Maison des Christopher

Alfred ria doucement quand il fut confronté à la Cézanne Britannique, il ne répondit pas, elle connaissait très bien sa réponse et son regard en disait beaucoup sur son point de vue.

Par contre le regard séducteur de Cézanne ainsi que la séance de pose ne manquèrent pas de lui rajouter un battement de coeur de plus. Elle savait qu’elle était magnifique et elle ne semblait pas toujours se rendre compte qu’elle utilisait ses atouts comme une arme face à Alfred.

Ca ou c’est vraiment une bonne actrice pensa t-il lorsqu’elle repris un air sérieux.

-Oh attend d’aller en Angleterre, pour Sir Pennyworth, une femme qui ne porte pas une robe est un crime. Bon… Une robe si courte serait aussi un crime. Le fait qu’on voit ton dos aussi serait un crime quand j’y pense dit t-il riant un peu, mais il était sérieux tout de même.

Lorsque les petits coups furent cogné sur la porte, Alfred se rapprocha de Cézanne avec un air confiant et déterminé.

Bon, le temps de sauté dans la cage aux lions est venu. Pensa t-il

-Je suis prêt, moi aussi je peux être un bon acteur s'il le faut, je ne suis pas avocat pour rien ! Dit-il fièrement en suivant Cézanne vers la cuisine. Restant près d’elle. Il était plutôt curieux par leur idée de trêve. Jamais ce genre de marché n’aurais marcher chez lui, alors il était plutôt fasciné par leur dynamique familiale.

Cézanne avait prit la main de son fiancé pour l'entrainé vers la cuisine. Son père était déjà assis à la table, bien adosser dans sa chaise. Sa mère retirait le repas du four. Heallya su immédiatement ce qu'ils allaient manger, mais ne dit rien. Sur la table, quatres couverts étaient disposé sur deux les côtés plus large de la table rectangle. Au milieu, un grand bol de salade ainsi que le vin rouge. L'atmosphère était très chaleureuse, comme s'il n'y avait pas eu de problème depuis le début. Cézanne prit place à la table, devant son père. Alfred serait donc devant sa mère lorsque celle-ci viendrait se joindre à eux.

-Tu es splendide dans cette robe mon poussin! Ça fait tellement longtemps que tu n'en porte plus, j'avais presqu'oublié que c'était possible! Marshall était de bonne humeur contrairement à quelques minutes plus tôt.  Mais n'est-elle pas un peu courte?La question n'était pas pour Cézanne, mais bien pour Alfred. La docteure le releva mais ne laissa pas cette attaque sournoise envers son fiancé passé.

-Merci papa! Elle est très confortable! Et cette longueur est tout à fait respectable! Ne soit pas rabajoie! Tu serais du genre à me faire passer pour un homme juste pour qu'aucun ne me regarde!
dit Cézanne sur le même ton enjouer.

Il va déjà dans des endroits dangereux. La reprise du huis clos va être agréable.
pensa-t-elle sarcastiquement.

Rose-May vient alors poser le souper sur la table. Une lasagne qui semblait bien ordinaire bien qu'elle sentait terriblement bon. -Peut importe ce que ma fille as dit: je ne suis pas une grande cuisinière! Mais il n'y a pas grand chose que je ne ferais pas pour mon bébé... La dame commença à servir les portions en commençant par l'avocat et finissant par elle-même. Elle n'expliqua pas ses mots. Heallya regarda donc son conjoint avec un petit sourire avant de se pencher vers lui.

C'est absolument gênant quand tu n'arrêtes pas de m'appeller ton bébé maman...
pensa Heallya.

-C'est le premier repas que j'ai manger ici. C'est également mon repas préféré depuis... Je t'aime.
murmura-t-elle a son oreille.

Elle n'avait pas besoin de lui murmuré toute l'explication, mais cela avait moins de chance d'agasser ses parents s'ils n'avaient pas l'impression qu'elle ne lui disait que quelques mots.

Main dans la main, le couple se rendit dans la cuisine. Alfred tentait d’avoir une expression heureuse et souriante. Il trouvait la situation intéressante c’était certain et il allait certainement jouer le jeu pour que Cézanne ai un souper normal avec ses parents.

La table était mise, Alfred trouvait qu’il y avait quelque chose de chaleureux, de simple  en voyant la mise en place. Alfred était heureux de voir qu’il avait été placé face à la mère de Cézanne, au moins il savait un peu son impression face à lui, son père a part certain petit commentaire paternel, était encore un grand inconnu.

La discussion père-fille qui suivit leur arrivée autour de la table donna un petit sourire à Alfred, il avait bien noté la pointe qui était dirigé vers lui et la réponse de Cézanne et choisi lui aussi de participer.

-Oh Monsieur Christopher, je suis d’accord avec vous sur toute la ligne ! Dit Alfred sur un ton semblable à celui de Cézanne. Malgré que cette robe va comme un gant à votre fille, c’est vrai qu’elle est un peu courte, selon l’occasion ce ne serait surement pas le premier choix, mais nous avons choisit de voyager léger, alors j’ai eu affaire avec une acheteuse locale qui à fait les boutiques à notre place pour quelques morceaux. J’ai prévu apporter votre fille faire les magasins durant notre séjour à Los Angeles. Si vous voulez, vous êtes le bienvenue !

Alfred se retourna vers Cézanne après avoir répondu au paternel.

-Cette robe doit être tendance en cette période de l’année, mais c’est vrai que tu es simplement sublime. Ceci disje suis peu être biaisé envers toi, je dirais surement la même chose si tu portais un sac de patate Dit Alfred avec un petit rire.

Note à moi même, ne pas lui montrer le contenu des sacs qui sont encore dans la voiture. Pensa Alfred sans perdre son sourire.

Lorsque Rose-May vint apporter le souper Alfred sentit l’odeur d’un air satisfait.

-Oh je Rose-May, je dois dire qu’il est beaucoup trop tard pour tenter de mentir sur vos talents, votre fille à comparer vos talent de cuisinière avec les plus grands chefs. Mes attentes sont très élevés face à cette lasagne ! Dit Alfred avec un ton faux-sérieux en tentant de faire la conversation de façon agréable.

L’explication murmurer de Cézanne le fit sourire de façon sincère.

-Oh, il faudra que je me rappel de cela en effet. Lui répondit-il avec un sourire tendre. Il ne murmura pas sa réponse par politesse envers ses parents.

Je vais devoir me rappeler de ce que nous avons mangé à notre premier souper ! Pensa t-il en se creusant la tête.

Alors qu’elle eut terminé de servir la lasagne, Alfred prit la bouteille de rouge qui était déjà ouverte et se pencha pour servir dans les coupes de façon décontractée, en commençant par Marshall, Rose-May et terminant par Cézanne et lui.

-Je ne savait pas ce qui était au menu, je suis heureux d’avoir apporté un rouge. Dit Alfred alors qu’il versait, si on portait attention, les quatres coupes avait exactement la même quantité de vin versé, aucune goutte ne fut perdu malgré qu’il ne portait qu'une attention très légère à ses actions.

-Je dois dire que votre maison est absolument charmante, j'espère bien que nous réussiront à reproduire un environnement aussi chaleureux et accueillant chez nous. Dit Alfred en se pendant un peu pour que son épaule touche celle de Cézanne en la regardant avec un regard amoureux

La famille continuait la trève avec beaucoup d'aisance. Ce n'était pas le première fois après tout! Cependant, c'était la première fois qu'il y avait un invité. Marshall ne répondit que par un mince sourire à l'affirmation d'Alfred. Il était difficile de savoir si cela lui avait plu ou non. -Je ne suis pas intéresser à faire les boutiques. Mais j'imagine que la proposition était également pour ma femme. Ça lui fera du bien de sortir un peu et de passer du temps avec sa fille. Je vous invite à lui en glisser un mot. Cézanne quant à elle arqua un sourcil lorsque son fiancé lui dit qu'elle serait également sublime dans un sac de patate.

D'accord, mais je ne vais pas porter un sac de patate pour vérifier!
pensa-t-elle en retenant un rire.

-Oh! Cézanne n'a jamais eu besoin de grande cuisine pour être satisfaite par un repas! La concerner se racla la gorge pour signifier qu'elle était là et qu'il était mieux de ne pas insulter ses papilles gustatives. -Et bien tu as réussi a manger la cuisine de ta tante...

-C'était par politesse! Tante Janis devrait être interdite à moins de 5 mètres d'une cuisine! Même moi je ne suis pas si maladroite!
dit Heallya, trouvant un peu insultant que sa politesse soit retourner contre elle.

Ses parents éclatèrent de rire. Visiblement, ils avaient cru que leur fille avait véritablement apprécier la nourriture à ce moment là. -Vous avez du gout Alfred. Les vins que vous avez apporter son de bon cru. C'est rare qu'un homme de votre age s'y connaisse en vin. Le père de Cézanne était content de cet connaissance. Il ne continua cependant pas sa pensé qui aurait pu l'ammener en terrain glissant. Rose-May rougit légèrement lorsqu'Alfred complimenta la maison.
-Merci beaucoup. Ça n'a pas été facile de plaire à tous le monde! La première chose à avoir pour réussir, c'est de l'amour. Et il me semble que j'en vois beaucoup...

-Disons que la seule raison pour laquelle nous ne sommes pas venu avant était faute de disponibilité.
dit Cézanne en regardant Alfred tout aussi amoureusement.

Le contacte, aussi petit soit-il, rendait le souper beaucoup plus agréable. -Plait-il? Cézanne se recula, mettant fin au contacte. Marshall hocha la tête en signe d'approbation. Sa fille regardait maintenant son assiette sans broncher. -Merci pour le vin! Vous êtes très doué! Je vous en prit, commencer à manger!

-Merci pour le repas.
dit Cézanne avant de commencer à manger.

Ce n'était rien! Tu ne l'accepte pas à ce point là? Mais qu'est-ce qu'il a fait!? Tu vas devoir t'expliquer après la trève!
pensa la docteure rageuse.

La réaction de son père face à une petite marque d'affection la frustrait énormément. Malgré ses efforts, l'émotion était facile à lire sur son visage.

Alfred hocha la tête de façon affirmative face au commentaire de Marshall.

-Mais cela va de soit quelle est la bienvenue! Alfred se retourna vers la mère de Cézanne. Si vous avez le temps, vous serez la bienvenue pour faire les boutiques avec nous lorsque nous y irons ! Alfred avait garder son ton enjoué.

C’est tellement étrange comme situation pensa t-il n'y montrant rien sur son visage.Il sourit au commentaire du sac de patates mais ne continua pas sur ce chemin et laissa la conversation avec ses parents continuer. Il fut amusé par les commentaires sur les goûts culinaire de Cézanne. Il choisit de ne pas commenter sur ce sujet non plus.

Je crois que je suis mieux de taire nos sorties au restaurant… Y compris celle en Italie. Pensa t’il se demandant si Cézanne leur en avait parler.

Il regarda Cézanne amoureusement, heureux de voir qu’elle semblait passer un bon souper au moins jusqu'à présent. Son père lui donna un rare compliment par la suite, ce qui le fit sourire. Le vin était un sujet

-Oh merci, j’ai eu la chance que mon père est très connaisseur sur le sujet, c'est une passion même, depuis que je le peux et je dois avouer, un peu avant, il ma fait découvrir cette univers. Vous devriez voir la cave a vin Pennyworth au domaine familiale, c’est quelque chose d'impressionnant. Mais sachant maintenant que vous êtes un connaisseur, lorsque je bâtirais la mienne, je vous demanderais conseil avec plaisir sur vos cru préférés. Alfred eu l’air intéressé par ce sujet de conversation.

Le petit froid qui vint suite au contact de Cézanne et Alfred ne sembla pas changer l’attitude extérieur d’Alfred. À l’intérieur c’était différent, clairement cela le dérangeait, ce n'était trois fois rien comme contact! Son père semblait avoir une dent contre lui et il ne pouvait pas dire pourquoi. La suite des choses allait être intéressante c’est sur…

-En effet, merci pour le repas. Le tout semble délicieux. Alfred répondit à la mère de Cézanne alors qu'il commença à goûter, il mangeait de façon plutôt distinguer, portant attention à ne rien tacher, et mangeant lentement.

-Hum, c’est aussi délicieux que cela semblait l’être ! J’ai goûté des lasagnes en Italie qui était certainement moin bonne que votre cuisine Rose-May. Je comprend pourquoi c’est le repas préféré de Cézanne maintenant !

Alfred continua de manger doucement, pensant à un sujet de conversation qui serait approprié mais sembla avoir de la misère à en trouver. Il sembla avoir une illumination puis il porta un alors un regard amoureux à sa fiancé.

-Cela me fait pensé, je n’ai jamais eu la chance de goûter à ta cuisine, est-ce que tu es du niveau de ta mère ? Personnellement je suis coupable d’être un bien piètre cuisinier moi même ! Comme tu la vue, je sors bien trop souvent au restaurent.  Dit Alfred en riant un peu

Marshall se racla la gorge, inconfortable face au regard de sa fille. Elle n'avait pas besoin de le fixé, il n'avait que rarement vu Cézanne perdre contenance durant une trève. Il eu droit à un regard désaprobateur de Rose-May. Cette dernière reprit rapidement un visage rayonnant. -Vous me flatter énormément! C'est une recette qui se transmet de mère en fille depuis des générations. Bientôt Cézanne aura le droit de la connaitre! L'interpeller leva les yeux pour regarder sa mère. Elle ne comprenait pas pourquoi elle aurait droit de connaitre la recette maintenant, mais elle ne posa pas la question.

Ce doit être parce que je vais quitté le nid familial pour de bon. Ça doit faire partie du trousseau.
pensa Cézanne avec une pointe d'inconfort.

Dit en ces termes, elle avait l'impression que cette maison ne serait plus la sienne. Comme une coupure définitive. Cézanne tourna la tête vers Alfred instinctivement. Croisé son regard lui redonna le sourire. C'était si facile de se perdre dans ces yeux azurés! La question frappa la docteure de plein fouet. Marshall du étouffé un petit rire.

-Disons que je me débrouille. Ce n'est pas vraiment un domain pour lequel j'ai beaucoup d'intéret. Et puis, avec mes études je n'avais pas vraiment le temps pour ça.
expliqua Heallya un peu gêné.

Marshall éclata finalement de rire, suivie par Rose-May. - Tu es beaucoup trop modeste! - Je n'ai jamais rivalisé tes patisseries ma chérie! - Et que dire de toute tes expériences quand tu étais petite! Tu passais tes journées dans la cuisine dans les jambes de ta mère! - Ne vous en faite pas Alfred! Cézanne sait très bien comment faire la cuisine, elle ne veut simplement pas l'avouer parce qu'elle n'aime plus ça!

-Ne les écoute surtout pas. Ma cuisine est loin d'être particulièrement excellente. Je suis simplement les recettes. C'est loin d'être difficile ou particulièrement bon.
répondit Cézanne avec une pointe de découragement.

Les parents de Cézanne continuèrent à rire un peu de la modestie de leur fille. Cependant, Heallya n'avait jamais mangé sa propre cuisine parce qu'il n'en restait pas une fois que son père passait par là. Elle n'avait même pas souvenir d'y avoir gouter une fois, d'ou son dégout pour la cuisine à présent.

Alfred remarqua le regard de Rose-May qui fut de courte durée, la tension était plutôt étrange à ce point, leur trêve était clairement difficile sur certain sujet. Le regard que Cézanne lui offrit lui donna une petite chaleur au fond de son cœur alors il était clairement encore en confiance car la femme qu'il aimait était a ses cotés et l'appuyait complètement. Il se demandait toujours ce que son père avait bien contre lui par contre, Alfred essayait de pensé et à part le fait qu'il soit un mutant... Un avocat... Qu'il ai travailler pour les Nations Unies... Son père peut-être ?

Alfred ria avec les parents de Cézanne de la situation qui s’était un peu décontracté. La gêne de sa fiancé ne fit qu'augmenter ce petit feu qui lui brûlait la poitrine lorsqu’il la regardait.

Je crois que la nourriture est un sujet plutôt prudent… Mais je ne crois pas que être trop prudent va aider la situation à long terme. Pensa t-il avant de parler.

-Alors, si tu n’aime plus cuisiner tant que ça, il faudra que tu me montre à cuisiner au minimum alors, il va bien falloir que j’apprenne si nous devons avoir une petite fille pour continuer la tradition de la recette de lasagne mère-fille. Surtout que cela a l’air d’avoir été de bon souvenir d’enfance pour toi et tes parents et j’aimerais bien que nos enfants grandissent sur de la nourriture maison aussi, alors je vais devoir mettre la main à la pâte. Dit Alfred sur un ton sincère. Il regardait Cézanne avec amour pendant qu’il parlait. Son choix d’avoir des enfants avec cette femme un jour était clair. Surtout qu’il savait que c’était aussi le désir de toute les parties de Cézanne.

Il savait que le sujet des enfants serait sans doute envoyer au rancart par le paternel très rapidement, mais en parlant de cela, il signifiait qu'il était la pour rester. Par contre il termina en parlant de nourriture maison pour dévier un peu le sujet. Lui même n'avait pas été élevé ainsi. La cuisine la plus maison lors de son enfance était fait par un chef, jamais il ne se rappelais avoir vu son père, ou l'une des femmes qui passa dans sa vie, cuisiner en fait.

Rose-May parru rayonné lorsqu'Alfred mentionna les enfants. Marshall, quant à lui, ne laissa absolument rien parraitre de ses émotions face aux sujets. Bien évidemment, en tant que parents le couple Christopher ne pouvait que comprendre et approuvé la décision d'avoir des enfants. Que ce soit un enfant né de l'union de leur fille et de son conjoint ou une adoption ne chageait rien à l'importance de l'enfant au sien de leur famille. -Vous souhaiter donc des enfants! Quel merveilleuse nouvelle! s'exclama Rose-May. Cézanne! Tu n'avais pas mentionné ça à ta mère! Tu as changer d'idée face au sujet! Ça me rend si heureuse! continua-t-elle. Le père de Cézanne étouffa un grognement, majoritairement destiné à sa femme. Cette dernière le regarda avec un énorme point d'interrogation sur le visage, puis la réalisation de la situation se dessina sur son visage. -Ce n'était pas le meilleur moment pour en parler. Marshall prit une gorger de vin. Son ton paru s'adoucir un moment.

- Et bien... Ce n'était effectivement pas le meilleur moment vu les évènements de la dernière année... On en a un peu discuter sans plus...
dit Cézanne visiblement gêner par le sujet.

Son visage s'état empourpré un brin et ce n'était pas le vin.

Je suis surprise que ce ne soit pas un sujet à éviter! J'aimerais bien dire que le sujet me dérange... mais si ça ne dérange pas papa, je préfère continuer à en parler!
pensa la jeune femme désenparée.

Le malaise de leur fille ne semblait pas déranger ses parents. Même que cela semblait les amuser. La maternelle offrit un énorme sourire à toute sa petite famille. -Alors!? C'est pour quand? demanda-t-elle impatiente.

Cézanne recracha sa gorger de vin plus vite qu'elle ne l'aurait cru possible.

Alfred s'esclaffa de rire lorsque Rose-May demanda quand ils auraient des enfants tout en levant la main juste un moment avant que la gorgé de vin de sa tendre moitié n'éclabousse ses parents et leurs repas. Le vin qui était encore dans les airs et paraissait figé dans le temps. Il affichait un sourire timide.

Rose-May sursauta lorsqu’elle s'aperçut que le vin était suspendu dans les airs en face d'elle alors que Marshall se contenta de fronçer un sourcil.

Pardonnez-moi, mais je crains que ce n’ai pas pour tout de suite Rose-May. Cézanne m'a demandé de garder sa virginité jusqu'au mariage, il ne faudrait pas sauté des étapes tout de même. C’est un sujet complexe ça. plaît-il ?Dit avec avec une voix douce mais sérieuse. Alfred se retourna ensuite vers Cézanne et posa sa main sur la sienne. Pendant qu’il se retournait vers elle, le vin, qui était toujours suspendu dans les airs sans bouger, se mis à tourbillonner dans les airs subitement et se rassembler jusqu'à devenir qu’une seule grosse goutte de vin qui fila vers l’évier de la cuisine.

Par contre, il est certain que si j’ai la chance d’avoir des enfants dans ma vie, c’est avec  la femme qui a conquis mon coeur et avec lequel je vais passer le reste de ma vie. Dit-il avec tendresse en regardant Cézanne. Je ne peux pas voir un avenir sans elle.

Cézanne ne savait plus trop ou se mettre. La situation n'avait rien d'ordinaire...même pour la famille Christopher! Ses parents semblaient prendre un malin plaisir à la rendre mal-à-l'aise et bien qu'ils évitaient les points les plus crutiaux du moment, ils sautaient à pieds joints dans les futilités de sa relation.

Est-ce que c'est une punition? Alfred... arrête d'embarquer dans leur jeu!
pensa-t-elle, regrettant ne pas avoir de pouvoir télépathique.

La docteur s'empourpra de plus belle lors que son fiancé mentionna son voeu de chasteté. Elle ne savait que trop bien pourquoi il le mentionnait. Cependant, ce n'était pas un sujet qu'elle voulait aborder aussi ouvertement. Elle fut tenté d'expliquer pourquoi elle avait prit une telle décision en guise de revenche, mais ce n'était pas l'idée la plus brillante pour que son père aime son future gendre. Cézanne se contenta simplement de regarder son fiancé d'un aire désemparer... elle était complètement vunérable à n'importe quel attaque, incapable de se défendre sans endommager un partie ou l'autre. Heureusement, Rose-May et Marshall ne virent absolument pas ce moment d'imploration de leur fille et focussèrent sur la dernière partie de la réponse de l'avocat. Les parents d'Heallya se regardèrent tendrement en souriant. C'était le premier signe approbatif qu'ils donnaient depuis que le jeune couple avait franchit la porte. Ce ne fut que de courte duré...si court que cela échappa probablement aux deux tourtereaux.

Le souper continua sur une note joyeuse, bien que les questions et les demandent se firent de plus en plus ambitieuse à l'égard d'Alfred. Le père de Cézanne se donna également beaucoup de plaisir à empêcher tout rapprochement entre sa fille et son fiancé. Cézanne n'avaient jamais vu ses parents être aussi sournois!

C'est une blague... Ils veulent me faire piquer une crise ou quoi?
pensa-t-elle intérieurement.

Marshall se doutait qu'Alfred serait très enclin à vouloir faire bonne impression et il en abusait complètement! Malgré son aire calme et posé, Cézanne bouillonnait à l'intérieur. Pour Alfred, leur petit discours devaient être tellement anodin... et pourtant Cézanne savait que ça ne ressemblait en rien à ses parents! -Je commence à vous apprécier de plus en plus! Avec votre expérience, ma fille est entre de bonne mains! déclara l'homme dans la quarantaine. Il n'en fallu pas plus pour que la docteur craque.

-Là c'en est trop! Je ne te permet pas! On est sensé être en trève et vous en profitez pour être méprisable!Les couteaux volent plus bas que jamais et vous insulté non pas seulement Alfred mais également moi, mes choix et mes décision à son égard! Je suis dégouté!
s'ecria-t-elle en se relevant brusquement de sa chaise.

Cette dernière se renversa et claqua brusquement sur le sol. Rose-May avait légèrement sursauter lorsque sa fille avait décidé que s'en était assez. Marshall était resté de marbre.

Plus la soirée avançait, plus Alfred était mal à l’aise. Les questions des parents de Cézanne était de plus en plus personnel et avec une insistance donc il n’était pas habituer. Il faut dire qu’il n’était clairement pas dans son élément en ce moment. Les scène familiale chez les Christopher était très loin de celle qu’il avait été habitué chez les Pennyworth.

Il tentait tout de même de garder la conversation le plus neutre possible, mais il pouvait voir la jeune femme au yeux gris prendre un air de plus en plus calme et serein. Alfred n’était pas dupe. Il pouvait voir le chemin dans lequel ils se dirigeaient

Au moins le ton est plutôt joyeux en ce moment, mais je ne comprend pas pourquoi Cézanne semble si incorfortable. Elle tentait de le caché mais Alfred pouvais bien voir la pression monter derrière son visage. Il aurait juré voir une trace de rouge dans le gris de ses yeux lorsqu’elle se leva d’un coup.

Alfred fut prit de surprise par la réaction de la jeune femme. Il n’avait pas compris pourquoi les paroles de son père avait eu un effet déclencheur aussi brusque et il fut pris dans une petite stupeur. Le claquement de la chaise eut pour effet de réveiller Alfred et la mère de Cézanne de leur torpeur respective.

Rose-May semblait digéré les paroles de sa fille, surprise elle aussi de l'éruption d’émotion de sa fille. Sa petite bouche était ronde de surprise et ce ne fut qu'un moment plus tard qu’elle se mit à parler très faiblement

-Ce n'est pas comme ça, je n’ai pas... Rose-May tenta quelques mots sans terminer sa phrase lorsqu’elle sembla sortir de sa torpeur.

Le visage de Marshall tant qu’à lui n’avait toujours pas bouger tout le long du moment mais lorsque Alfred se leva pour prendre la main de Cézanne il fronça visiblement des sourcils et son visage se fit un peu plus dur.

Qu’est-ce que cela va prendre pour que le masque craque ? Pensa alors Alfred avant de prendre la parole en direction de la jeune femme à ses côtés.

-Allons Cézanne, je ne crois pas que tes parents voulaient nous insulter avec leurs paroles. Ils n’auraient pas de raison de faire cela n’est-ce pas? Alfred tentait de calmer le jeux, mais il savait qu’il était en train de faire l’avocat du diable en ce moment. C’est pour cela que les derniers mots de sa phrase avait été clairement dit en direction des parents de Cézanne avec une intonation qui ne laissais pas place au doute de la question

Il sera doucement la main de sa douce, comme pour lui signifier qu’il était là, juste à côté. Qu’il était avec elle.[/color]

Le silence dura un long moment. Cézanne et son père se fixèrent tout le long de cette éternité. La docteur défiait certe son père de démentir ne serait-ce qu'une seconde les insinuations qu'il avait fait, sans compter que sa mère avait également participer. Puis soudainement, les traits de Marshall se détendirent. -Il t'en aura fallu du temps! Je crois bien que ta mère n'aurait pas tenu bien plus longtemps! s'exclama-t-il. Rose-May sembla fondre sur sa chaise, un soupire de soulagemant s'échappa d'elle alors qu'elle se mit à rire doucement. -Je croyais que ça prendrai tellement moins de temps! Je suis désolé Alfred! Mais sur ce coup, mon bébé à tout à fait raison. On a pousser la note exprès! expliqua la pharmacienne. Cézanne semblait confuse...ultra confuse. Ce n'est pas la réaction qu'elle attendait.

En fait...je ne sais pas trop à quoi je m'attendais...
pensa Heallya.

Toujours aussi confuse, elle passa son regard de ses parents à Alfred. Au moins, sa colère n'était plus là. Elle serra la main de son conjoint un peu plus fort alors qu'une illumination la frappa. La jeune femme écarquilla les yeux, l'air choqué.

-Un test? Vous m'avez testé pendant une trève!? Vous êtes horrible!
s'exclama-t-elle stupéfaite.

Rose-May et Marshall se regardèrent un petit moment droit dans les yeux, l'air de se demander si c'était si terrible que ça, puis éclatèrent de rire. -Mon poussin! Tu n'as pas spécifier jusqu'ou la trève allait! Pour notre part, nous n'avons pas aborder notre mécontentement face à ton travail, tes rechutes, ton compagnon et pourquoi toute cette situation nous incommode. Dans n'importe qu'elle autre situation ou tu nous aurait présenter un gendre popentiel: nous arions fait pareil. expliqua calmement son père. -N'oublie pas que c'est la première fois qu'on le rencontre. Vous semblez vous aimez d'un amour sincère...mais si tu n'es pas prête à minimalement nous confronter pour protéger cette petite chose fragil qu'est votre amour: à quoi bon? On a pas de temps à perdre pour vérifier ces choses là en tant que parents! Vous êtes déjà fiancé! continua sa mère. Cézanne soupira, défaite. Les intentions de ses parents étaient nobles...mais l'enfer est pavé de bonnes intentions!

-D'accord... Alors les ''attaques'' étaient simplement pour me faire réagir. Je vois. réfléchit à haute voix Heallya. Contente de savoir que j'ai passer le test ridicule et absurde de la famille Christopher en terme de ''savoir à quel point son enfant aime la personne qu'il vous présente''!

La docteur relacha à se moment la main d'Aqua pour replacer sa chaise et se rassoire rageusement sur celle-ci, visiblement offusqué de constater que ses parents se ''payaient encore sa tête''.

Alfred avait un air incrédule.
Son inconfort se transforma en confusion rapidement. La situation avait tourné dans un sens qu’il n’avait pas vu venir. Les parents de Cézanne était en train de rire !

Mais que ce passe t’il? Pensa t’il lorsqu’il vu Rose-May se détendre sur sa chaise en riant. Un test ? Mais pourquoi un test ? L’air confus resta sur le visage du jeune Pennyworth tout le long de l’explication des parents. Lorsque Cézanne se rassit sur sa chaise, Alfred se reprit tranquillement  et s’adressa à Marshall et Rose-May en face de lui.

-Si je vous comprend bien, vous avez agit comme cela depuis notre arrivée, c'était pour tester l’amour de votre fille envers moi ? Et vise versa ? Rose-May roula presque des yeux en regardant Alfred. ET Marshall

Allons ! Ce n'est pas si horrible ! Je suis certaine que vos parents feront quelque chose de semblable lorsqu’ils rencontreront notre fille! Que voulez vous ! Vous avez sautés des étapes!continua la mère de Cézanne.

C’est à ce moment que Marshall rumina- -Exactement, dans j’étais jeune on demandait la permission avant de se fiancer.

Alfred se reprit suite au commentaires et sembla pensif pour un moment après les explication de Rose May et de Cézanne. Un sourire légèrement amer se dessina sur ses lèvres.

-Oh je ne crois pas que mes parents auront ce genre de réaction malheureusement. Ceci dit, je ne crois pas que la famille Pennyworth soit un exemple à prendre côté familiale non plus. Alfred se tourna vers Cézanne à ce moment. Elle semblait avoir passé d’en colère à offusqué, la situation avait clairement reculé d’un cran tout d’un coup. Alfred en profita pour continuer alors que le sourire amer disparaissait avec le changement de sujet. -Pour ce qui est d’un bon exemple de famille, Cézanne semblait dire qu’elle en avait eu un bon exemple elle-même. Alors dite moi, que veux dire la réussite de ce test pour vous ?  

Et est qu’il y en aura d’autre comme ca ? Pensa t’il sans le dire à voix haute.

Les deux parents arrêtèrent de rire doucement après un petit moment. Marshall soupira au propos d'Alfred sur ses propres parents. -Je suis conscient que vous n'avez pas exactement les mêmes... valeurs. dit-il très calme. C'est un peu pour cette raison que je prépare ma fille à subir de potentiels attaques de votre famille. -Je crois bien que nous pouvons terminer la trève ici si l'on commence sur ce sujet... intervint Rose-May. Marshall croisa ses mains devant lui, les coudes déposé sur la table. Il avait un air grave, réellement inquiet pour sa fille. Cézanne acquieça à terminer la trève.

-Je crois être capable de me défendre.... sans compter qu'Alfred sera là pour m'aider. Je n'ai pas peur de sa famille. Ils saignent comme tout le monde!
répliqua-t-elle à son père.

Marshall sembla ne pas écouter sa fille, posant son regard sur Aqua. - Ma fille vous as surement dit que j'ai fait des recherches sur vous? La question était réthorique. -Et bien, votre jeunesse d'homme plutot fugace semble loin derrière. Vous avez pu profiter des meilleures écoles sans toutefois acheter vos accomplissements et je n'ai rien à dire sur votre travail. Les mutants peuvent être dangereux de par leurs pouvoirs certes... mais ils sont humains également et méritent que l'on fassent respecter ces droits. La mère de Cézanne commença à ranger la table dont les assiettes étaient vides depuis un moment. Elle ne semblait pas vouloir participer à cette discution. -Le fait que ma fille ait réussie ce ''test'' signifie simplement qu'elle endurera sans broncher beaucoup de choses... du moins j'ose l'espérer. Notre bénédiction ne dépendra que de vous maintenant. continua Marshall. Son regard passa d'Alfred à Cézanne. -J'aimerais m'entretenir avec lui ma chérie...si ça ne te dérange pas. Le timbre de voix de son père était las et bien que cela n'enchantait visiblement pas Cézanne d'accorder cette entretient privé à son père... elle le ferait.

-Seulement si Alfred est d'accord. S'il veut que je reste, je n'irai nul part.
céda-t-elle à contre coeur.

Je n'aime pas ça...
pensa-t-elle.

Selon la réponse d'Alfred, Cézanne ira rejoindre sa mère pour l'aider à ranger la cusine et les deux hommes iront dans le bureau ou bien la discussion aura lieu dans le salon. Marshall semblait pourtant insister sur l'entretient privé...

Le fait que Marshall avait enquêter sur sa famille et sur lui était connus, Alfred ne broncha même pas. La suite lui donne un petit rire par contre

Des attaques de ma famille ? Alfred sembla amusé de la pensé Si seulement, ca serais mieux que ce qui risque d’arriver Pensa t’il alors que l’image du dernier souper de famille surgirent dans sa mémoire.

Cependant, le regard sévère du patriarche qui suivit ne laissait pas tant de place pour le refus de sa demande. Mais Alfred en avait l’air heureux, les conversations directe était de toute façon plus son genre. Même dans son travail il préférait éviter la politique et prenais une stratégie souvent très directe.

Seul à seul avec le paternel. Encore une fois, je préférerais une demi douzaine de sentinel! Pensa t’il en se levant à l’invitation de Marshall.

Je serais un très mauvais invité si je vous refusais une discussion en privé Monsieur Christopher. Alfred replaçant un peu son habit après s’être relever et déposa un baiser sur la tête de sa douce avant de continuer. Votre bureau ?

Marshall sembla apprécier l’acception rapide et sans discutions d’Alfred mais l'appellation Monsieur Christopher le fit froncer un peu des sourcils.
Oui, le bureau sera parfait. Il ne dit pas un mots de plus avant de le lever et de se diriger vers son bureau.

Alfred se pencha vers l'oreille de Cézanne et lui murmura :Ne t'inquiète pas, dans le pire des cas je peux peut être me sauver par la fenêtre. Dit-il sur un ton blagueur avant de se diriger vers le bureau. Juste avant de passer la porte il lança à Cézanne un regard amoureux et lui fit un petit clin d’oeil.

Passé le pas de la porte il ferma celle ci en arrière de lui alors que Marshall était déjà à servir deux verre d’une cruche de verre sur son bureau. Alfred pris place dans l’un des sièges et attendit que Marshall s’installe et commencer la conversation.

Marshall semblait plus que tendu. Il se tenait droit derrière son bureau et ne semblait pas savoir par ou commencer. Après avoir servi les deux verres, il déplaça un cadre derrière lequel il ouvrit un coffre fort. Une pile de document s'y trouvait. Il soupira et les sorties pour les déposer sur le bureau, devant Alfred sans pour autant les lui donner.

-Vous avez dit vouloir protéger ma fille si qui ou quoique ce soit voulait lui faire du mal... mais je ne crois pas que vous sachiez exactement tout à son sujet.
commença-t-il sur un ton grave.

L'homme aux tempes grisonantes prit une gorgé de l'alcool dans son verre. Surement pour ce donner un peu de courage. Il s'assit calmement dans sa chaise.

-Vous êtes au courant n'est-ce pas?Avec votre réaction de vous interposer entre Rose-May et Cézanne un peu plus tôt, je pense ne pas me tromper en affirmant que vous savez.
continua-t-il d'un ton grave.

Le paternel restait quelque peu évasif...si Aqua n'était pas au courant, il serait de son devoir de l'en informer... et de potentiellement détruire la relation de son unique enfant. Cette conversation semblait lui peser beaucoup plus que ce qu'il voulait bien laisser paraitre. Son regard analysait l'homme devant lui d'une façon quelque peu inconfortable, sans être malsaine ou empreint de mauvaise intention. Plus comme un avertissement que si son interlocuteur voulait lui mentir ou simplement esquiver la vérité...il le saurait.

Alfred regarda Marshall étrangement lorsqu'il déposa les papiers. Il n’avait aucune idée de ce que Marshall allait lui parler, mais lorsque les documents furent sorti, il comprit un peu plus.

C'est le temps de savoir l'étendue des connaissance de Marshall envers sa fille, je risque d’en apprendre aussi sur Cézanne.

Sans dire un mots, Alfred pris le premier document et pris le temps de regarder son contenu de façon superficiel. Puis il passa au suivant, puis au suivant et encore au suivant. Seulement une gorgée de temps à autre arrêtais sa lecture des documents. Alfred était un habitué de la lecture rapide et en diagonale, malgré cela lui prit un bon moment pour se faire une idée des documents devant lui.

C’est pire que j’aurais pu le croire… Pauvre Cézanne, si seulement... Cependant Alfred n’avait pas l’air surpris lorsqu’il parcourut les documents, seulement un air sombre laissait paraître qu’il ne lisait pas le journal en ce moment. Si c’est tout ce qu’il sait à propos de Cézanne, je comprend sa réaction maintenant Pensa t’il tournant un lourd regard vers Marshall. Il avait l’air triste.

Marshall avait regardé Alfred durant sa lecture pensivement. Il connaissait le dossier par coeur, chaque page que Alfred lisait Marshall pouvait se rappeler de chaque mots et observait les réactions de Alfred avec attention lorsqu’il prit certain dossier. Malgré son doute qu’Alfred était au courent pour sa fille, il n’aurait pas cru qu’il serait resté calme tout ce temps. Lorsque son regarde croisa le sien et qu’il vu la pointe de tristesse dans les yeux d’Alfred, il croyait bien qu’il venait de briser la première relation de sa fille, il n’en était pas heureux, mais il devait le faire.

De son côté Alfred n’avait pas laissé beaucoup d’information passer, le dossier était complet et monté avec attention. Malheureusement il avait confirmé que jamais Cézanne n’avait été vu comme une mutante, mais comme quelqu’un avec des problèmes mentaux. Elle n’avait jamais eu le support qu’elle avait besoin quand elle était jeune.

Merci de ceci, je prend votre ouverture comme une marque de respect et j’ose dire d’acceptation de votre part. Alors maintenant c’est à mon tour.   Alfred se leva et se dirigea vers le cabinet à alcool du bureau et remplit son verre et en profita pour remplir celui de Marshall. Lorsqu’il revint prendre place dans une position confortable et regarda Marshall avec une intensité peu courante.

Je me doutait un peu de son passé, pas dans les détails, les mutants qui ne sont pas détecter jeune souvent ont une vie très rude devant eux malheureusement. Le cas de Cézanne est encore plus unique, je ne pourrais pas dire si c’est sa mutation qui a causé le schisme dans son esprit ou si c’est sa mutation qui a été affecté par son état d’esprit. Par contre c’est un testament à sa resilience qu’elle soit aujourd’hui qui elle est, enfin je crois. Alfred le croyais vraiment, il continuer sur le même ton, le regard toujours aussi serieux. Alors si vous me le permettez Marshall j’aimerais vous parler de Cézanne Christopher tel que je la connais.

Clairement, Alfred attendait la permission de Marshall pour continuer, il l’avait appelé par son prénom volontairement aussi.Il avait un air sérieux et tranquillement sa tristesse semblait balayer par un sourire, il semblait se rappeler des souvenirs et il était en train de replacer des moments dans sa tête.

L'axiété avait quelque peu quitté Marshall alors qu'Alfred continuait de parler de sa fille comme d'une personne normale. Enfin...aussi normale que Cézanne pouvait l'être. Le calme que l'avocat arborait laissait tout de même le parternel sur un brin d'insertitude. Était-ce une façon de baleyer les faits? Était-ce un jeu d'acteur? Était-ce de la colère? Marshall ne connaissait pas assez bien Alfred pour le dire.

-Je ne sais pas si votre soucis de sa santé mentale comparativement aux actes qu'elle a commis me réjouit ou non... commença-t-il, mais sachez que j'ai conscience que ma fille n'est pas folle. Ce n'est pas non plus le cas de ma femme. Le problème que nous avions était hautement lié à la colère et à la violence démesuré qu'elle projetait sur nous. Sa personnalité changeante nous a également beaucoup inquiéter...puisque c'était hautement lié. J'ai confiance en ma fille, Monsieur Pennyworth. Pas encore en vous.

Marshall pris une gorger d'alcool, fixant toujours son regard sur son interlocuteur.

- La raison de notre inquétude face à elle et son état mental vous est grandement attribuable en ce moment. continua-t-il, l'air de retenir une colère grandissante. Recevoir un appel du directeur de l'institut Xavier mentionnant que mon enfant unique se laisse mourir et qu'il serait mieux de la ramener chez elle pour un temps n'a jamais été un réel problème jusqu'à maintenant. Rose-May ne voulait que ça: le retour de sa fille!

Le père de Cézanne se leva tranquillement de sa chaise, toissant maintenant son future-gendre. Si ce regard avait eu le pouvoir de sa fille... Aqua n'aurait probablement pas pu ressortir de la pièce.

-Recevoir un appel de ma propre fille...

Sa voix grave menaçait de se brisé. Malgré sa colère, les souvenirs qu'il se remémorait lui causait un chagrin plus grand qu'il n'avait voulu le montrer jusque là.

-... de ma propre fille... me suppliant de venir la chercher en plein milieu de la nuit, parce qu'elle ne supporte plus de devoir se nourir, qu'elle est épuisé, qu'elle n'y arrive plus ... J'ai du dire à ma femme que Cézanne avait rechuter dans son dédoublement de personnalité. J'ai remarquer avec les années que ça arrivait surtout lorsqu'elle était en danger physique.

Marshall respira profondément pour se redonner une contenance.

-Cézanne... est magnifique. L'une des femmes les plus fortes, résillientes, débrouillardes et intelligentes que je connaisse. Elle a un coeur en or... Si vous n'aviez pas, ne serait-ce qu'un dixième de mon admiration pour elle, je ne crois pas que vous seriez encore ici après ce que je viens de vous montrez. Ce n'est pas à propos de moi, Alfred. C'est à propos de vous. finit Marshall toujours debout.

Le docteur se dirigea tranquillement vers la fenêtre en contrôlant sa respiration. Son trésor méritait une personne a sa hauteur... et encore plus vu son passé. Il ne doutait pas une seule seconde que sa fille ait tous les atouts pour réussir dans la vie, mais ces erreurs pouvait la détruire. Son père était conscient du minimum de protection dont Cézanne avait besoin: que l'homme de sa vie soit au courant de ses actes passés pour la comprendre et mieux la protégé.

Alfred garda son air sérieux durant le monologue du paternel, du début à la fin il resta de marbre. Si les paroles pouvait affecter Alfred, rien n'y était lisible. Il était passer en mode travail depuis un certain temps maintenant.

À propos de moi ? Le ton d'Alfred était neutre, mais sec. Le passé de Cézanne est important, je vous l'accorde, et sachez que si jamais des événements surgirait sur les éléments de ce dossiers, mes ressources seront les vôtres pour gérer ce la situation. Alfred prit une gorgé sans quitter du regard l'homme devant lui.
Je suis d'accord aussi que Cézanne est l'une des femmes les plus fortes, résilientes, débrouillardes et intelligentes que j'ai eu la chance de côtoyer, ça et milles raisons font que je suis en amour avec elle. Oh et en effet, elle est magnifique. Alfred se replaça alors confortablement et regarda Marshall avec intensité.

Si tout est à propos de moi, j'écoute vos questions mais j'aimerais mettre une chose au clair.   Alfred termina la gorger dans son verre avant de continuer. J'ai en effet brisé le cœur de votre fille en voulant la protéger car je devais partir en zone de guerre. Mon erreur a été de croire qu'elle avait besoin d'être protéger. Alfred déposé son verre sur la table et un sourire subtil apparut sur son visage.

Mais votre fille vous à appeler car elle avait le coeur brisé, par ma faute en effet, et je le regrette. C'est la première fois que votre fille a eu le coeur brisé, cela a dû être un moment difficile pour vous en tant que père lorsqu’elle vous a appeler. Mais son passé et son futur sont deux choses séparé. Je comprend votre tristesse à voir le coeur brisé de votre fille, et la situation particulière de Cézanne n’a pas aidé certe. Mais croyez moi, avoir su que cela allait la blesser à ce point, j’aurais agis différemment. C’était la première fois que Alfred laissa passer une émotion sur son visage, le regret.

Alfred termina avec un ton beaucoup plus doux et détendu.

J'aime aussi Axya, pour moi c'est la même personne. Nous avons eu quelques discussions déjà, alors je travail pour que ce genre de chose n'arrive plus à la source. Dit-il en pointant la pile de papier devant lui.

Alfred attendit l'impact de sa phrase. Il ne savait pas si le paternel était au courent de la presence active de Axyahell.

Les émotions sur le visage du paternel changeaient beaucoup lorsqu'Alfred parlait. D'abord, un énorme soulagement lorsqu'il su que sa fille aurait l'un des meilleurs avocats à ses côtés si jamais les évènements passés venaient à ressurgir. Puis, un sourire lorsque son interlocuteur parlait de sa fille avec des mots avec de fortes quonotations positives, malgré le ton neutre. Marshall approuvait également le regret que ressentait Alfred. Il avait également quelques reproches à se faire... L'émotion la plus marquante fut toute fois la perplexité à la mention ''d'Axya''.

-Axya? Ce nom ne me dit rien... commença Marshall. Vous parlez de ''l'autre'' personnalité de ma fille?

La nostalgie s'empara du paternel. Il n'arrivait visiblement plus à cacher quoique ce soit ou bien il n'essayait simplement plus.

-Alors elle vous parle... C'est une excellente nouvelle. continua-t-il, incapable d'être heureux à cent pourcent. Il éprouvait visiblement un brin d'envie. Elle a refuser de me parler lorsque j'ai inscrit Cézanne à des cours d'auto-défense. Le coup de téléphone était la première fois depuis... bien trop longtemps! C'est une très bonne chose...

Il soupira. Un soupire pesant le monde. Il avait enfin un allié. Il pouvait enfin ne plus être le gardien de tous les secrets de sa fille. Il prit une gorger d'alcohol avant de s'installer plus confortablement sur sa chaise.

-Ce qui m'inquiet... c'est votre famille Alfred. Les ''Pennyworth'' ne sont pas de parfait inconnu. Même si vous êtes le plus discret... et ici ce n'est pas très réaliste... un marriage va surement attirer l'attention. Sans compter que ces ''évènements'' pourrait très bien se retrouver dans les mains de personnes avec beaucoup de ressources. Je n'ai malheureusement pas le bras si long... expliqua le père de Cézanne.

L'home dans la quarantaine semblait beaucoup plus chaleureux. Il n'était plus du tout sur la défensive et il cherchait simplement à appaisser ses craintes. Si le jeune homme devant lui pouvait parler ouvertement avec la personalité problématique de sa fille... alors ça ne lui servait absolument à rien d'essayer de s'interposer! Il n'allait que s'attirer les foudres d'une dangereuse mutante déjà particulièrement remonter contre lui!

Alfred fut surpris par le revirement de ton du paternel.

Je l’avais clairement mal évalué et je suis tomber en mode travail.     Devant cette réalisation Alfred se détendit d’un coup et un léger sourire apparut sur son visage. En plus il ne connais pas Axya, il va avoir gros des points a voir... Pensa parut pensif un moment puis répondu a Marshall lorsqu’il fini de parler.

Ma famille ne devrait pas être un trouble, la famille n’a que de l’argent et de l’influence et pour être tout à fait honnête, la famille Pennyworth n’a pas d’ennemies, le patriarche s’en est assurer il y a des années. Aujourd’hui par contre, avec tout ce qui se passe, le paternel se fait vieux. Ma sœur s’occupe déjà de l’entreprise familiale depuis plusieurs année. Alors que techniquement j’ai une partie du petit empire Pennyworth qui me revient et un certain droit de regard, je ne participe pas directement à la gestion, c’est un choix que j’ai fais quand j’ai commencé à m’occuper de cas… spéciaux...  Vous pouvez penser que je suis un peu la chèvre noire de la famille.  Alfred pensa un moment et se mit à rire. Ah non, c’est vrai, le paternel imposera surement un contrat de mariage pour protéger mes acquis et s’assurer que ce n'est pas une façon pour une femme de me soutirer de l’argent...

Clairement qu’il va vouloir un contrat, 200 pages en petit caractères.     Pensa Alfred en souriant.

Je suis aussi un mutant ouvertement assumé, si jamais le fait que ma femme soit une mutant sorte, cela ne surprendra personne en soit. Et pour le monde entier, Cézanne est la médecin de l'institut, une médecin hautement apprécié je dirais en plus. Alfred prit une gorgé et continua avec un ton aimable. Je ne crois pas que Cézanne désire un énorme mariage non plus, la nouvelle de notre mariage fera tout au plus la page 10 et le monde l’auront oublié peu de temps par la suite. Alors si il y a des ponts à brûlés, attendons de l’avoir traversé, non ?

Alfred eu un sourire un peu sec, et le regard qui durci avant de continuer, comme s’il se rappelait d'événement passé. Par contre, je ne dis pas que je suis sans ennemies présentement ou futur, mais si jamais nous avons des ennemies qui souhaite s’en prendre à moi ou votre fille, j'espère pour eux qu’il sont très bien préparés, car je serais sans aucune merci. Les derniers mots de Alfred avait presque été dit avec une fureur lisible dans ses yeux puis aussi rapidement qu’il était apparu, Alfred balayant la pointe d'agressivité de son visage avec un sourire.

Mais de toute façon, qui pourrait nous vouloir du mal ? Alfred continua avec un sourire étrange. Je pourrais surement faire une liste...     Pensa t’il à ce moment.

Pour ce qui est de Axya, quand ce sera possible, je tenterais de pousser pour un contact. Mais vous devez comprendre que ce côté de Cézanne est un peu difficile par moment. Mais au final, elle est une facette de Cézanne, pas quelqu’un autre, c’est une parti d’elle. Alfred posa son verre sur la table. Quand vous voudrez, je vous parlerais de mes contacts avec elle, votre avis pourrais m’aider avec elle je crois. Alfred se replaça après avoir déposé son verre de façon confortable.

D’autres questions pour moi sinon cher beau-père ? Alfred affichait son plus beau sourire.

Marshall appréciait la fermeter de son future gendre. Il fût un peu surprit qu'Alfred ne pense pas que sa famille soit un problème, surtout vu le dossier qu'il venait de lui montré. Ceci dit, il préféra clore le sujet plutot que d'insister sur ses craintes et appréhension. Il voulait faire confiance à l'avocat sur ce coup là. Il ne pu s'empêcher de rire à la mention du contrat de marriage. C'était d'une telle évidence que les Pennyworth voudraient protéger leur acquis et c'était encore plus évident que Cézanne n'en avait rien à faire de cette argent!

-Concernant vos potentiels ennemies...il va sans dire que la situation est plutot tendu en ce moment. Peut-être pas au niveau personnel, mais les relations mutants-humains ce sont un peu dégrader depuis que vous êtes partie. Ce n'est pas mentionner dans les médias... la tension est simplement là. informa le paternel.

Son visage se renbruni un peu à la mention d'Axyahell. Il était bien placer pour savoir que ce côté de sa fille était difficile, point!

-Je ne crois pas qu'il serait sage de mentionner une rencontre... Si elle le désire il me fera plaisir de discuter avec elle. C'est ma fille... ça, ça ne changera jamais peut importe son tempérament, son attitude ou ses actes. Mais je respecte sa colère et son silence même si ce n'est pas ce que je souhaitais. dit tranquillement Marshall. Je ne veux pas que vous jouiez ce rôle d'intermédiaire non plus. Ce n'est pas juste pour vous. Cela dit, il me fera plaisir d'être une oreille attentive et un bon conseiller.

Marshall retrouva son sourire fatigué après ces quelque paroles. Il ne pu s'empêcher de l,élargir lorsqu'Alfred lui demanda s'il avait d'autres questions.

-Plus par curiosité qu'autre chose: Nous savons que Cézanne peut être plutot....intense. Qu'est-ce qui vous a retenu auprès d'elle? De mon souvenir, n'importe quel homme qui l'ait jamais approcher fuyait assez vite dans la direction opposé après l'expérience explosive qu'elle peut être. commença Marshall, visiblement amuser. Il laissa échapper un petit rire. Et puis, sans vouloir être indiscret: chasteté jusqu'au marriage? Je ne suis pas un saint, Rose-May n'est pas la première femme que j'ai connu... Mais comment ma fille vous est tomber dessus pour vous faire accepter ça?

Si Alfred ne voulait pas répondre, il était claire qu'il pouvait décliner les questions sans conséquences. Cependant, le père de Cézanne semblait honnêtement curieux et amuser.

Quand Marshall parla de la tension dans les médias entre les mutant et les humains, Alfred sourit pensivement. Ce qu’on nous montres dans les média est une chose, sur le terrain c’est bien pire en fait, il a bien raison. Pensa t’il en écoutant Marshall tout en se rappelant son dernier voyage..

 Ce qui ma retenu auprès de votre fille ?   Alfred s'arrêta un moment et sembla partir dans de vieux souvenir pendant un moment.

En fait, ma rencontre avec Cézanne a été plutôt intense, vous savez comment elle peut être en mode travail, elle est tombé de fatigue devant moi par hasard, je l’ai apporté à l’infirmerie et j’ai attendu son réveil. Le regard d’Alfred trahissait son amour pour la jeune femme à ce moment. Je crois que je suis tombé en amour peu de temps par la suite, c’est votre fille qui a fait le premier pas peu de temps après qu’elle se soit réveillée, elle ma prit la main et ma entraîner avec elle. Alfred pris une pause d’un moment pour apprécier le souvenir J’ai envie de tenir cette main pour le reste de mes jours tout simplement. Le visage d’Alfred était sérieux et heureux lorsqu’il parla, Marshall pouvait voir la sincérité dans son regard.

Et je vous ferais une confidence, lors de notre première rencontre, c’était en fait avec Axya que j’ai interagi… Je ne m’en suis rendu compte que plus tard, mais ont peu dire que je suis tomber en amour en premier avec Axya avant la facette que vous connaissez de votre fille, mais je peux aussi vous dire j’aime toutes les facettes de votre fille. Je l’accepte au complet.

Alfred rougit légèrement en poussant un petit rire avant de continuer

Pour ce qui est d’attendre après le mariage… hey bien vous voyez, je crois que c’est un choix que Cézanne a le droit de prendre, je ne peux que la respecter et attendre qu’elle soit prête, mais pour être honnête avec vous, j’ai été stupide, elle a… réagit avec cette condition. Le sourire d’Alfred était maintenant un peu gêné...

J’ai en effet couru après… Pensa t’il peu fier de cette épisode.

Mais rien ne m'empêche de la taquiner avec ça de temps en temps !    

Marshall paru surprit de savoir que la première réel intéraction entre Cézanne et Alfred avait été avec Axyahell. Cela lui semblait d'ailleur étrange... Peut-être c'était-elle senti plus à sa place à l'institut.

- Ce n'est pas la facette la plus sociable de Cézanne... Vous avez vraiment du lui faire une forte impression! Quoique c'est peut-être simplement l'espace inconnu qui l'a fait ''sortir''. Difficile à dire... réfléchit-il à haute voix.

Le paternel soupira un peu de mécontentement face à la mauvaise habitude de sa fille à se surménager. Il avait beau lui dire à plusieurs reprise que ce n,métait pas bon pour sa santé et pourtant elle s'obstinait à continuer. Il continua d'écouter la réponse de son future gendre avant d'éclater de rire.

- Elle vous a demandez le nombre de femme avec lesquelles vous avez coucher et vous avez été honnête pas vrai? Elle a toujours été très puritaine sur ce sujet! Lorsqu'elle a su que sa mère et moi avions connu d'autres personnes avant de nous marier...elle nous a regarder comme si on venait de lui apprendre que le père Noêl n'existait pas! dit Marshall, encore hilare. C'est tellement elle! Je m'excuse de rire. C'est simplement que je m'attendais à une réponse du genre! Je suis content que vous ayez accepté!

Marshall arrivait très peu à contenir son hilarité, mais il essayait vraiment très fort. Il y arriva quelque peu avant de regarder l'heure sur sa montre. Il se faissait tard et les deux femmes devaient être aller se coucher. Il se leva tranquillement de sa chaise.

- Je crois qu'un repos bien mérité vous attend dans la pièce en face. Bienvenue dans la famille Alfred. dit Marshall avant de tendre la main vers l'avocat.

Alfred était un peu trop rouge, l'alcool de la soirée, la fatigue et maintenant la gêne des paroles du paternel y était pour beaucoup.

Clairement c’est pas lui qui subit tout ca !Pensa Alfred avec son esprit un peu étourdit. Lorsque Marshall se leva de sa chaise, il en fut de même par réflexe..

Ce qui se passa par la suite le prit par surprise par contre, l’image de Marshall qui lui tendit la main pour l'accueillir dans la famille le frappa de plein fouet, il eut un petit chaud au coeur à ce moment, clairement la famille Christopher avait beaucoup à lui apprendre.

Alfred leva à son tour sa main puis serra la main tendu en face de lui.

C’est un plaisir d’en faire parti Marshall, vous avez raison, il se fait tard, et Cézanne risque de me griller un peu avant le sommeil. Alfred lui donna une poignée ferme puis Alfred se retira vers la sortie du bureau.

Sans bruit il se dirigea vers la porte de la chambre puis il cogna doucement voir si Cézanne y était déjà.

Cézanne ? Je peux entrer ? Alfred attendit la confirmation de Cézanne avant d’ouvrir la porte.