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Professeur
Nom: Forêt-Lenoir
Prénom: Sérénité
Surnom: Muse
Age: 24ans
Sexe:féminin
Orientation Sexuelle: Hétéro
Nombres d'années depuis arrivé à l'école: 4ans
Description physique: Elle est d'une grande beauté, des chevaux aussi blond que ceux d'un ange et un visage qui inspire la paix intérieur. Elle est mince et élancée.
Description psycologique: Elle est très ouverte d'esprit. C,est une femme très chaleureuse, toujours à l'écoute de son entourage de leur petit problème. C'est quelqu'un de très calme d'ailleurs, elle est très douce.
Qualités: Très compréhensive
Défauts: Elle ne voit que le potentiel des autres, pas le sien.
Peurs: Avoir l'air ridicule
Particuliarités: Un bijou frontal qu'elle porte en permanence
Talents: Tout ce qui touche le domaine artistique.
Pouvoirs: Elle inspire, quand elle le veut bien, tous les gens qui l'entoure, autant par des idées qu'ils leur manques ou leur en imposer.
Description de la mutation: Il n'y en a pas
Point faible: On peut facilement jouer sur ses sentiments.
Limite d'énergie: Après une bonne journée d'inspiration, elle a besoin de bon repos pour renouveller son imaginaire.
Histoire: Sérénité avait vécu en France. Toute peite, elle adorait dessiner, quand elle apprit à écrire, elle commença ses premiers vers. Elle semblait doué dans tout ce qu'elle apprenait. ses doigts étaient agiles, sa voix christaline et ses jambes souples. Sa réelle passion fut longtemps la danse. Elle avait fait de grand ballets.
Plus elle grandissait et plus elle embellissait. Plusieurs garçons s'en apperçurent et tous ses courtisans, par sa simple image arrivaient à lui écrire de magnifiques choses ou improviser des sérénades. Sérénité semblait quelqu'un de très inspirant, parfois peut-être trop. Quand une chicane éclatait autour d'elle, elle devait se retirer, sinon elle ne finirait jamais. Parfois elle avait l'impression d'en être la cause.
Ce fut peut-être pour cette raison qu'elle devint une personne qui préférait inspirer la paix.
Quoiqu'il en fut, elle décida de se retirer du monde des arts. Tous les gens autour d'elle paraissaient toujours meilleurs, ce qui la decevait de son propre travail. Ce fut dans ces années plus sombre qu'une lumière vint l'éclairer sur sa réelle nature.
Elle vivait dans un petit logement par ses propres moyen lorsqu'un homme vint la quérir. Celui-là ne luichanta ni ritournelle et ne lui demanda pas non plus de refaire surface aux yeux des galleries. Il était simplement venu lui offrir un enseignement des plus précieux.