Maison des Christopher

Vu de l'extérieur, la maison est tout ce qu'il y a de plus banale. Pas particulièrement grande, même plutôt petite, d'un jaune peu soutenu tirant sur le blanc. Pour atteindre la porte d'entré, il faut monté quelques marches car un garage double occupe le premier étage. Bien que vu de l'extérieur, la maison est loin d'être extraordinaire, l'intérieur donne une impression de palais. Une fois la porte ouverte, on peu observé à droite un salon très espacé malgré la taille de la pièce. La luminosité éclaire paisiblement la pièce et donne envie de s'assoire sur le divan trois places installé devant la télévision à écran plat. Une chaise berçante est également placer devant la fenêtre pour maximisé la luminosité de la personne qui y prend place. La salle à manger, à gauche de l'entré, est la première pièce que l'on voit après le salon. La majorité de l'espace est occupé par une table en bois recouverte d'une nappe transparente et quatres chaises du même bois. Un lustre d'une grande beauté trône au dessus de l'espace pour manger. Un îlot, style bar, sépare la salle à manger de la cuisine. Très épuré et fonctionnelle, cette dernière ne contient rien qui n'est pas essentiel à faire de la nourriture ou des breuvages.

Un couloir permet de se rendre au multiples chambres de la maison. Sur la gauche dans l'ordre, il y a une petite salle d'eau, puis la chambre de Cézanne avec une salle de bain privé. Sur la droite, un bureau à été aménager avec plein de papier pêle-mêle un peu partout. C'est définitivement la pièce la plus bordelique de toute la maison. La dernière pièce est la chambre des maîtres, également avec une salle de bain privé.

La maison n'est pas situé très loin de l'aéroport.
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La mère de Cézanne prépare le souper tranquillement dans la cuisine. Sa fille n'arrive que dans une heure et elle peut prendre son temps. Elle est heureuse, mais également inquiète. Pendant ce temps, le père de Cézanne est enfermé dans son bureau. Il parle au téléphone, semble s'emporter puis retour au calme très rapidement.

La voiture arriva en face de la maison, la route avait été calme et Alfred commençait être un peu nerveux mais tenta que cela ne paraisse pas trop.. Une fois garer en face de la maison il arrêta le moteur puis il poussa un petit soupire en se retournant vers sa femme

-Prête ? On pourrait encore retourné en Italie, visité la chine même ! Demandais t-il avec un sourire, sachant à ce stade ci aucun retour en arrière était possible.

-Comme je ne savais pas qu’elle serait le souper, j'ai été plutôt générique en apportant du vin de l’avion. On ma toujours dit de ne pas arriver à souper les mains vides. Dit-il en ramassant les deux bouteille de vin, une blanche et une rouge, qu'il avait ramassés dans l'avion. Tes parents aime le vin j’espère.

Alfred en profita alors qu’il se penchait pour ramasser les bouteilles en arrière pour déposer un baiser sur les lèvres à Cézanne, il ne savait pas à quand le prochain de la soirée serait avec la présence des parents de sa fiancé. Il posa la main sur la cuisse de sa femme avant d’ouvrir sa porte.

Donne moi une seconde. Dit-il en sortant de la voiture puis marcha jusqu’à la porte du côté passager  en regardant la maison simple et le grand garage et alla lui ouvrir la porte de la voiture et tendit la main vers sa fiancé.

-L’heure semble arrivé ma princesse, prendrez vous ma main jusqu'à votre demeure ?

Cézanne vu que son fiancé commençait à être nerveux. Jusque là, ça avait du lui paraitre bien loin. Là c'était réel!

-Oh seigneur Alfred! L'italie c'était bien mais la cuisine de ma mère est meilleure! Et ne t'inquiète pas pour le vin. Je suis convaincue qu'il ne vont pas remarqué grand chose excepté que tu vas être là!
rigola-t-elle avec un petit sourire.

Elle croyait tout de même que sa mère faissait une excellente cuisine. Il y avait également un attachement émotionnelle. Elle soupira également, acceptant le baiser avec bonheur. Ça lui donnait un peu de courage. Lorsqu'il ouvrit la portière, la docteure mit sa main dans celle que son fiancé lui tendait.

- Je peux faire mieux. Je peux prendre ton bras...
dit-elle en glissant son bras sous celui d'Alfred.

Elle était beaucoup plus proche ainsi. Cézanne accorda un autre baisé, plus long, à son aimé. Propablement le dernier de la soirée. Puis une fois la portière refermer, elle entraina Alfred jusqu'au escalier, puis devant la porte. Elle cogna 5coups, faissant une petite mélodie. Quelque seconde plus tard, 2 coups se firent entendre de l'autre côté avant de laissé apparaitre une femme en tablier.
Pas très grande et d'une chevelure blonde platine, son visage rayonnait de bonheur à l'idée de voir sa fille. Ses yeux noisettes étaient rieurs, mais l'inquiétude ou le travail lui avait tiré des cernes.  Elle ne semblait pas dépasser pas la mi quarantaine. Elle ne sembla même pas remarqué Alfred et se jeta au cou de sa fille unique.

-Cézanne! Tu es d'avance! Elle prit une pause. Comment es-tu d'avance? Le ton avait changé du tout au tout. Passant de l'agréable surprise à ''je soupçonne que tu mijotes quelque chose''

-Salut maman...
commença-t-elle, avant qu'une main ne vienne se poser devant son visage.

-Plus un mot jeune fille! Tu vas avoir des explications à me donner, mais entré en premier. Elle n'accorda pas un seul regard à Alfred et retourna à sa cuisine.

Cézanne, toujours au bras d'Alfred, lui adressa un petit regard désolé.

Lorsque Cézanne lui offrit son bras et marcha près de lui, ce simple petit geste sembla le remplir de bonheur. Sans parler du long baiser, qui lui redonna du pep.

Merci mon amour, je me doute que je dois évité les démonstrations d'amour grandiose pour le moment. Mais clairement, le simple fait de lui tenir de bras lui convenant parfaitement.

Allons Alfred, tu rencontré tes parents, tu es capable, tu a fait bien pire comme rencontre dans ta vie. Pense à ce qu’elle va vivre quand elle va rencontrer les tiens ! Pensa t-il durant la marche vers la maison.

L’échange entre Cézanne et sa mère confirma une chose à Alfred, sa mère l’aimait beaucoup avec sa réaction face à sa fille. Il se demanda à ce moment ce que sa propre mère aura comme réaction en le voyant.

Alfred répondu au regard de sa fiancé avec un sourire confiant et un petit hochement de tête, clairement il comprenait et ne s’en fit pas, il entra à l’intérieur avec elle, restant près d’elle.

Cézanne entra dans la maison et se planta dans l'entré, toujours accrocher au bras d'Alfred. Sa mère était retourner dans la cuisine et semblait s'assurer de ne pas trop regarder sa fille, qu'elle savait accompagné. La table était déjà mise, mais il manquait un couvert. La télévision était allumé sur une chaîne parlant du conflit mutants-humains et des évènements récents.

Elle va finir par en parler... On va voir si papa lui a dit qui était mon ''invité imaginaire''.
pensa Cézanne en toussotant.

Sa mère respira fortement. Elle tenta de se refaire une contenance et prit une assiette dans l'armoir. Elle offrit son plus beau sourire à Alfred, mais rapidement son sourire s'effaça. L'assiette lui glissa des mains et un petit cri sortie de sa bouche. Cézanne sursauta. Malgré sa longue absence proche des tribunaux, sa mère avait reconnu le compagnon de sa fille.

-Marshall!!!! Elle avait crié en direction du bureau, se dirigeant vers la pièce avant de revenir sur ses pas. Son visage passa par plusieurs émotions: colère, inquiétude, tristesse, joie, admiration mais surtout de la crainte.Maitre Pennyworth. De n'importe quel Alfred que tu pouvais parler... Maitre Pennyworth...

Il ne lui a pas dit! Et ben ça va être génial...
pensa Cézanne, toujours planter à la même place.

Heallya donna un regard soutenu se voulant rassurant à son fiancé. Son père sortie du bureau à ce moment là. Un homme aux tempes grissonantes à l'air particulièrement dure, plutôt grand et imposant. Il soupira en passant une main sur son visage.

-Qu'est-ce qu'il y a Rose-May? Son père la vit, un énorme sourire adoucit ses traits de manières considérable. On aurait dit un gros nounours. Bonjour mon rayon de soleil! J'ai oublié de le dire à ta mère. Tu ne m'as pas donné beaucoup de temps. Il prit sa femme par les épaules pour la résonné un peu. Ils échanchèrent quelques mots avant de se retourner vers leur fille et future-gendre. Monsieur Pennyworth. J'imagine que vous êtes la cause de cet arrivé précoce? Le ton était d'une neutralité calculé.

Ça s'annonce pas super bien...
pensa Heallya en serrant un peu plus le bras de son fiancé.

-Bonjour papa. Alors maintenant que tout le monde est là! Alfred... Je te présente mes parents: Marshall et Rose-May Christopher. Chères parents, l'homme qui a conquit mon coeur et avec lequel je vais passer le reste de ma vie: Alfred Pennyworth.
dit Cézanne en insistant fortement sur l'introduction de son fiancé.

Elle aurait pu ne pas le présenter. La docteure savait très bien que ce n'était pas nécessaire. Cependant, elle espérait adoucir le comportement de ses parents. Surtout son père.

Alfred avait prit un air distingué, Il était certain d’une chose, c’est qu’il ferait honneur à sa femme. Il était quand même britannique, il pouvait avoir l’air du parfait gentleman sur commande. Il avait par contre un grand sourire.

Demi douzaine de Sentinel pensa Alfred pour rire un peu de sa nervosité.

Lorsque la mère de Cézanne échappa l'assiette il du se retenir d'utiliser son pouvoir pour la ratrapper mais choisie de ne rien faire pour le moment, il n’était pas tout à fait sûre de la réaction qu’il aurait causé.

Maitre Pennyworth, on dirait qu’elle a entendu parler de moi. Et à cause de mon travail il semble, tant mieux, ca sera plus simple pensa t’il en la voyant partir vers une pièce plus lui. Il regarda Cézanne et lui rendit un visage confiant et souriant. Lorsque son père arriva il laissa sa fille faire les présentations en premier en bonne et due forme.

Oh, elle y va avec intensité. Pensa t-il avec l’introduction de sa fiancé.

Alfred fit un pas en avant, d’une main il avait deux bouteilles de vin par le goulot et son autre était au bras de Cézanne. Il n’eut d’autre choix que de laisser le bras de Cézanne pour s’avancer d’un pas vers son père et lui tendre une main confiante.

-Monsieur Christopher, c’est un honneur de vous rencontrer. Alfred lui offrit une poigner de main ferme. Cézanne ma parlé avec beaucoup de fierté de vous, je suis heureux de finalement vous rencontrer. C’est effectivement par ma faute que nous sommes un peu d’avance, avoir su que cela était un inconvénient j’aurais flâné avec votre fille un peu plus avant d’arriver.

Une fois l’introduction à Marshall fait, il se retourna vers Rose-May et lui offrit la bise, ne sachant pas la coutume dans la famille de Cézanne si cela était acceptable ou non. Mais il préférait avoir l’air chaleureux.

-Madame Christopher, je vous en pris, appeler moi Alfred, je ne suis pas ici pour travailler. Une chance que Cézanne ma dis qu’elle était enfant unique, sinon j’aurais cru qu’elle avait une soeur, vous allez devoir me donner votre secret pour rester si jeune. Dit-il avec un sourire charmant.

Cézanne laissa son fiancé salué ses parents. Sa mère avait accepté la bise, bien qu'elle état un peu malalsaise et son père avait serré la main d'Alfred malgré son air impassible. Cela tira un minuscle sourire à Heallya: même s'ils ne l'aimaient pas encore, ils le respectaient.

Comme prévu... Le plus gros obstacle sera papa. Si je peux mettre le doigt sur ce qui tracasse maman, je pourrai rendre l'atmosphère un peu moins tendu. C'est peut-être une bonne chose qu'Alfred ait fait autant d'impression... ils vont peut-être oublié la raison principale pour laquelle j'étais sensé être là.
calcula mentalement la docteure.

-Voir ma fille plus tôt n'est absolument pas un problème, Monsieur Pennyworth. Marshall avait formulé sa phrase de manière à ce qu'il soit claire que le problème venait d'Alfred. Le fait qu'il l'avait nommé deux fois de façon si peu famillière se voulait une façon polie, quoi qu'enpreinte d'amertume, de signifier à l'avocat qu'il ne faissait pas partie de leur famille. -Si cela ne vous dérange pas, je dois m'entretenir avec Cézanne. L'homme dans la quarantaine se tourna vers sa fille.

-Si tu as quelque chose à dire, tu le dis devant mon fiancé. Nous n'avons pas de secret l'un pour l'autre. Il va finir par savoir ce que tu m'as dis de toute façon. Alors économisons du temps.
répondit Cézanne sur le même ton légèrement hostile.

Rose-May ne savait plus trop ou se mettre. La dame savait qu'il y aurait une explosion et elle ne pouvait rien faire pour la contenir. Elle fit donc la seule chose qui lui vint à l'esprit: être une excellente hôte dans la mesure du possible.
-Allez vous installez dans le salon! Je vais apporter des rafraichissements. Oh! Laisser moi vous débarassez Maî...je veux dire Alfred. Malgré une légère pointe d'inquiétude dans ses yeux, Rose-May semblait beaucoup plus encline à accepter l'avocat.

-Avant toute chose, j'aimerais que l'on règle le problème qu'à maman. Je n'aime pas la voir dans cet état. Je veux que ce soit en huis clos.
dit Cézanne en s'approchant d'Alfred.

Elle lui prit la main, se sentant franchement mal de l'aceuille si inhospitalier qu'il recevait. Marshall semblait extrêmement frustré de la demande de sa fille, mais il hocha la tête avant d'aller s'assoir dans la chaise berçante du salon.

-Le huis clos est une séance particulière chez nous qui n'est jamais refusé. Ça permet à tout le monde de parler librement, sans égard a la hiérarchie et sans le stresse des représailles. Puisque tu en fais partie, tu peux dire ce que tu veux de la manière que tu veux et une fois le huis clos terminé on ne revient pas sur les termes ou la façon dont les propos ont été dit.
expliqua Cézanne à l'oreille de son fiancé, lui donnant ainsi une arme.

Aussitôt que le huis clos fut accepté et l'attention du jeune couple libéré, Rose-May changea du tout au tout. Elle pouvait parler librement sans paraitre impolie. Les deux bouteilles de vin restèrent sur le comptoir alors qu'elle se plantait devant l'avocat.
- Vous! Elle pointa Alfred . Vous êtes un mutant. Un mutant pas très apprécié par tout le monde. Je ne veux pas que vous mettiez ma fille en danger! Je ne veux pas perdre mon bébé à cause qu'un dangereux fou furieux décide de vous attaquer pour je me fiche quel raison! Je ne veux pas que votre statut puisse lui causé problème! Ça c'est vu beaucoup trop souvent un mutant qui perd le contrôle. De mon point de vu, elle est en danger avec vous et je n'aime pas ça!

Cézanne du se retenir pour ne pas rire.

Alfred fut heureux de l’intervention de Cézanne envers son père, il lui aurait laissé un moment seul avec elle sans hésitation, mais son intervention fait avec fermeté fut claire et directe. Il ne pouvait qu’être ému de la voir le défendre ainsi. Il n’avait pas mal prit son accueil, il comprenait qu’il était le premier de Cézanne. De ce fait, il était aussi leur premier à eux. Ce ne serait pas facile pour personne. Leur “bébé” était une femme depuis un certain temps, mais Alfred était clairement la confirmation de ce fait.

Alfred donna les deux bouteilles a Rose-May et puis le sujet du huis clos sortie. Il comprit rapidement le principe du huis clos, surpris de la simplicité en fait. Il était heureux de pouvoir gérer un problème de cette façon au lieu de tourner autour du pot.

-Merci chérie lui répondit-il doucement avec un sourire tendre. Il était clairement peu affecté par l'accueil de ses parents jusqu’à présent. Il était près au pire et on était encore loin de la. Il tourna son attention vers la mère de Cézanne tout de suite après et Il l’écouta parler sans rien dire. Il fut un peu surpris du ton de la femme.

On dirait que ce huis clos est pris au sérieux. Tant mieux. Pensa t-il. Il donna un coup d’oeil évocateur à Cézanne après que sa mère se soit vidé le coeur, avant de donner tout son attention à Rose-May.

-Vous avez parfaitement raison Dit-il avec un air sincère.  Et encore vous oublier le danger poser par mon nom de famille. Les kidnappings et les rançons sont un danger possible quand le nom de Pennyworth est présent. J’ai aussi une cote de sécurité Top Secret accordé par l’ONU, on pourrait tenter de l'utiliser pour obtenir accès à certaine information classifier.  Son travail aussi est un trouble, il pourrait y avoir des patients dangereux qui pose un danger à sa personne.

Alfred avait un air très sérieux, avec une pointe d’inquiétude dans la voix.

-Mais je sais que son lieux de travail à un des meilleurs systèmes de sécurité que l’argent peut acheter, je m’en suis assurer. Il va être de même pour notre nouvelle résidence. Et si quelqu’un voudrait s’en prendre à elle en ma présence, il va devoir dealer avec moi. Et je peux vous certifier que même parmis les dangereux fou furieux de ce monde, ceux qui sont capable de se tenir à mon égal coté puissance personnel son très limité. Je serais honnête avec vous, c’est bien connu que suis un mutant, mais je suis bien plus puissant que le public est au courent. Alors je suis en confiance que Cézanne sera toujours en sécurité en ma présence. Et si je ne suis pas présent, ou si je ne suis pas assez, Cézanne a son propre chien de garde personnel en dernière ligne de défense que personne, même pas moi dans mes meilleurs jours oserait se frotter contre.

Alfred était entièrement sérieux dans ses mots, ce n’était pas de la vantardise. Rarement il parlait de sa puissance, oui, il avait tendance d'utiliser ses pouvoirs gratuitements pour un rien, mais vraiment dire à qu’elle point il était puissant était quelque chose qu’il préférait garder pour lui. Les gens étaient souvent mal à l’aise face à quelqu’un qui était du niveau d’Alfred. Et encore, il était puissant avant l'entraînement de X-Men ainsi que son séjour en territoire contesté à la guerre. Aujourd’hui il était à la fois puissant et en contrôle.

-Je déteste la savoir en danger, alors je fais absolument tout en mon pouvoir pour m’assurer qu’elle ne le soit pas, c’est pour cela que elle ne savait pas ou j’ai passer la dernière année jusqu’à ce que je revienne récemment, je voulais la protéger. C’était stupide de ma part et je le regrette amèrement, car cela à causer plus de maux que je ne l’aurais imaginer. On ne m’y reprendra pas c’est certain

Alfred regardait toujours la mère de Cézanne avec sérieux en parlant, mais il regarda Cézanne avec un regard énormément plus tendre avant de retourner son attention sur la mère de celle ci, son regard était sérieux mais on pouvait voir la sincérité dans celui ci.

-Je ne peux pas vous promettre que Cézanne ne sera jamais en danger, par ma faute, par la sienne ou par un élément externe. C’est impossible pour moi de le faire. Mais je peux vous promettre que tant que je suis encore vivant, personne et je dis bien personne, que ce soit un individu, une organisation ou même un gouvernement n’est près aux conséquences que causer du mal à Cézanne Christopher engendreront. Votre fille est pour moi la personne la plus importante au monde et je donnerais tout ce que je possède pour elle sans hésité.

Rose-May hocha la tête, l'air satisfaite de la réponse. L'idée de semblait pas la réjouir pour autant. Savoir que l'homme que sa fille aimait était en mesure de la protéger était un soulagement. Savoir qu'il était ''l'un des plus puissant'' lui donnait la chair de poule. Mais pire encore: il y avait quelqu'un d'encore plus dangereux aux côtés de sa fille!

-Cézanne... Excuse ta mère. Elle gifla Alfred. Le côté féroce d'Heallya venait sans doute de là. La gifle était plus significative que douloureuse. Vous osez m'avouer que ma fille est plus sujette à se faire menacer en votre présence et que vous avez engager une personne plus puissante que vous encore pour la ''protéger'' durant votre absence!? Mais vous êtes malade!?

-Ma...
commença Heallya avant de se faire couper par l'index de sa mère devant ses yeux.

-Il n'y a pas de ''maman'' qui tienne! Tu réalises que tu n'avais pas fait de crise depuis bientôt plus de 5ans?! C'est pour ça que ton père et moi t'avons laisser partir à New-York! Parce que tout allait bien! Au passé Cézanne! Puis lui est arrivé... Elle pointa Alfred encre une fois. Et repartie et tu as replongé! Replongé si bas que j'ai bien faillit descendre te chercher dans cette... école assez fouloque pour avoir besoin d'un médecin à temps plein! Alors pas de ''maman''! Ton état mental ne te permet pas d'être dans ce genre d'environnement!

-Mon état mental!? Je n'ai plus 16ans! Mais perdre l'amour de ma vie ne me laisse pas le droit d'être déprimé!?
s'exclama Cézanne.

-Tu n'as aucune idée s'il est l'amour de ta vie! C'était maintenant un combat mère-fille assez traditionnelle. Tu ne connais presque rien de lui! Et tu le laisse engager un garde du corps tellement puissant que même lui ne pourra pas t'en protéger!

La colère montait en Cézanne. Si la femme en face d'elle n'était pas sa mère, la docteure lui aurait déjà sauté au visage pour lui crever les yeux.

Tu n'as pas le droit! Tu ne connais rien d'Alfred!!! Tu ne connais rien!!!

Une légère plaie commeçait à se former sur la joue de sa mère.

Alfred pouvait prendre la gifle. Il avait prit bien pire pour Cézanne. Il avait été trop loin en parlant de Axya. Il le savait bien, il s’était emporter un peu. La réaction sans explication était justifiable. Alors il la prit sans rien dire, sans utiliser son pouvoir, il la prit même avec fierté.

On va voir les limites de ce huis clos on dirait Pensa t-il alors qu’elle parlait de l’école qui était foufole. Par contre, lorsqu’elle parla de l’état mental de Cézanne, c’était pour lui un sujet qu’il redoutait. Il savait très bien que la perception de l’état mental de Cézanne était basé sur un manque d’information crucial.

-L’état mental de ma fiancé n’a absolument rien à voir avec la situation.  Son ton était sec et clairement le sujet était difficile pour lui.

Il était horrifié que ses parents puissent penser que son état mental était en cause.

Il allait continuer lorsqu’il vu la plaie se former sur le visage de Rose-May. Il devait agir avant que la situation empire. Ce n’était pas le temps pour Axya de s’en mêler. Il regarda Cézanne d’un air légèrement implorateur. Il avait les mains lier. Il ne pouvait parler de l'institut sans que ses parents comprennent la situation, il ne pouvait pas non plus parler du chien de garde. Alfred se trouvait clairement dans une impasse et par le fait même, Cézanne aussi.

Il se plaça alors physiquement entre mère et fille

-Cézanne, est-ce que tu me permet de parler de ton travail à l'Institut ? La mère de  Cézanne ne pouvait pas voir ses lèvres, mais il dit clairement “Calme toi” en regardant les yeux de Cézanne avec intensité.

Cézanne semblait en transe tant la colère l'aveuglait. Lorqu'Alfred se plaça entre elle et sa mère, Heallya devint blême. Les mots qu'elle déchiffrait sur les lèvres de son fiancé lui fit l'effet d'une douche froide.

-Qu'est-ce que... euh... oui.
dit Cézanne en prenant appuie sur Alfred.

Qu'est-ce que c'était juste à l'instant?
pensa la docteure terrifié.

Rose-May se rendit compte de la petite plaie sur sa joue et parru particulièrement surprise. Si elle n'avait pas été aussi surprise, elle aurait probablement envoyer promené son future-gendre.

-Qu'est-ce que c'est que cette histoire!? La mère de Cézanne avait porté sa main à sa joue et observait maintenant le sang qui s'était déposé sur sa main. Marshall se releva de la chaise berçante pour observer d'un oeil plus avertie ce qui se passait. Il était aussi perdu que sa femme.

Alfred parut un peu soulager, mais il devrait user de précaution. Il embrassa Cézanne sur le front.

-Merci. Lui dit-il en se retournant vers sa mère tenant la main de Cézanne dans la sienne. Il prit la petite lingette de poche de son veston qui se mouilla aussitôt et la tendis vers Rose-May.

-Madame Christopher, j’aimerais mettre une chose au clair. L’Institut Xavier pour jeunes surdoués n’est en rien d’une école loufoque. Le poste qu’occupe votre fille est un rôle clé, elle et l’équipe qu’elle dirige s’assure du bien être de nos élèves. Je suis moi même chauffeur pour l’école, je m’assure que rien n’arrive à nos élèves durants leur aller et venu et j'accueil nos jeunes surdoués pour qu’il se sente accueilli et en confiance.

Alfred serra un peu la main de sa femme. Il savait que le terrain était dangereux. Deux plus deux faisait quatre après tout.

-Le rôle de notre école est de s’assurer que ces jeunes surdoués sont encadrés, éduqué et supporter dans leur croissance pour toute la durée de leur séjour entre les murs de l'Institut. Le rôle que joue le Doctor Christopher est vital et sa contribution au développement sains des jeunes sous notre tutelle est inestimable. C’est effectivement un rôle qui vient avec un certain niveau de stress, mais c’est pour cela qu’elle à une équipe avec elle ainsi que le support de tout le personnelle de l’école.

Alred ne tenta même pas d’expliquer la blessure à ce stade.

Cézanne se sentait désemparée. Elle aimait son travail, elle aimait l'institut. Elle savait bien ce que sa mère insinuait en traitant l'école de loufoque: dangereuse. Elle réussit à reprendre un peu de contenance suite au discours de son fiancé. Toujours derrière lui et une main dans la sienne, Cézanne s'appuya un peu dans le dos d'Alfred pour se redonner du courage.

-Les jeunes que j'aide là-bas ont souvent besoin de plus de soin, c'est vrai. Ils se blessent plus souvent que la normal et demande beaucoup d'attention. Travaillé avec des adolescents pleins d'hormones est stressant...mais cette institution m'a également aidé à m'épanouir. C'est le meilleur travail que j'aurais pu ne jamais avoir!
continua Heallya, en serrant un peu plus la main d'Alfred et se positionant à ses côtés.

Rose-May prit le mouchoir qu'Alfred lui tendait. Elle fut surprise de constaté qu'il était humide. Marshall se posa proche de sa femme et observa la blessure.

-Je crois que ta mère s'inquiétait surtout au sujet que vos ''surdoués'' sont des mutants. Des mutants en apprentissage, devrai-je précisé. Et tu n'as rien à faire là-bas.  Ils étaient persuadé que leur fille n'était pas mutante ou l'idée ne leur avait simplement jamais traversé l'esprit.

Je ne pourrais jamais leur avouer à se rythme...
pensa Heallya en lançant un regard de détresse à Alfred.

Cézanne avait les mains moites. Elle n'avait jamais les mains moites. Elle prit une grande respiration en se mordillant les lèvres. Décidément, s'attaquer à sa mère en premier n'avait peut-être pas été une si bonne idée.

Alfred avait vu ce genre de situation beaucoup trop souvent, il avait vu beaucoup trop souvent des parents simplement ignorer et se voiler les yeux.

-En effet, l'Institut accueille les jeunes et moins jeunes mutants qui ont besoin d’aide pour comprendre et accepter leur don. Nous allons vers eux quand nous sommes avertie, nous tentont de les invités à rejoindre l'institut avant que des accidents se produise. Certains viennes à nous avec des dons qui sont dangereux pour eux même, certains vienne à nous car il sont perdu, nous récupérons aussi certains jeunes qui se retrouve laisser à eut même suite à la découverte de leur don, certains n’ont pas été accepter par leur famille et n’ont simplement nulle part où aller… Nous leur donnons à tous et a chaqu’un un endroit pour vivre. Une éducation qui les suivront toute leur vie, et pas seulement comment maîtriser leur don bien sur, c’est une école après tout. Nous leur donnons une famille qui est la pour eux.

Alfred prit une petite pause et regarda sa femme avec amour, il serra sa main doucement. Il ne voulait pas être celui qui le dirait. Mais Cézanne le regarda avec un regard de détresse. Il lui rendit un regard emplis de compassion et d’amour.

-Et puis il arrive que certain nous arrive que tard dans leur vie, certain comme moi ont eu de la chance et leur don était pour eux simple a controler, il n’a pas causer trop de trouble et il ont appris a le gerer avant même d’arriver a notre porte. Mais il y a aussi ceux qui ne passe notre porte que après avoir eu de grande difficulté à comprendre ce qui se passait, ce qui clochait avec eux. Ceux qui on passer entre les mailles. Alors il vienne a nous avec des questions, des inquiétudes et des craintes, eux aussi nous les aidons de tout notre coeur.

Alfred qui regardant sa femme pendant qu’il disait la dernière partie se retourna vers les parents de Cézanne avec un regard très doux.

-Et puis certain ont un très grand coeur, après avoir été aider à comprendre reste pour nous aider par la suite, car ils ont choisi leur vocation, car eux aussi veulent aider ces enfants qui ont besoin d’aide.

Alfred passa sa main dans le dos de Cézanne et la poussa avec douceur pour lui donner le petit boost qu’il fallait. Il la guida vers sa mère. Le message était pour lui clair.

Cézanne savait qu'Alfred ne le dirait pas. Ce n'était pas son rôle. Elle ne put s'empêcher d'avoir une envie folle de retourner à l'institut. Cependant, Alfred ne lui laisserait jamais cette chance.

-Cézanne...de quoi parle-t-il? Sa mère semblait ne vraiment pas comprendre. Son père en revanche, comprenait très bien et soupira.

Heallya avança sa main à la blessure sur la joue de sa mère. Elle était assez petite pour pouvoir être soigné immédiatement. Rose-May senti un picotement assez instense. Cézanne retira sa main pour laisser sa mère toucher sa joue. -Depuis quand Cézanne?

-Depuis...que j'ai 13ans. Mais je crois que je l'ai toujours eu. Et eum...ce n'est pas tout.
dit-elle sur un ton hésitant.

Elle se retourna vers Alfred, cherchant son appuie. Puisqu'ils étaient dans le sujet, aussi bien régler tout les problèmes en même temps.

-C'est bien assez pour l'instant Cézanne. Laisse ta mère encaisser. Elle n'est pas prête pour plus. Son père avait parler sur un ton très doux. Il ne semblait pas particulièrement surprit par la révélation, mais sa mère semblait effectivement sur le point de s'évanouir.

-Je...demande une suspension du huis clos. Et je veux une trève.
dit-elle avec une voix tremblante.

Son père hocha la tête plusieurs fois en regardant sa fille droit dans les yeux. Il ammena ensuite sa femme s'étendre sur le divan trois place. Cézanne prit une grande respiration avant de prendre la main d'Alfred et de l'entrainé dans le couloir, puis dans sa chambre. Elle referma la porte derrier eux, puis commença à pleurer silencieusement.

Alfred pris Cézanne dans ses bras et ne dit rien sur le moment, il la laissa pleurer. Ce ne pouvait pas être un moment facile. Son père était clairement au courent, du moins il devait avoir des doutes. Sa mère était un autre cas.

C’est ma faute, j’ai mal géré. Pensa t-il, parler du chien de garde avait été un événement déclencheur. Il serra un peu plus Cézanne et la laissa sangloter sans rien dire. De toute façon il ne savait pas quoi dire de plus à ce stade.

Il regarda par contre d’un œil distrait la chambre de Cézanne, se demandant un peu ce qu’était une trêve dans leur famille… Lorsqu'elle sembla sangloter un peu moins, il lui murmura doucement.

-Je suis désolé, je n'aurais pas du parler d'elle au début, les choses ont déboulé par la suite. Le ton de voix d'Alfred était clairement coupable. Ce n'était définitivement pas aller dans le sens qu'il aurait voulu. Qu'est-ce que je peux faire ?

La chambre était dans des couleurs terres, très neutre. Il y avait assez de place pour un lit queen, pousser au fond de la pièce proche de la fenêtre, ainsi qu'un petit bureau d'ordinateur. Une petite table de chevet était proche de la tête du lit, avec un cadran, une boîte de mouchoir et une lampe. Un garde-robe à double miroir était juste à côté de la porte de la salle de bain. Plusieurs poster scientifique étaient accrocher au mur.
Cézanne continua de pleurer en silence. Elle ne croyait pas que c'était la faute d'Alfred. C'était sa faute à elle. Elle revenait chez elle et balançait un peu plus de 2 ans de sa vie au visage de ses parents. Elle aurait du les appeller plus souvent...leur raconter un peu plus ce qui se passait.

-Juste...serre moi contre toi. Et aime moi.
dit-elle entre deux sanglots.

Je me sens tellement repoussante en ce moment...
pensa-t-elle en revoyant le visage désamparé de sa mère.

-Tu crois qu'ils vont me demander de quitter la maison?
demanda-t-elle, terriblement inquiète.

La docteure ne réfléchissait plus à grand chose de façon raisonné. Elle ne savait plus très bien comment ce situé vis-à-vis de ses parents. Elle se doutait qu'ils auraient besoin de temps, mais l'attente faissait beaucoup plus mal qu'elle ne l'aurait crut.

Alfred la serra doucement et déposé un baiser sur son front.

-Idiote. lui dit-il sur un ton calme et doux. Tes parents ne feront jamais cela, je ne les connais que depuis quelque minutes et je peux voir leur amour pour toi. L’expression de ton père me dit qu’au minimum il avait des doutes. Ta mère a juste été prise de court. C’est normal, elle doit s’en vouloir de ne pas l’avoir vu. Donne lui le temps de replacer ces idées.

Alfred accota sa tête sur la sienne.

-Cézanne Christopher je suis fier de vous, je sais comment de courage cela peut prendre. Dit Alfred pour lui redonner un peu de moral.

-Je t’aime tu sais et tout ce que j’ai dis a ta mère, j'étais complètement sincère. Je suis la pour toi, car je t’aime et je veux moi aussi passer le reste de ma vie avec toi. Personne d’autre. Tu es ma seule et unique. Tu es ma Cézanne.

Alfred lui sécha ses larmes avec une parcelle de son pouvoir.

-Pour moi tu es simplement parfaite comme tu es. Tes parents accepteront qui tu es, car tu l’a toujours été.

Heallya réussi à faire un petit sourire. Elle ne se sentait pas courageuse, elle se sentait lâche. Une fois qu'elle avait anoncé qu'elle était mutante, elle avait fuit. Elle avait prit les jambes à son cou, incapable de supporter le regard de ses parents.

-Je sais que tu étais sincère. Depuis quand tu ne l'es pas?
dit-elle en réussisant à rire un peu.

Une chance que tu es là. Je pensais bêtement pouvoir éviter le sujet pour le restant de leurs jours.
pensa-t-elle en essuyant ses larmes du revers de la main.

-Je t'aime. Merci d'être là. C'est rassurant.
lui dit-elle avant de l'embrasser.

Leur dernier baisé ne remontait pas à si long que ça, mais il lui parut être à des années lumières du moment présent. C'était insuportable de devoir garder ses distances pour ses parents. La docteure réussit se calmer au bout de quelques minutes. Elle s'éloigna un peu d'Alfred pour regarder sa chambre.

-Je dirais qu'il nous reste environ une demi heure avant le souper. La trève va permettre d'au moins évité les questions malaisantes ou n'importe quel sujet sensible.
expliqua Cézanne rapidement.

Elle se dirigea vers son lit pour s'y assoir. Elle retira ses ballerines juste avant de croisé ses jambes en indien, prenant une petite couverture au pied du lit pour recouvrir ses jambes nues.

Alfred se mit le dos sur le mur, juste à côté de la porte. Il avait l’air calme, serein même. Le chat était sorti du sac, a ce point ce n’était que des détails.

-Quel sont les termes de la trêve? Je dois m’attendre à quoi ?

Quand Alfred la regarda aller sur le lit, il faillit faire un commentaire sur ses jolies jambes mais se retient. Il n’alla pas sur le lit sans invitation non plus. Il était vieux jeux et ceci était sa chambre à elle, chez ses parents en plus. Aucun gentleman n’oserais aller sur le lit d’une femme sans qu’elle en fasse la demande, même sa fiancé.

-Il vont nous appeler ? Ou devrait-on les rejoindrent ?

Il regardait Cézanne amoureusement, sachant que les émotions était encore à vif en ce moment.

Cézanne regarda par la fenêtre, un peu perdu dans ses pensées. Les termes de la trève... c'était plutôt simple comme termes. Cependant, ça pouvait parraitre dingue!

-Simplement ce que j'ai dit. Les termes c'est de ne pas aborder de sujet sensible et d'être convenable. Donc, on ne parlera probablement pas du fait que l'on est ensemble, on ne parlera pas de mutant, on ne parlera pas de la dernière année, du moins en ce qui me concerne... On ne parlera probablement pas travail. Ça réduit énormément le choix de conversation. La règle c'est ''si tu crois que tu ferais mieux de ne pas le dire, tu ne le dis pas''.
expliqua-t-elle plus largement en tapotant un espace vide sur le lit.

Heallya commença à jouer avec une mèche de cheveux. Elle attendait que son fiancé soit assis près d'elle avant de poursuivre.

-La deuxième partie...c'est la plus flippante si tu y es pas habitué. Ma mère ou mon père va nous appeler pour qu'on se met à table. Lorsqu'on va sortir de cette pièce et retourner dans la cuisine, c'est comme si rien ne se serait passé. Mes parents vont agir comme si je ne leur avaient pas annoncer que je suis une mutante, ils vont te traité comme si tu avais toujours fait partie de nos vies et ça va duré jusqu'à la fin du souper. La trève c'est assez hypocrite, mais c'est un moyen efficace de passé un bon moment en famille...
dit-elle visiblement en train de ressasser un souvenir dans sa tête.

Heallya se colla à son fiancé et poussa un énorme soupire alors qu'elle envisageait déjà devoir prendre sur elle pendant un temps indéterminé.

Alfred écouta la première parti avec attention, c’était simple en théorie, il était surpris que cela marche en pratique.

-J’ai bien fait de parler de notre résidence alors ! Il ne devrait pas toucher au sujet si je me fis au règle donc?  Ou tu crois que cela serait un sujet safe?

Lorsque Cézanne l’invita à s'assit a côté d’elle il ne se le fit pas dire deux fois et alla à ses côtés, une main autour de sa taille pour la serrer contre lui un peu.

-Ta famille est étonnante, j’aurais aimer que ma famille ai ce genre de regler, ca aurais simplifier bien des moments. Le briefing pré parent de mon côté va être un peu long malheureusement. Sir Pennyworth, mon père est un peu unique. Dit Alfred en serrant toujours sa fiancé.

-Enfin, j’imagine que je vais avoir besoin d’un hôtel ce soir finalement, je doute que tes parents me laisse le divan après tout ça lança t-il à la blague pour détendre l'atmosphère. Enfin, après souper j’aurais encore le temps de regarder cela, sinon je dormirais dans le jet dans le pire des cas.

En fait dormire sur le divan serait probablement le pire des cas… Pensa t’il en souriant.

Il regarda autour de lui. Alors il y a des secrets dans ta chambre que je ne dois pas voir ?

Cézanne pouffa un peu lorsqu'il mentionna leur résidence. Définitivement, il n'y aurait pas grand sujet de conversation autour de la table!

-Tu pourrais toujours t'essayer! On a un code pour signifier que c'est un sujet à évité. Tu vas peut-être trouver ça rigolo. dit-elle en se clarifiant la gorge. Il ne suffit que de dire ''plaît-il?'' et on change de sujet.
dit-elle très sérieusement.

Le ''plaît-il'' avait été prononcé avec un accent britannique exagéré et un coté snobinard.

Rigolo ou insultant...
pensa-t-elle ensuite.

-On ne parle jamais comme ça...alors c'est facile à détecté. Mais j'imagine que si ça ne convient pas on pourrait changé de code.
s'empressa-t-elle d'ajouter.

Cézanne posa sa main sur celle d'Alfred sur sa taille. Elle le poussa sur le lit lorsqu'il parla de dormir, apparement, seul. L'idée la rebutait au plus haut point. Elle le regarda donc droit dans les yeux pour rendre son avertissement plus sérieux.

-Je t'avertie, je ne reste pas ici si tu ne restes pas ici. Je vais te suivre à l'hôtel si mes parents ne veulent pas de toi. Et non, tu ne dormiras pas sur le divan. Je sais que l'on est chez mes parents. J'en ai très conscience et je sais que tu veux leur montré que tu es un parfait gentleman. Mais là c'est moi qui parle et qui décide aussi. Et tu ne dormiras pas une autre nuit sans moi à tes côtés. J'espère que c'est assez claire...
dit-elle sans broncher une seule fois.

Elle le gratifia d'un sourire amoureux avant de déposer un léger baisé sur ses lèvres.

-Je ne crois pas avoir de secret... sauf si tu parles de cet affreux poster que j'avais garder des BackStreet Boys dans une boite de soulier sous mon lit.
se remémora-t-elle avec un certain dégout.

Heallya se redressa, laissant ainsi Alfred se relevé s'il en avait envie. Cézanne aurait pu se préparer pour la nuit et se glisser sous les couvertures si ce n'était qu'elle commençait à avoir faim.

Alfred rit doucement à l'accent britannique de Cézanne. Il avait trouvé cela charmant.

-Oh! ne change rien pour moi voyons, je ferais mon plus beau accent naturel si cela vient. Mais ce n'est rien. Je trouve même cela drôle. Ton accent Britannique n'est pas si mauvais et il te rend charmante de toute façon à mes yeux. Mais je suis probablement biaisé

Il porta attention lorsque le regard de Cézanne devient un peu plus sérieux. Sa demande, son injonction en fait, fit battre son coeur un brin plus vite. Quelque chose dans la façon qu’elle le dit vint le chercher profondément. Lorsqu’elle se pencha pour le court baiser, il eu un moment pressentiment et la poussa violemment hors du lit. Un moment après un bruit horrible se fit entendre alors que le toit de maison fut arraché violemment et une énorme tête mauve et rouge se fit voir.

C’était une Sentinelle !

-Alfred Pennyworth, Mutant Classe 5, Cézanne Christopher, Classe 3, Priorité ajusté,  commencement d’élimination. Dit la voix métallique du robot géant pendant que ses yeux se mettait à briller de façon menaçante en regarder le couple.

-Non! Alfred se transforma aussitôt en glace et vint se placer en face de Cézanne alors que le beam allait la frapper de plein fouet. Le corps d’Alfred se mis à rayonner rouge, sur le point de céder sous la puissance du rayon. Il tenta de dire un mots, mais avant qu’il ne puisse le faire, le rayon évapora son torse avant de s'arrêter.

La moitié restante d’Alfred tomba sans vie sur le sol. reprenant sa forme humaine alors que le sang se mit à couler sur le plancher pendant qu’un deuxième bruit se fit entendre de l’autre côté de la maison, comme si une autre parti de la maison était en train de se faire arracher. Cézanne put entendre un cris qui semblait venir de sa mère et une deuxième voie électronique.

-Humain, témoin potentiel, Élimination des témoins. La voix fut suivi d’un cri de son père et de sa mère puis un silence évocateur. Une odeur de bacon brûler se répandit dans la maison.

Spoiler:

Cézanne relacha sa chevelure de la coiffure qu'elle avait jusqu'à présent pour la refaire. Elle s'était précipité dans l'avion pour rejoindre son fiancé plus rapidement. Le poid de ses cheveux avait donc rendu son chignon inconfortable. C'est à ce moment qu'Alfred lui offrit un compliment.

-Mais ne suis-je pas toujours sublime?
dit-elle encore avec un accent britannique pour continuer sur un ton un peu humoristique.

Elle prit quelques poses pour bien montrer la robe sous tous ses angles. Tant qu'à avoir mit une robe pour lui faire plaisir, aussi bien aller jusqu'au bout. Elle termina sa coiffure pendant ce temps-là. Alfred c'était rapprocher pour l'embrasser. Elle savait qu'ils quitteraient bientôt la sécurité de sa chambre pour aller dans le champ de bataille de la cuisine. Malgré la trève, le terrain était miné. Elle soupira à cette idée si agréable. Alfred lui remontait vraiment le morale!

-Tu parles de la robe ou ce qu'il y a en dessous?
répondit Cézanne avec un petit regard séducteur.

Ne pas avoir été dans cette maison, elle aurait pousser plus loin. Cependant, elle discarta la possibilité de continuer sur la voie de la séduction en riant légèrement de sa blague.

-Ça va, je ne suis simplement pas habituer à porter une robe. Je suis donc beaucoup plus consciente de mes vêtements qu'à l'habitude.
finit-elle par répondre sérieusement.

Cinq petits coups furent cogné sur la porte de la chambre. C'était la manière qu'avait sa mère de lui dire qu'ils étaient prêt à passer à table. Cézanne s'approcha de la porte et cogna deux fois un sourire aux lèvres. Elle se retourna vers son fiancé.

-Tu es prêt à être complètement ébahit par les talents d'acteurs de mes parents?
demanda Cézanne à Alfred.

Elle attendit la réponse avant d'ouvrir la porte et se diriger vers la cuisine.