Manoir Lyndhurst

Surplombant la rivière Hudson à Tarrytown, New York, se trouve Lyndhurst, l'une des plus belles demeures néo-gothiques d'Amérique. Conçu en 1838 par Alexander Jackson Davis, son éclat architectural est complété par le domaine de 67 acres ressemblant a un parc qui l'entoure.

Les terres de Lyndhurst survivent comme un exemple exceptionnel de la conception du paysage du 19ème siècle. Les éléments comprennent des pelouses majestueuses rehaussées d'arbustes et d'arbres spécimens, l'entrée incurvée révélant des vues «surprises», la répétition angulaire de la ligne de toit gothique dans les arbres à feuillage persistant et le premier jardin d'hiver du pays. La roseraie et le fernery sont des ajouts ultérieurs.

Parmi ses occupants remarquables, mentionnons: l'ancien maire de la ville de New York, William Paulding, le marchand George Merritt et le magnat des chemins de fer Jay Gould.

Le gouvernement des États-Unis a récemment vendu la propriété historique a un collectionneur pour une somme inconnue.

L'exelero d'Alfred arriva à toute vitesse devant l'entré du manoir. Heallya semblait s'amuser énormément à conduire cette voiture. Une fois arrêter, il était facile de voir à quel point elle aimait cette dernière.

Je n'aurais plus besoin de ton soutient aussi souvent maintenant.
pensa-t-elle en regardant le volant.

Son regard était presqu'aussi amoureux que lorsqu'elle regardait son fiancé. Cézanne ferma les yeux pendant un instant et respira profondément.

-Je ne suis même pas sur de vouloir savoir ce que tu as fais.
dit-elle en fixant son aimé.

Plus l’approche du Manoir arrivait plus Alfred était nerveux, Il n’avait que rarement été capable de prévoir les réactions de Cézanne et cette fois ne faisais pas exception à la règle.

Par contre il n’était pas assez distrait pour ne pas remarquer avec qu’elle aisance elle conduisant sa voiture. Et il savait très bien que ce n’était pas une voiture facile à conduire avec ses 700 chevaux vapeurs et ses 6 mètres de longueur. Il ne manqua pas non plus son regard a celle-ci.

Quelque chose me dis qu’il y a une histoire plus profonde derrière tout ça, mais je suis mieux de ne rien dire. Moi qui pensais la vendre pour une plus récente.

A te voir aller, tu as dû passer un bon moment avec Exel Dit-il en souriant a cette femme qui durant ce moment semblait heureuse.

Elle l’appel même par un surnom maintenant, je me demande combien de temps elle a passé dans cette voiture maintenant, elle semble bien l'aimer Pensa t'il avant de continuer

 Si tu veux continuer à l’utilisé, je peux m’arranger pour te la laisser de façon permanente une fois que j’en aurais une nouvelle. Mais parlons de cela plus tard. Nous sommes arrivées.

Alfred était heureux de voir Cézanne avancer en face du manoir puis arrêter la voiture. Le plus difficile était arriver. Il était nerveux, on dirais qu'il allait la demandé en marriage tellement il tremblait a l'intérieur, mais il fessait de son mieux pour sa nervosité ne se voit pas trop.

Je ne suis même pas sur de vouloir savoir ce que tu as fait.

Elle le regardait avec un air qui faillit lui faire douter. Il savait à quel point les surprises était complexe avec elle. Mais il était trop tard pour reculer maintenant

Bien ce ne fut pas très simple, il a fallu bouger pas mal de liquidité, vendre des propriétés à l’étranger, parler avec le gouvernement et signer pas mal de papier, mais par chance je connais des gens plutôt douer dans ce domaine. Alors pour moi ce fut une longue conversation au téléphone, bien sur il reste des petits détail et ce n'ai pas encore tout a fait prêt. Mais voici le résultat. Alfred pris un moment pour se calmer et ajouta sur un ton serieux.

Cézanne, ma princesse Dit t'il avant de se décomposer et sortir de la voiture sous sa forme de nuage pour se recomposer à l’extérieur de la voiture du côté conducteur. Il ouvrir la porte pour sa douce puis une demi révérence, la main vers le manoir et annonça tel un major d’homme.

 Bienvenue au Manoir Christopher Pennyworth Dit-il avec une voix remplis de fierté.

Cézanne se doutait bien de ce quiu allait lui tomber dessus. Elle avait commencer à trembler intérieurement depuis déjà un petit moment. Ce qui ne lui échappa pas par contre, c'était la nervosité de son aimé par rapport à la surprise. Il n'avait pas du tout paniquer par rapport à sa conduite.

Et bien...la guerre t'as vraiment changé sur ce coté là. Je vais débattre si c'est une bonne chose.
pensa-t-elle un peu déçu.

Lorsqu'il lui dit tout ce qui avait du être fait, Cézanne roula un peu des yeux et porta sa main gauche à son visage en signe de résignation. Puis Alfred s'évapora pour réaparaitre à l'extérieur de la voiture et lui ouvrir la porte. Elle hésita un moment avant de sortir du véhicule, puis se décida lorsqu'il lui annonca qu'ils étaient chez eux.

-Et bien... si je suis seulement ta princesse je me demande ce que tu aurais acheter si j'avais été ta reine!
dit-elle d'un ton cassant.

Heallya était tourner vers le manoir et ne regardait pas du tout Alfred. Cependant, sa rage intérieur était palpable, même vu de dos.

Alfred n’était pas sur comment réagir sur le moment, le ton cassant, le fait qu’elle ne le regardait pas et lui avait tourné le dos, tout c’était dur à évaluer. Ses mots lui firent l’effet d’un coup de couteau dans le cœur, il n’y avait que Cézanne pour trouver juste les bons mots pour le déstabilisé semblerais t’il. Il pouvait sentir sa rage, le frisson avait fait dresser ses poils, son instinct lui disais que la situation était dangereuse. Axyahell ne devait pas être très loin.

Elle ne peut pas savoir, je ne peux lui en vouloir. Dit-il. Il était britannique, noble Britannique d’une ancienne famille riche, pour lui le statut de Reine est presque sacré, c’est ainsi qu’il avait été élevé depuis son plus jeune âge, déjà la surnommer sa princesse était lui démontré à quel point elle était importante pour lui.

Il resta quelques secondes muet mais décida de finalement briser le silence.

Cézanne, j’aimerais si tu le veux que tu habites avec moi, je souhaite rester à tes cotés. Ici ou ailleurs, tant que je suis à tes cotés je serais heureux.

Il ne lui parla pas qu’il n’aimait pas savoir combien de temps elle dormait coucher sur son bureau et qu'il voulait mieux pour elle, il ne parla pas non plus qu’il n’aimait tant que cela sa petite chambre à l’école. Il n’osa surtout pas parler des attaques envers l’Institut donc il avait lu et qui l’inquiétait.

Cézanne essayait de se calmer. Elle essayait de garder son sang froid, ce disant que c'était du Alfred tout craché et que c'était ridicule de lui en vouloir.

Menteur...menteur, menteur, menteur!
pensa-t-elle en perdant un peu le contrôle.

Elle revient pourtant à elle en respirant profondément plusieurs fois. Un petit désagrément comme celui-ci ne devait pas l'affecter autant. Alfred avait du oublier avec tout ce qui s'était passer depuis! Elle ne le regardait toujours pas, réfléchissant à sa réaction lorsqu'elle se tournerait.

-Alfred! commença-t-elle fermement, la maison c'était sensé être après avoir rencontré nos parents respectifs. Tu sais, question de faire ça dans l'ordre des choses?continua-t-elle en mettant ses mains sur ses hanches d'une façon autoritaire, mais j'imagine que ça n'a que très peu d'importance pour toi! finit-elle.

Elle serra les poings, enfonçant ses ongles dans sa chair. Elle se retourna alors brusquement et fonça vers Aqua dans l'intention de le frapper du plus fort qu'elle pouvait. Au dernier instant, elle se ravisa et au lieu de lui infliger la raclé de sa vie, elle ne lui donna qu'une pichenette sur le nez.

-Si je suis aussi faché c'est parce que tu m'avais dit qu'on choisirait la maison ensemble!
chigna la docteure en croisant ses bras sous sa poitrine.

Cézanne évitait quelque peu le regard de son fiancé. Elle se sentait rougir un peu suite à son comportement un peu enfantin.

-Et que veux tu qu'on fasse avec autant de pièce!
lança Cézanne en montrant le manoir des 2 bras.

Pendant un cours moment Alfred eu vraiment peur. Il pouvait presque sentir Axyahell arriver. Par le passé il était capable de la contenir, son pouvoir n’avais que peu d’effet sur lui par le passé.

Après l’Afghanistan, si Axyahell utilise son pouvoir sur moi… Je n’ose pas penser au conséquences. Pensa t’il devenait inquiet. Il commença à se remémorer certain souvenir qu’il aurait préféré oublier. Mais lorsque Cézanne sembla reprendre le contrôle, il se calma considérablement.

Elle semble avoir appris à se contrôler beaucoup plus. Pensa t’il.
Il voulut prendre la parole lorsqu’elle parla de l’ordre des choses

Cé… Mais il ne put continuer sa phrase car elle  continuer avec un air qui ne portait pas à l’interrompre, ce n’était pas le moment de la contrarier. Surtout qu’elle avait raison. Il était allé trop vite

Il avait l’habitude de faire les choses vites, sans consulté, ça aurait dû être un choix a deux. Il allait répondre qu’elle s’avançait d’une façon menaçante vers lui, il s’attendit au pire durant un moment, n’était-elle pas en control d’elle finalement ?

Puis vint la pichenette, Alfred ne savait plus quoi pensé. Lorsqu’elle exprima sa pensé, Alfred ne trouvait pas quoi redire, c’est en effet un choix qu’ils aurait dû faire ensemble. Au moins il pouvait répondre à sa dernière question, d’une voix qui trahissait un peu sa déception, plus envers lui-même de la déception de la réaction de Cézanne.


Bien, ça fait de la place pour que tu aies un bureau à la maison si tu veux, la chambre des maitres est incroyable. Le jardin est énorme, nous somme a coté de rivière avec un dock privé pour aller faire un tour de bateau. Il y a une superbe bibliothèque…

Alfred prit une pause, clairement il hésitait à continuer. Pouvait-il dire tous ce qu’il lui avait passer par la tête ? Son hésitation était palpable mais il choisit finalement de tout dire.

Je vivrais avec les conséquences ou elle me tuera immédiatement.

Et pour être franc, j’ai aussi prévu que nous pourrions avoir beaucoup de chambres d’amis, une infirmerie, un grand garage et un sous-sol caché si le pire venait à l’Institut, un plan de secours en quelque sortes.

Il prit encore une pause, clairement il n’avait pas fini sa pensé, il prit un très court moment et fit la dernière phrase presque en chuchotant.

Et puis… des chambres… Bien je n’ai rien contre les remplir avec toi, pas toute de suite… Mais avec le temps.

Cézanne fit une petite moue suite lorsqu'il énuméra toutes ses idées. Elle n'y avait absolument pas pensé pour la simple et bonne raison que pour elle, sa demeure n'était pas sa place de travail. Cependant, malgré son visage toujours un peu contrarié, la réponse réfléchit d'Alfred sembla la calmer.

C'est sur que l'institut est plutot en désordre en ce moment. Un plan de secour ne fait de mal à personne... mais c'est pas pour autant qu'il faut que ce soit NOTRE maison!
pensa la docteure.

Elle laissa échapper un petit rire suite à cette pensé. Puis vient le moment qu'elle redoutait... Elle le redoutait car elle ne savait pas quoi en faire.

-On en reparlera le temps venu! C'est encore beaucoup trop loin du point présent!
s'exclama-t-elle visiblement mal à l'aise.

Cézanne fit un sourire qui se voulait détendu, mais n'y parvient absolument pas. Lorsqu'elle le réalisa, elle se détourna de son aimé et regarda la maison avant de commencer à s'y diriger.

-Ta surprise contenait effectivement un lit!
dit-elle pour détendre l'atmosphère.

Alfred souffla un peu, il était encore vivant, un point positif en soit. Elle prit le tout relativement bien, il en était visiblement heureux. Mais lorsqu’elle se dirigea vers le manoir il ne put que retenir un petit rire.

Oh oui… A propos de ça, il faudra en discuter. Il y a effectivement un lit, plusieurs en fait, mais l’endroit va avoir besoin d’un peu de décoration, c’est un endroit historique mais la déco n’est surement pas très à jour. J’en suis aussi le propriétaire que depuis peu de temps, donc je n’ai pas eu le temps de vidé l’endroit, alors je pensais que l’on pourrait regarder le tout semble. Je ne connais pas trop tes gouts coté décoration en fait.

Alfred emboita le pas vers le manoir en parlant. Il tendit une clé à sa douce, une vielle clé qui semblait d'un autre temps.

Si tu n'aime pas, nous trouverons autre chose.

Heallya arqua un sourcil en entendant le rire d'Alfred. Elle n'était pas sure de comprendre ce qu'il y avait de particulièrement drôle. Vu son niveau de fatigue, elle ce dit qu'elle n'avait probablement pas compris la blague. Elle se gratta la tête dans un mouvement songeur.

-La décoration?
Dit-elle en s'arrêtant devant la porte.

La tâche semblait déjà l'accabler au plus haut point. Prendre certaines décision essentiel dans des situations d'urgence était d'une facilité déconcertante pour la docteure...mais choisir une couleur de rideau pourrait prendre des jours de réflexion ardue. Ce genre de petit détail n'avait jamais été le fort de Cézanne. Elle était plutot du genre fonctinnel et pratique.

Je suis sur qu'il le fait exprès... toujours à regarder dans les petits détails les plus insignifiants...
pensa-t-elle pleine de désespoir.

Elle poussa un long soupire, laissant parraitre de façon évidente sa détresse face à l'épreuve qui l'attendait. Elle prit une pause en s'accotant sur le coté de la porte. Cette pause n'était qu'à moitié voulu. D'une part, elle devait prendre la clé pour entré... d'autre part, une vague de nostalgie c'était emparer d'elle, se mélangeant avec la réalité du moment.

Je n'arrive pas à croire que je suis là... avec lui...
pensa-t-elle le coeur gros.

Cézanne ne disait plus rien. Il n'y avait plus aucune colère en elle, plus de désespoir face à un travail de décoration, plus rien sauf ses pensées et son regard sur Aqua. Une larme roula malgré elle sur sa joue. Une larme de joie ou simplement pour évacuer toutes les émotions qu'elle véhiculait par sa colère et son surménage... difficile à juger!

-Je ne veux pas d'un autre endroit...
réussi-t-elle à murmuré, très doucement.

En comparaison au regard fuyant qu'elle employait depuis leur arriver au manoir, son regard grisâtre fixé sur son aimé pouvait presqu'être inconfortable tant il était perçant. Des larmes continuait de couler sur les joues de la docteure, mais elle semblait si hypnotisé par Alfred qu'elle ne semblait pas le remarquer.

La tentative de détente de l’atmosphère d’Alfred sembla avoir un effet différent de celui escompté. La réaction de Cézanne, le laissa pensif.

C’est des détails, nous pourrons regardez cela plus tard. Pensa t’il en regardant la jeune femme s’arrêter devant la porte et poussé un long soupire après avoir parlé de la décoration.

Jusqu’à présent, elle avait fui son regard du sien depuis qu’ils étaient arrivés mais lorsqu’elle se retourna et murmura qu’elle ne voulait pas d’un autre endroit, les yeux lourds et les larmes coulant sur les joues, le cœur d’Alfred ne put que fondre en voyant son regard. Ces quelques mots étaient pour lui tout ce qu’il espérait.

Comment se fait-elle qu’elle soit si magnifique même maintenant ? Pensa t’il en se perdant dans les yeux de sa bien aimé. Malgré son regard perçant, Alfred sembla se perdre dans ce regard, clairement, il avait juger que le regard de Cézanne était positif, même si il était dure a décrire.

Il ne dit pas un mot et s’avança doucement vers Cézanne et mis doucement sa main sur sa joue pour essuyer ses larmes avec un regard emplis de tout son amour pour cette femme. Il ne la quitta pas de son regard, comme si elle allait disparaitre s’il la quittait des yeux.

Dans le processus il avait lâcher la vielle clé, qui fut aussitôt givré et flotta jusqu’à la serrure et tourna sous l’influence d’Alfred. La porte ouvrant doucement pour laisser voir le grand hall du manoir et le magnifique escalier qui montait à l’étage au bout de la pièce.

D’un pas certain, Alfred se rapprocha de Cézanne puis d’un mouvement fluide, il passa sa main libre sur la taille de Cézanne pour se rendre dans son dos et continua le mouvement pour le soulevé dans ses bras comme un prince qui lève sa princesse pour terminer avec Cézanne confortablement dans ses bras. Il fut surpris par la légèreté de sa femme mais ne le fis pas paraître et surtout il ne lâcha toujours pas son regard du sien, avec un léger sourire qui était visible sur ses lèvres, un sourire de bonheur, un sourire simple mais sincère. Il avança à travers le pas de la porte avec Cézanne dans ses bras, pour entrer dans le hall d’entré.

Nous sommes à la maison mon amour. Dit-il simplement, d'un ton doux.

Cézanne n'avait pas vraiment réagit au contact d'Alfred sur sa joue. Elle continuait simplement de le fixer en silence.

J'ai vraiment été horrible avec toi... Tu reviens de la guerre et tout ce que je trouve à faire c'est des reproches. Je comprend vraiment pas ce que tu me trouves...
pensa-t-elle, misérable.

La main de son conjoint arriva à son dos, la ramenant dans l'instant présent. Leurs yeux ne s'étaient pas encore quitter, mais Cézanne n'avait aucune envie de brisé leur lien visuel. La réalité semblait déferler dans son cerveau comme une douche froide. Elle sortait d'un cauchemar qui avait duré trop longtemps. La docteure essuya d'une main ses larmes qui continuait toujours de couler. Elle essayait d'arrêter, mais toutes ses émotions refouler jusqu'alors devaient sortir.

-Bienvenue à la maison Alfred.
réussie-t-elle à articuler la gorge serrée.

Le son de sa voix, prononcant ces mots la fit éclater en sanglot. C'était réel! Ce n'était pas le fruit de son imagination ou un délire quelconque. Elle se réfugia dans les bras de son époux comme une désespérée. Cézanne passa ses bras autour du cou d'Alfred et continua de sanglotter alors qu'elle se tenait à lui comme à une bouer de sauvetage. Après quelques minutes, Heallya devient plus calme.

-Tu m'as terriblement manqué...
fini-t-elle par chuchoter à l'oreille d'Alfred après un long moment.

Elle passa l'une de ses mains dans les cheveux noir d'Alfred, appréciant leur texture et l'odeur familière. Dans ce movement, elle utilisa son pouvoir pour constater l'état de santé de son aimé. Elle ne laisserait rien lui enlever son bonheur de nouveau.

Les larmes de Cézanne avait commencé à couler sur ses joues sans arrêt lorsqu’elle répondu au bienvenu d’Alfred. Un sourire de bonheur put se voir à ce moment sur son visage. La réponse à son bienvenue à la maison, ces cinqs petit mots, l’avait remplis d’espoir, quelques chose qui avait commencé à manquer durant la dernière année.

Lorsqu’elle se réfugia dans ses bras, il ne peut que l'accueillir de tout son coeur. Alfred laissa le temps que Cézanne avait besoin pour reprendre son calme, ils étaient là, ensemble et c’est ce qui comptaient au final, alors il la laissa pleurer dans le creux de son épaule sans rien dire. Il ne fit que caresser ses cheveux doucement, la serrant doucement dans ses bras espérant ne jamais être de nouveau séparé comme cela.

Elle veut encore de moi alors que j’ai été horrible avec elle… Je l’ai laissé seule sans rien dire et je n’ai aucune excuse à lui donnée maintenant que je suis de retour, je dois me considérer comme un homme chanceux.

Toi aussi tu m'a horriblement manqué tout ce temps, je suis heureux de t’avoir retrouver. Murmura t’il doucement

Lorsque le pouvoir de Heallya le parcourait pendant qu’elle passait sa main dans ses cheveux, elle put remarquer qu’Alfred semblait en parfaite santé si on ne prend pas en compte la fatigue et le décalage horaire. Aucune blessure, aucune maladie grave. En parfaite condition.

Mais quelque chose clochait. Certaine parti de son corps semblait… Neuve. Son bras droit jusqu'à sa cage thoracique et un poumon ainsi que ses jambes jusqu'à sa taille donnait une impression d'être plus récente que le reste de son corps. Les cellules semblait avoir quelques mois tout au plus.

Alfred possédait le pouvoir de se régénérer avec une bonne quantité d’eau, mais il n’avait jamais eu à régénérer une si grande parti par le passé. Clairement, il avait du subir de grave blessure lors de son séjour outre mer.

Heallya ne comprit pas l'information qu'elle obtenu. Si elle n'avait pas insister lors de son scan d'Alfred, elle n'aurait jamais remarqué cette anachrologie. C'était la première fois qu'elle recevait ce genre d'information étrange et elle ne savait pas du tout quoi en faire. La docteur n'était même pas sur de ce qu'elle percevait!

Ça ressemble à une greffe... mais il n'y a pas d'attaque du système immunitaire, pas de rejet et les sections touchés sont trop importante pour permettre une greffe!
pensa-t-elle en repassant toutes ses connaissances rapidement en tête.

Son incompréhension pu se ressentir facilement. Elle resta figé pendant un moment, continuant d'essayer de comprendre l'état de son conjoint. Son rythme cardiaque s'accéléra alors que sa respiration devient plus contrôler alors que l'inquiétude la gagnait. Elle relacha son étreinte et Alfred pu voir son visage perdu dans ses pensées. Visiblement, elle cherchait une explication qu'elle ne trouvait pas. Le cellulaire de Cézanne sonna à ce moment, mais elle n'eut aucune réaction.

Je dois vérifier? Il n'y a techniquement pas de problème... qu'est-ce qui c'est passé!?
pensa-t-elle, son esprit allant dans tout les sens.

La docteure prit une décision à ce moment. Fixant fermement Aqua dans les yeux, son attitude devint calme et imposante.

-Retir ta chemise.
dit-elle sur un ton qui ne laissait pas la place au refus.

Ce n'était pas la femme qui parlait, mais la professionel de la santé.

Alfred ne comprit pas l’état de Cézanne, elle avait clairement repris ses sens et son attitude était tout d’un coup devenu beaucoup plus sérieuse.

Lorsqu’elle lui demanda de retirer sa chemise avec un ton autoritaire, Alfred ôta sa veste et la lança sur une chaise près très loin et commença a déboutonner sa chemise. Il savait que c’était mieux d'écouter quand elle utilisait ce ton là, mais il ne put s'empêcher.

Tu sais, ca serais probablement plus confortable à l’étage que ici, mais je suis ouvert. Lança t’il avec un ton blagueur mais sans arrêter d’enlever sa chemise, se retrouvant torse nu face à Cézanne, tentant de cacher un air légèrement gêné.

On pouvait clairement voir un ton de bronzage légèrement différent lorsqu’on regardait le bras d’Alfred avec un peu d’attention, jusqu'à son pectoraux, la ligne était étrange, elle n’était pas nette, c’est dur a dire ce qui aurait causé la coupure, mais cela donnait l’impression que son bras avait été arraché de son corps.

Le regard de Cézanne sur son corps par contre lui dis qu’elle avait surement utilisé son pouvoir sur lui, il ne savait pas ce qu’elle avait pu voir de son état, il croyait pourtant avoir régénérer ses blessures avec succès.

Quelque chose ne va pas ?   Demanda t’il, comme pour confirmer son hypothèse.

Son pouvoir permet t'il de détecter les blessures passé ? Ça devrait être Axy ça pourtant. Elle aimera surement pas la conversation qui va suivre...

Cézanne était encore dans ses pensées lorsqu'Alfred avait fin de retiré sa chemise. Sa remarque sur l'endroit le plus confortable ne tira même pas de sourire à la docteure. Elle ne fit que commencer à observer le bras d'Alfred. Au début, elle ne fit qu'observer, remarquant la légère démarcation. Elle savait ou la trouver d'instinct grâce à l'information que son pouvoir lui avait fournit.

J'ai déjà vu ça aux urgences... similaire...
se remémora-t-elle.

Sans vraiment y penser, sa main vint se poser la ou il y avait eu coupure. Le cellulaire de Cézanne sonna de nouveau, mais encore aucune réaction de la docteure. Elle était obnubilé par ce qu'elle constatait. Ses doigts suivirent la démarcation pendant un court instant.

-Comment...?
souffla-t-elle.

Visiblement, Cézanne n'arrivait pas à s'expliquer la situation. La docteure semblait un peu sous le choque.

Le sourire d'Alfred se figea un peu lorsque Cézanne suivi du doigt la blessure. Il prit une grande respiration pour se replacer les idées. Il ne pouvait pas lui mentir, alors il était mieux de bien le dire et bien sur, il ne savait pas comment. Alors Alfred fit son choix, être direct était pour le mieux.

Je me suis fait attacher le bras par une Sentinel durant un combat. J’était en forme de glace a ce moment, il a arraché toute la parti ici. Dit-il en touchant son épaule et sa poitrine.

Le souvenir du moment apporta une légère grimace à Alfred, il se rappelait encore la douleur de se faire arracher le bras. Il prit une petite pause avant de continuer, clairement ce n'était pas la fin.

Nous avons été embusqué par un groupe de Sentinel lors d’un déplacement. Dès les premiers moments nous avons perdu presque la moitié du convoi. Après ça tout a été très rapide. J’ai pu m’occuper d’une Sentinel et en endommager une autre mais j’ai été pris par surprise, elles se sont adapter a mon style de combat plus vite que je croyais possible, j'étais à moitié en forme nuageuse quand un rayon de plasma m'a frapper le bas du corps, ça m'a complètement évaporer les jambes. Pour appuyer ses dires il avait légèrement baisser l’avant de son pantalon pour monté une autre démarcation.

A ce moment la j’ai pris ma forme solide par réflexe, ce fut une erreur, la Sentinel que j’avais à moitié détruite ma agripper et arracher le bras en un instant. Le mouvement ma envoyer en l’air sur plusieurs mètres. Les Sentinels ont dû croire que j'étais hors d'état car il ont focuser sur le reste du convoi après cela. J’ai pu quitter la zone, par chance, il y avait une rivière pas très loin et j’ai pu… bien... reconstruire les morceaux si je peux dire.

Alfred avait essayé d’expliquer le tout d’un ton neutre, sans trahir ses sentiments, la peur qu’il avait ressenti à ce moment. Ou que il avait presque arrêter de se trainer au sol sous la douleur en rampant vers la rivière, que le visage de Cézanne dans sa tête était la seule chose qui lui avait donné la force de survivre, qu’il voulait la revoir, qu’il était bien trop tôt pour mourir.

Cézanne eu un regard horrifier lorsqu'il lui raconta ce par quoi il avait du passer. Sa main gauche se plaça devant sa bouche comme pour l'empêcher de pousser un cri d'horreur. Elle comprenait mieux l'information qui s'était présenté à elle à présent, mais cela ne lui plaissait pas du tout. Son visage avait perdu sa couleur d'un seul coup.

J'aurais probablement préférer ne pas savoir finalement.
pensa-t-elle, se sentant malade.

La docteure avait vu des choses terrifiantes ces dernier mois, mais rien ne rivalisait avec cette révélation. Elle comprenait mieux l'urgence d'Alfred pour l'achat d'une maison. Lorsqu'il parla de sa régénération, elle parru très surprise.

-Ça...explique!
réussie-t-elle a articuler.

Je ne sais pas si je vais réussir à regarder ces marques sans avoir une faiblesse dans l'avenir...Bonne chose que ce soit peu apparent!
pensa-t-elle, complètement chamboulé.

Son regard se détourna finalement des cicatrices de guerre pour se dirigé vers le visage d'Alfred. Elle lui fit un petit sourire désolé.

-Je m'excuse. Je t'ai forcé à te remémoré des souvenirs qu'il aurait été préférable d'oublier j'imagine.
dit-elle d'une voix qui se voulait ferme, mais qui trahissait sa fébrilité.

Alfred força un sourire et souleva sa main pour caresser la joue de Cézanne doucement.

Cela fait déjà quelques mois que cela est arriver, environs à la moitié du voyage la bas et tu as le droit de savoir, je ne veux rien te cacher. Les souvenirs ne sont pas plaisant, mais je comptais t’en parler de toute façon. Quoique, probablement que j’aurais attendu de me faire un peu bronzer pour que cela soit moins apparent. Je n’ai jamais eu a utilisé cette facette de mon pouvoir par le passé pour des blessures aussi grave.  

Alfred se permit de faire un sourire un peu plus sincère.

Je ne compte pas avoir à le refaire si possible, ça m'a pris plusieurs jours revenir à la normal.   Dit-il doucement, en fait cela avait pris une semaine pour absorbé et reconstruire ses membres et durant presque tout le processus il ne devait pas reprendre sa forme humaine sans quoi les conséquences serait probablement pire.

A ce moment Alfred se rappela de quelque chose, il avait l’habitude d’ignorer les sonneries facilement dut a son travail mais le téléphone de Cézanne se faisait insistant..

Je crois que quelqu’un essaye de te rejoindre, c’est peut être important. Tu devrais peut être vérifier. Clairement Alfred tentait de changer le sujet, il avait vu le visage de Cézanne changer lors de son explication. Il valait sûrement mieux en rester la sur ce sujet.

La docteure soupira tout de même avec soulagement de savoir que malgré des blessures aussi grave, Alfred n'en garderait pas de séquelles. Elle se sentait toujours un peu chamboulé par toute cette révélation, mais sentir la chaleur de son aimé sur sa joue fit disparaitre un peu de son inconfort.

-Tu fais du sarcasme sur un sujet aussi sensible maintenant! Ne pousse pas trop ta chance!
réplica Cézanne en lui rendant son sourire.

Elle était tenté de le frapper, mais elle n'en fit rien. Elle avait presque peur de le brisé. Un peu après le rappelle d'Alfred sur les appelles insistant qu'elle recevait, ce dernier recommença à sonner. Les yeux de Cézanne s'écarquilla alors qu'elle prit son cellulaire en vitesse.

-Dr. Christopher!
-TU DORMAIS ENCORE SUR TON BUREAU AVOUE!
-Euh...En fait...
-Peut importe! Tu as préparé tes bagages?
-...Ma...
-Ton état s'est encore dégradé? Tu vas bien ma chérie? Dit moi que tu vas bien!
-Je vais bien! Calme toi! J'étais occupé avec un cas plutot important... alors je n'ai pas répondu.
-Si ce n'est que ça... ne me fait plus une peur comme ça! Tu n'es pas sensé avoir des cas si grave là ou tu travailles! Tu m'avais dit que c'était un école pour surdoué...qu'est-ce qui peut bien se passé dans une école!
-Beaucoup de chose...je t'expliquerai plus tard, quand on se verra. Tu voulais me parler de quelque chose d'important?
-Oh oui! Je voulais te rappeller que ton vole est dans 3 heures ma chérie. Si t'es bagage ne sont pas fait c'est le temps! Tu devrais déjà être en chemin!
-Oui... je vais être à l'heure, ne t'inquiète pas.
-Parfait, Fait attention! Je dois y aller! On se voit bientot! Je t'aime!
-Fait attention aussi!  Je t'aime aussi.

Le visage d'Heallya était passer par plusieurs émotions durant ce très court appel. Elle lacha un énorme soupir avant de se prendre la tête entre les mains dans un geste d'impuissance suprême. La docteure qui était si imposante et sur d'elle semblait fondre sur place. Elle n'en menait vraiment pas large.

Et bien c'est un dure retour à une autre réalité
pensa-t-elle

-Comment j'ai pu oublier ça... ah! Non en fait je sais comment j'ai pu oublié ça!
pensa-t-elle à haute voix, en faissant les cent pas.

Devant la réaction de Cézanne, Alfred était certain que quelque chose de grave était arrivé.

Cézanne ? Que ce passe t’il, qu’as tu oublier ?  

Alfred était un peu inquiet, le coup de fil semblait avoir affecté sa bien aimé.

Au moins on a changer de sujet.

Cézanne arrêta de faire les cent pas pour regarder Alfred droit dans les yeux. Sa question était tout à fait légitime mais elle ne savait pas trop comment il prendrait la chose. Elle recommença à faire les cent pas d'un aire très songeur.

-J'ai oublié que je devais partir aujourd'hui!
dit-elle visiblement stressé.

Je ne vais pas laisser Alfred ici quand même! Surtout que son retour change tout!
pensa-t-elle en panique.

Cézanne fini par s'assoire dans les escaliers en soupirant. Elle commençait à avoir mal à la tête, et elle aurait préféré rester dans cette maison plus longtemps. Elle laissa échapper un petit rire.

-Ils vont surement nous tuer un après l'autre...
murmura-t-elle résigné.

La réponse frappa Alfred de plein fouet.

Aujourd’hui ?

Il ne savait pas comment il devait réagir, visiblement ébranlé.

Je ne peux pas l'empêcher d’aller ou que ce soit, cela serait égoïste, si elle a besoin d’y aller quelque part et qu'elle l'avait oublier, surement a cause de mon retour qui la perturber.

Il se rapprocha de Cézanne qui s'était assise dans les escaliers, puis se pencha sur un genou en face d’elle et d’un doigt il lui remonta le menton pour la regarder dans les yeux, son regard était sérieux mais remplis d’affection. Il était toujours torse nu, n’ayant pas remis sa chemise.

Je ne savais pas que tu devais partais si tôt. Si tu a besoin de partir, je comprend. Je suis revenu sans rien dire, je…   Alfred avait à peine commencer sa phrase qu’il ne la finit pas. La dernière phrase et et le petit rire de Cézanne l’avait couper dans son élan.

L’un après l’autre ? Et qui vont nous tuer ?  Alfred n’était pas tout a fait sur de ce qui se passait mais il se rappela leur conversation dans le garage, il venais de faire le lien dans sa tete. Il croyait devoir se séparer d’elle durant un moment. Son visage s'éclaira d'un sourire lorsqu'il réalisa la situation.

Oh je peux être stupide par moment

C’était ta mère au téléphone ? Tu partais chez tes parents aujourd'hui ? Le ton d'Alfred était tout d'un coup beaucoup plus positif. Si c'est ton désire, je t'accompagne jusqu'au bout du monde.

Cézanne s'inquiétait beaucoup de la réaction de ses parents, mais elle n'avait pas pensé une seule seconde qu'Alfred ne viendrait pas avec elle. La docteure éclata de rire lorsqu'Alfred comprit enfin ou elle devait aller.

-J'espère bien que tu vas m'accompagner! Si je leur annonce que mon fiancé est revenu soudainement sans preuve, ils vont me faire hospitaliser!
lança-t-elle en riant.

Je ris mais... ils l'auraient fait. S'aurait pas été la première fois...
pensa Cézanne, resassant ce mauvais souvenir.

Son rire s'effaça rapidement pour revenir à un visage inquiète. Comment allait-elle s'y prendre pour l'anoncer à ses parents? Elle devait les avertir... mais ils étaient du genre à s'emporter facilement... surtout au téléphone. Surtout avec elle... Plus important encore: elle n'était pas prête à partir! Puis une idée lui traversa l'esprit.


-Dit Alfred...
commença-t-elle, avant de ce taire.

Finalement je déteste cette idée... est-ce que j'ai un meilleur choix par contre?
débatti la docteure.

Elle soupira longuement, visiblement contrarié et gêner de devoir lui demander ça.

-Tu as toujours ton jet privé?
fini-t-elle par demander, résigné.

Le sourire d’Alfred ne quitta pas son visage, il semblait clairement heureux.  Lorsque Cézanne commença sa question, il eut un air curieux jusqu'à ce qu’elle la termine. Ce fut alors à son tour d’éclaté de rire.

Il est à l’aéroport. Je n’ai besoin que de faire un coup de fil. Alfred s’avanca vers Cézanne et l’embrassa doucement puis se leva et se tassa de quelque pas pour prendre son cellulaire dans son veston sur la chaise et composé un numéro.

Bonjour Francis, j’espère que vous allez bien. Alfred parlais avec un ton de voit très neutre
Bonjour Mr Pennyworth, comment pouvons nous vous aider aujourd’hui ?
J’aurais besoin que le jet soit préparer pour partir.  
Ce sera avec plaisir, qu’elle serait la destination ? Et quand désirez vous partir ?
Los Angeles, nous aimerions partir aujourd’hui, dans quelques heures si possible.  
Bien sur Mr Pennyworth, allez vous conduire vous mêmes aujourd’hui ?
Non, je serais accompagné, veuillez demander si James est disponible, sinon je vous laisse choisir le pilote. J’aurais peut être besoin aussi d’une suite une fois arrivée sur place, veuillez m’envoyer ce qui est disponible je ferais le choix final.
Parfait, nous allons préparer le tout pour vous. Au plaisir et merci de faire affaire avec nos service.

Un fois la conversation terminée, Alfred ferma son cellulaire puis se retourna vers Cézanne.

Le jet devrait être prêt d’ici quelques heures, comment je peux t’aider à te préparer ? Tu a des bagages à faire ? Comptait tu rester chez tes parents une fois la bas ? Je ne veux pas m'imposer auprès d’eux alors au besoin je prendrais une suite, bien sûr tu es la bienvenue. Nous pourrions choisir l’endroit ensemble.

Alfred semblait être tombé en mode affaire, il était en train de booker le tout comme si il partait travailler.