Ça ne me dérange pas. De toute façon, tu risques de te coller sur moi de manière assez agressive pour dire qu'on va être tous les deux sur le même coté...
répondit Cézanne avec un grand sourire.

Ça avait été souvent le cas lorsqu'il la rejoingnait en douce dans sa chambre à l'institut. La docteur se dirigea doucement vers la sale de bain, s'arrêtant devant la porte en se tournant légèrement, l'air songeur et un peu espiègle.

-Et moi qui croyais que tu aurais voulu venir avec moi... Tu avais l'air de bien apprécier dans l'avion.
dit-elle avec un petit haussement d'épaule.

Mais qu'est-ce que je dis... C'est quasiment une invitation ça...
regretta Heallya.

Elle ne laissa rien paraitre de son petit malaise. Des hommes, elle en avait vu plusieurs au cours de sa carrière et ça ne lui faissait rien du tout! Son embarra était complètement ridicule! Cézanne entra donc dans la salle de bain en laissant la porte entre ouverte et commença à se dévetir pour se rafraichir avant d'aller se coucher.

Alfred prit un air pensif exagérer suite au commentaire sur ses habitudes de sommeil, elle n’avait pas tort ceci dit.

Hey ! Ce n'est pas arrivé si souvent que ça allons et puis les lits dans l'Institut sont si petit! Il faudra simplement s’assurer d’avoir un lit vraiment grand. Alfred souria pendant qu’elle se dirigea vers la salle de bain.

On serait pas chez tes parents que... Alfred ne fini pas sa pensé que la phrase de Cézanne entra dans ses oreilles. Attend c’est une invitation! En plus elle a laissé la porte ouverte. Non on est chez ses parents, elle doit juste être en train de jouer avec moi, ca se fait à deux ca.. Alfred afficha un petit air espiègle à son tour et alla s’asseoir sur le lit.

Oh je n’oserais pas! Allons, je ne voudrai pas alarmer tes parents Dit Alfred juste avant que Cézanne n’ouvre l’eau. Alfred, non, ne rajoute pas le commentaire que ca serais surement “laisser l’autre faire ce d’elle veux de toi ! Chut ! Alfred remis loin cette pensé et ferma les yeux doucement.

Alfred se mit à se concentrer sur l’eau autour de lui, partout dans sa sphère d’influence il se mit lentement il se mit à ressentir son élément. Le chauffe eau qui était dans la cave, l’eau qui coulait dans les tuyaux du plafond vers la chambre de bain puis l’eau qui coulait de la douche. Lentement Alfred fixa son contrôle sur l’eau qui sortait de la douche, il y a quelques années, à son arrivé à l'Institut il n’aurait jamais été capable d’un tel contrôle, mais avec les années entrainement de X-Men et les entraînements avec Vision, c’était pour lui une pratique intéressante en ce moment.

Alfred savait que beaucoup le jugeait par son utilisation presque abusive de ses pouvoirs, chaque occasion était bonne pour les utiliser avec lui, que ce soit pour sa douche ou bien pour se déplacer, voire ramasser un verre, Alfred hésitait que très rarement à utiliser ses pouvoirs à la moindre petite occasion. Son contrôle précis sur celui ci, n’était pas dû au hasard, mais à l'entraînement intense qu’il s’imposait à lui même.

Je n’oserais pas entrer sous la douche en ce moment, mais rien ne m'empêche de te titiller ceci dit. Pensa t’il alors qu’il avait prit le contrôle de l’eau qui tournait maintenant doucement autour de Cézanne. Tel un nuage scintillant de gouttelette d’eau, la douche était maintenant presque figé dans le temps.

Alfred ne pouvais pas voir Cézanne et sa réaction, mais il ne lui donna qu’un moment pour ne pas être surprise que les gouttes d’eau se mire à virevolté déchaînant une petite tempête sous la douche. L’eau autour de Cézanne se colla doucement à sa peau, comme Alfred avait fait pour lui même peu de temps avant, évitant la tête et les cheveux de sa fiancé, Il contrôla l’eau pour que celle ci la parcours comme si Alfred lui même était sous la douche avec elle.

Tant qu’elle ne me dit pas d'arrêter... Alfred portait attention au bruit de la salle de bain et était près à arrêter du moment que Cézanne allait lui dire, mais sinon il était confortablement installer pour tenir quelques minutes

Il continua son petit manège de façon  de plus en plus aventureuse. Mais après un moment qui parut probablement assez long pour Cézanne, il sentit la fatigue le gagner un peu, ce petit jeux lui demandait beaucoup de concentration après tout. Il relâcha son contrôle et l’eau sous la douche repris son cours normal.

Ouf, ca aurais été plus facile sous la douche avec elle ca... Pensa Alfred avec un petit sourire alors qu’il était confortablement assis, le dos sur la tête du lit

Cézanne faillit ressortir de la douche toute nue pour tabasser Alfred lorsque l'eau se figea. Elle du cependant retenir un crie lorsque l'eau déferla sur elle. Lorsque l'eau commença à s'aventurer sur son corps, elle manqua un peu d'équilibre et se racrocha bruyament sur le mur et la porte de la douche.

Tu vas me payé ça, Pennyworth!
ragea mentalement Heallya.

Elle réussit cependant à garder son calme. C'était tipique de son fiancé de lui faire ce genre de coup là! Il voulait la faire réagir. Elle failli céder lorsque l'eau la parcourru comme si Alfred était maintenant avec elle. Elle n,était pas sur si c,était vraiment le cas...

Il n'oserait pas! Non... il ne fait que jouer avec moi!
pensa la docteur maintenant cramoisie.

Ce fut la seule penser qui la fit garder un semblant de calme jusqu'à ce qu'Alfred arrête. Elle lacha un petit soupire avant de fermer l'eau. Aqua pouvait surement sentir le calme avant la tempête. Ça ne prit qu'un moment avant qu'une Cézanne, rouge comme une tomate et furieuse comme deux, sorte de la salle de bain enrouller uniquement d'une serviette. Elle lui balança sa robe au visage.

-Non mais ça va pas!? Si tu veux utiliser tes pouvoirs sur moi comme ça tu vas devoir en disscuter avec moi avant! Profiteur!
lui dit-elle sur un ton de voix clairement offusquer.

Il avait pousser sa chance trop loin sur ce coup là. Elle s'était avancer rapidement vers lui avec l'intention de le frapper, mais elle se ravisa et resta simplement à coté du lit, les poings fermer. Elle était si facher qu'elle en tremblait un peu. Son regard lançait des couteux et il était fixement poser sur son fiancé.

-J'aurais préférer 100 fois que tu viennes me rejoindre plutot que tu t'amuse comme ça! Est-ce que tu y as seulement penser!? Et ne met pas mes parents la dedans! Je crois qu'ils le prendraient encore moins bien que tu aies fait ça que de m'avoir simplement toucher comme n'importe qui de normal!

Les dernier mots étaient sortie tout seul. Elle réalisa qu'ils étaient loin d'être normaux... La colère fit place à un état de quasi choc. Elle tenta de balbutiller quelque chose qui ressemblait à une excuse.

Alfred regarda Cézanne sortir avec fureur de la salle de bain, il n’avait pas pensé que sa réaction serait de la colère avec l’expression qu’il affichait présentement sur son visage..

Profiteur ? Alfred n’aurais pas cru que l’adjectif profiteur était applicable mais n’osa pas rien dire de plus devant la mine offusquer de sa fiancé.Elle était visiblement en colère, lorsqu’elle se rapprocha, il était sur qu’elle allait le roué de coup!

Oh, elle n’a vraiment pas aimer ca… mais elle m’avait invité! Alfred était un peu confus, la réaction de Cézanne le prit de cours complètement. Il resta bouche bée devant les couteaux dans les yeux de Cézanne, ce ne fut que lorsque les mots de la dernière phrase de Cézanne se perdirent dans le silence que le visage d’Alfred prit un air légèrement triste.

Comme des gens normal… Ouais…. Alfred tenta de ne pas afficher l’impact des mots de sa fiancé avait sur lui, il savait qu’elle avait surement parler au dessus de ses pensés, sa réaction à ses propres paroles le démontrait bien.

Je suis aller trop loin Alfred leva doucement la tête en disant ses mots pour regarder la jeune femme au yeux gris qui était au côté du lit. Il se se placa en face d’elle alors qu’elle tentait de dire quelque chose, mais ses paroles ne semblait pas sortir.  

Je n’ai pas osé te rejoindre sous la douche malgré ce que je crois était une invitation, je n’ai pas pensé, je ne voulais que te taquiner, te faire languire un peu et démontrer mon amour et mon désir de toi. Je... Alfred ne savait pas quoi dire de plus, il n’avait en effet pas pensé plus que cela…

Je… Alfred était fier de qui il était. De quoi il était. Il ne se cachait pas, il affichait avec fierté et cela depuis des années. Je tacherais d’être plus normal si c’est ce que tu veux. La dernière phrase d’Alfred avait été dit sur un ton de voix très léger, avec une petite vibration dans le timbre de sa voix.

Cézanne ne savait pas ou se mettre. Ses paroles ne réflétaient en rien ses valeurs et ses véritables désir. La colère avait parler pour elle plus qu'autre chose. Devant la mine déconfite d'Alfred, elle aurait bien aimer revenir dans le temps et reprendre les mots qui était sortie de sa bouche. Non elle n'avait pas apprécier... mais pas à ce point là! Les dernières paroles firent lever les cheveux sur la nuque de Cézanne et une panique s'empara d'elle.

Je ne veux pas de quelqu'un d'autre que toi!
pensa-t-elle

Sans vraiment y réfléchir, elle se retrouva à quatre pattes sur le lit, son visage à la hauteur de celui de son fiancé. Son corps était majoritairement au dessus de celui de son conjoint.

-Non, non, non et non! Je suis désolé! Je ne veux pas que tu sois plus normale! Juste plus considéré! J'adore ton pouvoir! Il est magnifique! Je veux que tu continue à l'utiliser! Je ne veux pas que tu changes, je ne veux pas que tu arrêtes de montrer qui tu es. S'il-te-plait! Je suis désolé! Je ne veux pas être normale si ça te demande d'être quelqu'un d'autre que toi! Je m'excuse! Ne dis pas des choses comme ça! Je suis désolé! Vraiment désolé!

Elle ne respirait presque pas. Les mots sortaient rapidement, sans pause et sans aucun doute beaucoup de panique. Tout dans son attitude montrait un niveau d'agitation qu'Aqua n'avait jamais vu auparavent. Cézanne fini par simplement enlacer son fiancé. Sa peau encore un peu humide se colla sur celle d'Alfred.

-Je m'excuse...vraiment! Ce n'est pas que je n'aime pas ton pouvoir! J'adore tout de toi! Même si ça me rend dingue par moment! Mais ce n'est pas juste si c'est unidirectionnelle! Ne change pas s'il-te-plait!

Elle le serra un peu plus fort dans ses bras. Elle ne savait que trop bien que ses paroles ne pourrait pas être effacé aussi facilement.

Alfred avait dit sa dernière phrase avec émotion dans sa voix, il ne voulait que le bonheur de Cézanne et pour cela il était près à faire bien des sacrifices. Il ne savait pas trop comment il serait plus normal dans leur situation mais il tacherait de s’appliquer. Il était encore dans sa tête que Cézanne réagit vivement et il fut poussé sur le lit, sans trop sans rendre compte, il était maintenant sur le dos, Cézanne sur lui tout en le regardant intensément.
Hein!? Alfred était ébranlé, Cézanne affichait un air paniqué qu’il venait juste d’enregistrer. Le changement de la colère à la panique avait été rapide et Alfred était encore à comprendre ce qu’il se passait que sa fiancé s’excusa sincèrement avec clairement du regret dans son regard.

On dirais que nous somme tous deux très fatiguer Pensa Alfred lorsque Cézanne se colla sur lui, elle s’excusa encore une fois alors que Alfred pouvait ressentir les battements de son coeur à travers leur contact, Cézanne était clairement en état de panique avec son coeur qui battait à tout rompre dans sa poitrine. Alfred fut en fait soulagé en voyant que clairement les paroles de Cézanne avait simplement dépassé sa pensé sous l’effet de la colère.

Alors que Cézanne était enlacer avec lui, Alfred bougea la tête pour être en mesure de voir les yeux gris de la jeune femme. Il cherchait ses mots, il voulait calmer la situation si possible.

Cézanne, mon amour, pour toi je ferais beaucoup de chose pour que ta vie soit remplie de bonheur, je ne veux jamais te blesser, si mes actions te cause de la tristesse ou de la colère je dois apprendre et devenir meilleur pour toi La voix d’Alfred était sur un ton bas, on pouvait encore y entendre une petite vibration qui trahissait son état émotionnel réel.

Il sera à son tour Cézanne doucement avant de continuer.

Je comprend que les paroles dépasses des fois les pensés, je suis heureux que c’était le cas ici, mais je tacherais d’être plus considéré dans l’avenir. Il resta entrelacé avec la jeune femme, encore un peu perdu dans ses pensés, son air était encore un peu triste.

Nous devrions dormir, il se fait tard Rajouta t'il pour briser le silence après un moment.

Cézanne se calma un peu lorsqu'Alfred la regarda dans les yeux. Elle savait qu'elle l'avait blesser et elle l'entendait dans sa voix.

C'est dans les deux sens ça aussi... Je dois aussi apprendre et devenir meilleure...
pensa la jeune femme avec un pincement au coeur.
Eh bah commence par arrêter d'être aussi coincer!!
Elle n'osait plus parler. Elle ne savait pas quoi dire. Ses excuses lui semblait bien faibles et obselètes face au propos qu'elle avait dit. Aqua était beaucoup trop gentil avec elle! Heallya ne dit pas un mot, mais elle avança l'une de ses mains vers le visage d'Alfred. Il pu ressentir une légère paralysie flasque de son visage qui passa rapidement pour se transformer en une sensation de relaxation au niveau de tous ses muscles. Fatigué comme il l'était déjà, le sommeil ne tarderait pas à l'emporter.
Et tu l'endors maintenant? T'es pas croyable... C'est assez hypocrite!
-Bonne nuit mon amour... Tu as le droit de m'en vouloir demain...
dit doucement Cézanne alors que son pouvoir faissait lentement effet sur son conjoint.

Alfred ne put que sentir un doux baiser sur ses lèvres avant de sombré dans un sommeil profond et réparateur. Heallya laissa échapper le plus long soupire de l'univers une fois son méfait accomplit. Elle se releva lentement en faissant attention de ne pas écraser l'homme maintenant endormie. La serviette qui cachait sa feminité se retrouva sur le sol. Elle ne prit qu'une minute pour finir de se sécher, se vêtir de son pyjama de fortune puis rejoindre son fiancé dans le lit. La docteur tira les couvertures par dessus leurs corps, puis tenta de s'endormir...

Le matin arriva tôt, Alfred fut réveiller par un rayon de soleil qui avait fait apparition dans la chambre. Il ouvrit les yeux et pris un moment pour prendre ses repaires. Son sommeil avait été profond, trop profond. Il était toujours chez les parents de Cézanne, dans la chambre.

Cézanne a dû m’endormir avec son pouvoir, son dosage était parfait ceci dit Alfred pouvait ressentir l’effet groggy du matin suivant la prise d’une pilule de sommeil mais il était très mineur. Doxepine ? Non, pas assez d’effet secondaire, sûrement Zalephon, ça ou elle créé sa propre version, elle en aurait les compétences pour sur.

Doucement il se retourna pour voir que la jeune femme dormait encore à ses cotés, Alfred pris un moment pour regarder sa mine endormie, un petit sourire au lèvres.. Elle semblait paisible et la lueur du matin ne faisait qu'accentuer sa beauté.

Alfred la regarda un bref moment mais ne voulait pas perturber son sommeil, il se transforma en nuage pour quitter le lit doucement sans bruit, il ramassa un minimum de vêtement, un pantalon et une chemise simple puis se prépara à sortir de la chambre pour lui donner un peu plus de sommeil.

Juste avant de quitter tel un voleur, il se rappela de sa promesse d’être là au matin et se retourna vers le lit, il tendit la main et une rose de glace se crée sur l'oreiller, elle ne voudrait pas tant qu’il serait dans la maison, il se rapprocha du bureau en silence et pris un petit papier et un crayon et tel un jeune ado, il y dessina un cœur et le plaça à côté de la rose de glace.

On devrait éviter la panique de cette façon! Alfred regarda son oeuvre et hocha de la tête pour lui même, l’instant d’après il était sorti de la chambre sans avoir ouvert la porte. Il se dirigea vers le premier étage et fut surpris de voir Rose-May déjà à la cuisine en train de préparer le déjeuner.

Bon matin Rose-May! J’espère que vous avez bien dormis, vous me pardonnerez je ne vous ai pas souhaité bonne nuit hier, il se faisait tard un peu

Oh Alfred ! Bon matin! Rose-May semblait pleine de vie ce matin et d’une bonne humeur Ne t’en fait pas pour si peu, Marshall aussi est tombé comme une roche, vous avez dévalisé son bar n’est-ce pas? Elle affichait un air de reproche en le pointant de sa cuillère de bois mais clairement Alfred pouvait voir la pointe d’humour dans la situation.

Je n’ai rien fait que votre mari n’a pas fait! Alfred leva les mains innocemment comme réponse, une réponse qui en soit ne voulait vraiment rien dire.

Bon bon ! Au moins tu semble reposé ce matin, vous n’avez pas eu une nuit très agité on dirait. Rose-May se retourna vers ses chaudrons alors qu’une pointe de rougeur monta sur les joues d’Alfred.

Si elle savait... Alfred afficha son plus beau sourire et s’approcha pour l’aider.

Je peux vous aider ? Je suis…. Alfred ne put terminer sa phrase que la cuillère de bois vint rapidement se fixer près de son visage et Rose-May le regarda avec un air autoritaire.

Tu es un invité, alors tu ne touche à rien compris! Il y a du café la bas, les tasses sont ici. La femme pointa la cafetière et une armoire avant de brasser son bacon.

Alfred sourit et se servit une tasse de café noir en regardant la mère de Cézanne cuisiner.

Hier j’ai parlé d’aller apporter Cézanne faire des emplettes, est-ce vous voulez nous suivre ? Marshall n’avait pas l’air très emballé quand a lui. Alfred pris une gorgé en attendant la réponse de Rose-May

Rose-May chantonnait gaiment tout en cuisinant. La présence d'Alfred ne semblait absolument pas la déranger. Elle appréciait même qu'il soit là.

-Oh! C'est très gentil! Mais vu les circonstances... je crois qu'il est préférable que vous passiez un peu de temps seul. Cézanne n'a probablement pas penser à t'en parler hier!

La pharmacienne ajouta quelques épices dans une poêle qui contenait vraisemblablement une omelette. Elle regarda l'heure puis hocha la tête dans un signe d'approbation.

-Cézanne devrait se réveillé d'ici maximum une heure. Nous avons donc un peu de temps pour discuter! J'aimerais bien savoir ce que tu avais en tête pour votre marriage. Ma fille n'est pas la plus douer pour ce genre de décision... Elle m'a dit, et je cite '' Je croyais simplement aller signer les papiers et ne pas m'en faire avec le reste''. Je ne peux pas approuver ça. Surtout que la façon dont elle en parle, ça n'arrivera jamais! Je veux des petits enfants Alfred...

Rose-May prit sa petite tasse de café poser proche de la cuisinière. Elle prit une gorger tout en regardant son future gendre. C'était une femme très délicate, mais avec beaucoup de caractère. Elle ne fessait que commencer à le montrer.

Alfred faillit recracher sa gorgé de café lorsque Rose-May parla de mariage et une deuxième fois lorsqu’elle parla des enfants. C’est pas chez lui que cela aurait été un sujet de conversation en faisant des oeufs.

Elle est directe en tout cas Alfred souria après avoir avalé sa gorger et regarda la matriarche devant lui.

Je me demande ce qui serait acceptable pour vous ? J’ai pensé un peu sur ce sujet mais au final, si Cézanne désire quelque chose de discret et sans trop de panache je ne peux que la soutenir dans ses choix vous savez. Alfred montrait clairement qu’il était du côté de sa fiancé Quelque chose de petit, sans trop d’artifice serait sans doute idéal. Je ne sais pas combien de personne de votre famille il faudrait planifier, mais de mon côté, pas plus d’une cinquantaine, voir un peu moins.

Je ne crois pas que gros de la famille fasse le chemin pour moi. Peut-être quelques gens de l'institut, je pourrais invité Alex. Alfred eux l’air pensif un moment.

Pour le lieu, si ont veux faire simple on peut faire cela chez nous, je crois que le parc fait un peu plus de 50 acres, ca serait intime mais nous ne manquerons pas d’espace. Il y a aussi plusieurs chambre d’invité dans le manoir si des gens viennent de loin, il resterons au lieu d’aller à l'hôtel. Alfred eut un petit rire à ce moment. Ouf, il va falloir décoré avant par contre, je crois que Cézanne mourrait si on invitait des gens dans l’état actuel de notre nouvelle demeure Alfred secoua la tête avec un sourire en se rappelant de sa réaction à la chambre.

Bien sur c’est selon votre fille, mais je crois que cela serait bien dit Alfred en prenant une gorgé.

La réaction d'Alfred tira un sourire à la femme devant lui. Elle comprenait pourquoi sa fille était aussi éperdument amoureuse de lui. Elle ne pu s'empêcher de faire la moue devant la dernière phrase de son future-gendre. Malgré leur grande différence physique, Rose-May ressembla grandement à Cézanne avec cette expression sur le visage.

-Vous faites une belle paire! Mais honnetement, tu ne devrais pas la gâter autant... ''Si c'est ce que Cézanne veut... C'est selon Cézanne...'' Vous n'êtes pas une entité contrôler par ma fille! Qu'est-ce que tu veux toi? C'est aussi quelque chose dont tu vas faire partie! J'imagine pour le reste de tes jours ou ceux de ma fille! En tout cas je l'espère!

La petite blonde dépossa sa tasse de café sur le comptoir et retourna à sa cuisine pour un moment. Elle prit une assiette et y plaça une montagne de nourriture. Elle tendit ensuite cette assiette à Alfred avec un énorme sourire.

-Ceci dit, je crois que ça vaut la peine d'explorer ton idée avec Cézanne. Elle n'est pas du genre très extravagente, mais une union entre deux personnes vaut la peine d'être célébrer avec les gens qui nous tienne à coeur. C'est une journée spéciale... Ça mérite un peu plus qu'un déplacement dans une vieille batise!

Elle se servit ensuite une quantité similaire de nourriture avant de fermer les ronds de la cuisinière. Rose-May se dirigea ensuite joyeusement vers la table ou des ustensils étaient déjà posé et invita gracieusement Alfred à la suivre.

-Enfin... si vous en avez si peu parler... ça ne vaut pas tant la peine d'en discuter. Alors allons sur un sujet qui ne concerne pas ma fille directement.

La première phrase avait été dite avec une sorte de découragement. Cependant, une lueur d'intéret illuminait le regard de Rose-May, un peu comme Cézanne lorsqu'elle avait une idée très précise de ce qui l'intéressait. Dans ce cas précis, il était facile de savoir que cela concernait son interlocuteur tant son regard transperçait Aqua.

Alfred fronça les sourcils de façon moqueur lorsque Rose-May parla d’une “vieille bâtisse”, Il affichait clairement un air faussement outré. Un doigt taquineur se leva pour pointé la femme.

Vous saurez que ce n'est pas une vieille bâtisse, c’est un manoir! Il faut juste revoir la décoration. Alfred reprit un air souriant et retira son doigt. Ceci dit, je discutais avec Cézanne, je suis aussi d’accord pour quelque chose d’intime, ma seule attente soit que le moment soit mémorable

Alfred pris une gorgé de café avec un air pensif pendant que Rose-May terminait les assiettes. Le mariage avait toujours été une idée lointaine dans sa vie avant Cézanne. Il ne s’était jamais vraiment imaginé son mariage parfait, mais il ne serait surement pas tel un prince.

Bien sur, si elle aimerait faire ca dans un endroit plus… exotique, si nous allons avec quelque chose d’intime, il ne serait pas si difficile de faire déplacer les gens. Le budget ne sera pas un gros problème. Alfred se resservit du café alors que la matriarche servait la table puis s'assit directement en face de la mère de Cézanne lorsque celle ci l’invita à s’asseoir.

Un sujet qui ne concerne pas votre fille directement ? Alfred remarquait la petite lueur dans le regard de Rose-May, il connaissait cette lueur. À ce moment, malgré que les deux femmes n’avait pas de lien de sang, Alfred pouvait voir Cézanne à travers cette femme.

Vous semblez avoir déjà une idée d’un sujet, je vous écoute. Alfred semblait décontracté, il prit une bouché, son visage prenant un air ravis alors qu’il mâchait. Il regardait la femme blonde en face de lui avec intérêt. Elle avait clairement une idée derrière la tête

Rose-May fut ravie de l'ouverture qu'Alfred lui offrait sur le sujet. Elle n'avait pas encore commencer à manger, mais la faim n'était clairement pas son intérêt principal.

-J'aimerais bien en savoir un peu plus sur toi! Plus précisément, sur le don particulier que tu possèdes. Comment tu l'as découvert, comment tu l'as vécu à ce moment là et comment tu en es arrivé à en être ou tu es. Cézanne a été très vague sur le sujet... Elle a affirmer que ce n'était pas du bluff au niveau de la puissance mais elle a aussi dit que ce n'était pas à elle de m'en parler!

La femme commença à manger tranquillement en attendant la réponse d'Aqua. Son intérêt était visible et pratiquement palpable. Rose-May avait cependant de très bonne manière et cet intérêt était contrôler sous un visage serein très détendu. Seul la lueur au fond de ses pupils trahissait son impatience d'en savoir plus. Si ce n'était pas du fait que Cézanne avait prit ce trait de caractère de sa mère, il aurait été facile de ne pas s'en rendre compte.

Alfred eut l’air un peu surpris, il n’aurait pas cru que le sujet d'intérêt de la matriarche serait ses pouvoirs. Intéressant, elle est curieuse mais je me demande ce qu’elle veut vraiment savoir? Alfred pris un moment pour collecter ses pensés avant de regarder Rose-May sérieusement..

Mes pouvoirs ? Très bien,  je suis un cas un peu rare, mon don c’est manifesté bien tard dans ma vie, bien après la puberté. On ne sais pas pourquoi exactement mais la meilleur théorie serait un blocage psychique. Alfred eu l’air perdu dans une pensé pendant un court moment. Il eut air air gêné légèrement et détourna un peu le regard..

Je n'étais absolument pas près à leurs arrivés honnêtement. Mes pouvoirs ont surgi dans leur complète ampleur sans avertissement alors que j’étais au travail à un âge qui n’était pas normal. Ce ne fut pas un moment facile de ma vie. J’ai du passer beaucoup de temps à apprendre à les contrôlez, d’un sens je n’aurais jamais fini d’apprendre à le faire en fait. C’est une des raisons pourquois les droits des mutants me tiennent autant à coeur. Alfred ne sembla pas vouloir trop parler de cette période avec un résumé plutôt petit sur une grande partie de sa vie.

Pour ce qui est de la puissance de mon don, votre fille a raison, selon les barèmes accepter pour quantifier la puissance des dons des mutants, j’ai une classification de classe 5, ce qui veut dire que mon don est dans les 10 % des mutants les plus puissant connus. Alfred avait repris son ton sérieux.

J’ai un contrôle sur l’élément de l’eau Alors qu’il dit sa dernière phrase Alfred leva la main de façon théâtrale, il sembla que l’eau surgit de nulle part et prit la forme d’une rose liquide qui flottait dans les airs.

En fait, je peux aussi affecter l'état de l’eau, que ce soit liquide, solide ou gazeux Alors qu’il parlait, la rose qui flottait dans les air passa d’une rose d’eau, à une rose de glace puis une rose qui ressemblait à un nuage. Puis d’un coup de main la rose sembla exploser dans une myriade de flocon de neige qui disparaissait avant de toucher le sol.

Finalement, je suis aussi capable de me transformer moi même dans les même états; solide liquide et gazeux. En fait je transmute mon corp complètement en eau. Pour démonstration, la main d’Alfred passa à travers les trois modes de ses pouvoirs.

Finalement je dirais que mon contrôle est bien meilleur que lorsque j’ai découvert que j’était un mutant. Mon passage à l'institut et ses professeurs ont été d’une aide incroyable dans le développement de mes pouvoirs. Alfred souria doucement.

On ne parlera pas du sous sol... Pensa Alfred en préférant taire son vrai statut dans l'institut.

Avez vous d’autre question sur mes dons Rose-May ? Alfred semblait tout de même ravis du sujet, il n’avait absolument rien n’a caché à sa future belle-mère.

Rose-May écoutait avec intérêt chaque mot que prononcait Alfred. Elle n,était pas le moins du monde effrayer et semblait plus qu'heureuse de la démonstration gratuite des pouvoirs de son future gendre. Un peu plus et elle se mettait à taper des mains avec excitement comme une enfant.

- C'est fascinant! Quel mutation extraordinaire! Est-ce que ça peut fonctionner sur certains objets?

La matriarche s'était pencher un peu sur la table pour se rapprocher du spectacle. Si elle avait juger raisonnable de ne pas se lever pour carrément examiner Alfred, il était évident qu'elle se posait beaucoup de questions scientifiques pour expliquer comment un tel pouvoir fonctionnait.

-Est-ce que tu pourrais transformer quelqu'un d'autre? Jusqu'à quel point tu peux manipuler l'eau si elle n'est pas pure? Tu as réussie à contrôler le vin... est-ce que tu as déjà utilisé ton pouvoir directement sur quelqu'un? Est-ce que c'était douloureux pour la personne? Ton pouvoir est aussi puissant si tu es déshydrater? Est-ce que tu peux te déshydrater?

Elle enchainait les questions avec une tel vitesse qu'il aurait été difficile de répondre. Rose-May ressemblait désormais beaucoup plus à une petite fille en admiration devant son idol que la femme dans la quarantaine qu'elle était. Elle se rembrunit soudainement en se repositionnant correctement sur sa chaise.

-Selon vous...ma fille est quelle classe? Si elle est découverte...sera-t-elle en danger de se faire exploiter?

Rose-May semblait terrifier à cette idée.