L'aéroport

Pour plus de facilité, les aéroports seront tous regrouper ici (puisqu'il y en a 2 dans le Queens sur 3).
Toujours assez bonder de monde, l'aéroport est spacieux et propre. L'endroit à une architecture moderne, décorer avec plusieurs drapeaux des États-Unies.  Il est facile de s'y retrouver grâce aux multiples indications.

Francis était à bord du jet privé d’Alfred et était à terminé les préparatifs. Le modèle Citation X de Cessna avait fier allure. L’un des avions privés le plus rapide sur le marché depuis le retrait du concorde, le Citation X est à la fine pointe de la technologie.

La version que possède Alfred est aussi un model qui a été modifier pour le confort, de la cabine du pilote au salon en passant par une chambre avec un grand lit, quelqu’un pouvait vivre dans cette avions avec tous les conforts d’un hôtel de luxe. Chose qui est arrivé à Alfred de faire a plusieurs reprise.

Francis c’était assuré que tout les besoins de son client avait été remplis. Comme à l’habitude le garde robe avait été aménagé avec un assortiment de vêtement pour environs une semaine pour un voyage d’affaire. Le bar et la cuisinette avait été remplis selon les goûts de Mr Pennyworth.

Le pilote, James était à préparer le départ,pour pouvoir partir dès que Alfred arriverais sur place. Pendant que Francis  terminait son inspection pour que tout soit prêt pour son client. Il avait déjà remplis tout les papiers pour le vol et avait déjà fait une vérification de suite disponible pour Alfred et avait laisser la  liste dans le salon. Il avait aussi laisser une liste de restaurant à Los Angele ou il pouvait obtenir une réservation sur un très court délais.

Il était en effet un concierge, on l’engageait pour s’occuper des détails et dans son domaine, il était un des meilleurs. Lorsqu’il fut satisfait, il confirma que James avait tout en main et parti. Il avait d’autre client aujourd’hui à rencontrer.

L'exelero arriva à l'aéroport sans problème. Évidemment, la voiture attirait beaucoup l'attention. Cézanne n'y portait plus vraiment d'importance, mais il était vrai que voir une voiture à huit millions de dollars se trimballer dans les rues de New York n'arrivait pas tous les jours!

-Ce n'est pas moi qui conduisait la dernière fois. Ou est-ce que je dois ammener Exel?
demanda Heallya à Aqua surprise de ne vraiment pas s'en souvenir.

J'étais plus en état de choc que ce que je croyais!
pensa Cézanne, se moquant un peu d'elle-même.

Cézanne ralenti considérablement la vitesse, question de respecter les nouvelles limites.

Alfred leva les yeux de son cellulaire.

-Oh, c’est par là dit t-il en pointant une direction. Nous utilisons l'entrée privé, c’est le jet sur l'allée 8, tu peux te rendre jusque là, quelqu’un passera s’occuper de la voiture. Explica Alfred, Les préparations était déjà faite pour la voiture.

Alfred eu un air un peu gêné par contre.

-Mon amour, je ne suis pas certain, je suis a te faire préparer des vêtements, mais j’aurais besoin de détail donc je ne suis pas certain, mon oeil est plutôt bon normalement, mais je ne voudrais pas que tu sois inconfortable si je me trompe.  

Alfred lui passa son téléphone alors que la voiture arrêtés près de l’avion.

-Tien si tu veux ajouter des spécifications avant que je l’envois. Sinon je peux simplement demander une série de robe et tailleur, je me rappel que tu étais ravissante en rouge.  Dit t’il sur un ton taquin.

Cézanne suivit le chemin indiqué par son amoureux. Elle allait lentement pour être sur de retenir le chemin la prochaine fois. Une fois arrêter et le cellulaire d'Alfred dans les mains, Cézanne s'en donna à coeur joie! Elle n'avait qu'une semaine... mais pourquoi ne pas faire plaisir à Aflred pour une fois.

-Je vais dire adieu au jean pour une semaine, plus de jupe et de robe que de pantalon et, pour ton grand plaisir, pas juste du noir... mais je refuse les décolleté plongeant.
dit-elle alors qu'elle donnait les mêmes consignes sur le téléphone ainsi que ses mensurations.

Elle envoya le message sans particulièrement regarder à qui il était envoyer, après tout, c'était quelqu'un en qui Alfred avait confiance. Elle coupa le contacte, laissant la clé en place, puis sortie du véhicule. Une bourrasque de vent fit virevolter ses cheveux et la docteure du les retenir d'une main pour ne pas les avoir tous en plein visage.

-Par ou veux tu que je commence? Par ma relation avec mes parents ou par la raison pour laquelle ils ne réagiront pas aimablement à ta présence?
demanda Cézanne quand Alfred sortie de la voiture à son tour.

Elle s'était acoté à la voiture, ses deux bras croisé sous son menton pour confortablement regarder son conjoint.

Alfred rangea son cellulaire sans regarder ce que Cézanne avait écrit sur celui ci, il lui faisait confiance et après tout c'est elle qui allait porter le tout. Ceci dit son énumération lui donna un sourire, la prochaine semaine serait certainement intéressante. Depuis qu'il la connaissait, rare était les moments qu'elle ne passais pas en jean.

-Bien, j'imagine que ta dernière année et l’impact de mon absence doivent être la raison qu'ils ne seront pas emballé de me voir... Alors je dirais parle moi d'eux en premier. Alfred parlait en indiquant à Cézanne qu'ils pouvaient monter à bord. Sur la piste le vent était plutôt fort et peu propice au discussion importante.

-Mais parlons de cela une fois à l'intérieur à la place.  Continua t-il en se dirigeant vers l'avion appuyant sur un bouton une fois à l’intérieur pour signifier au pilote qu'ils étaient près à partir.

Fait comme chez toi, d'un sens c’est le cas. Ajouta t-il avant de passer au salon de l'avion et se diriger vers le bar pour se servir un verre.

Aimerais tu quelque chose ? Je crois que la conversation risque d'être longue. Il ouvrir un bouteille de whiskey Sullivan's Cove et s’en servit un verre, se retournant ensuite vers Cézanne pour voir si elle désirait quelque chose.

On a quelques heures devant nous, je risque d’en apprendre pas mal… Pensa t’il en se remémorant les débuts de leur relation. On fait pas mal de chemin ensemble et j'apprend encore des choses sur elle.

Cézanne eu un petit sourire donnant raison à Alfred, mais il cachait visiblement quelque chose d'autre. Elle acquiessa à la proposition de son fiancé d'en discuter à l'intérieur du jet. Ne pas devoir se battre avec ses cheveux allait certainement l'aidé à ne pas perdre patience durant ses explications. Une fois à l'intérieur, elle constata que ça n'avait pas changer. Puisqu'elle pouvait faire comme chez elle, la docteure commença par enlever ses chaussures avant de s'effondrer sur l'une des banquettes.

Oh ouais... ça fait un moment que je n'ai pas été allongé sur un truc aussi confortable.
pensa-t-elle en regardant le plafond de l'avion.

Elle se redressa lorsqu'on lui proposa quelque chose. Elle réfléchit un instant puis prit une décission.

- Baileys sans glace s'il-te-plait. La conversation va effectivement être très longue!
confirma Cézanne.

Heallya s'assie en indien avant d'accepter son verre. Elle rassembla ses pensées avant de commencer.

-Mes parents sont assez protecteurs de façon générale! Et quand je dis ''assez'', c'est un euphémisme. Avec du recul, je plain tous les garçons qui ont jamais tenter de m'approcher avec l'idée d'une relation quelconque. Une chance que j'avais d'autres projets en tête!
commença Cézanne

Elle prit une longue gorger. Soupirant grandement en regardant dans le vide. Elle prit son cellulaire et composa un court message. Alfred pu en voir l'intégralité: Dit à maman d'ajouter un couvert, j'ai quelqu'un à vous présentez. Alfred Pennyworth.

Alfred servis un verre à Cézanne et s'assit sur la banquette en face d’elle. Il se plaça de façon confortablement pour lui donner toute son attention.

Lorsqu’elle écrit le message qui clairement été adressée à son père, il était curieux de l’impact que ce message allait causer.

-Comment pense-tu que tes parents réagiront à ce message ? Enfin, continue de me parler d’eux je t’en pris. Mes questions peuvent attendre après Dit t'il prenant une gorgé de son verre.

Alfred avait l’air pensif, il se rappela leur conversation sur leur précédente relations mutuels. Disons que l’ardoise d’Alfred était un peu plus remplis que celle de Cézanne…

Je me demande ce qu’il savent sur moi. Pensa t-il sans poser la question tout de suite., il voulait écouter ce qu’elle avait à dire et voulais garder ses questions pour la fin si possible sinon il poserais des questions tout le temps. Maudite déformation profession d’avocat.

Heallya eu un petit rire. Elle savait exactement comment ses parents allaient réagir, elle n'avait pas besoin d'y penser.

-Et bien, disons que ma crédibilité auprès d'eux n'est pas très bonne. J'ai eu plusieurs phases psychotiques durant mon adolescence. Et dernièrement, je ne devais pas faire beaucoup de sens pour eux. Alors ils vont plus ou moins porter attention. J'ai aussi eu plusieurs crises de somnambulisme... mais maintenant on sait tous les deux ce que c'était...
dit la docteure, parlant clairement d'Axyahell.

Je ne me souviens pas vraiment de l'un ni de l'autre... alors c'était peut-être la même cause?
pensa-t-elle, trouvant l'idée digne d'être explorer plus tard.

Elle étira ses jambes et replaça une mèche de cheveux derrière son oreille.

-Mais bon, j'espère que tu n'as quand même rien à caché! Ils sont protecteurs, mais également attentionné, chaleureux, gentils... intense et terrifiant.
finit-elle, un frisson lui parcourant l'échine.

Elle prit une autre gorger avant de se lever pour rejoindre Alfred. Elle avait vraiment peur de leur réaction.

Lorsque Alfred vu que la situation était propice à quelques questions finalement, il pensa rapidement a l'essentiel qu'il voulait savoir. Mais avant il répondu à la question de Cézanne.

-Si j’ai des choses à cacher ? Je crois que non… Ma famille peut être, surement en fait. On ne devient pas que ce sont les Pennyworth sans avoir quelques squelettes caché j’imagine. Ma soeur pourrais sans doute me dire si nous en avons, mais rien qui me vient à l’esprit qui n’est pas connu en cherchant un minimum sur moi. Dit Alfred de ton sérieux mais complètement sincère. Il prit une gorgé et attendit  que Cézanne soit assise à ses côtés pour continuer.

-Dis moi, que font tes parents ? J’imagine qu’ils ne savent pas que tu es une mutante si je comprend ? Il ne sont pas au courant d’elle ? Quel sont leur opinion sur le sujet en général. Demanda Alfred d’un ton légèrement inquiet.

Je ne suis aucunement caché, une recherche sur internet avec mon nom donnera cette information Pensa t’il se demandant comment ses parents réagiront. Il avait tout de même énormément de réaction sur le sujet, beaucoup de passion aussi. Pas toujours en bien.

La réponse d'Alfred la soulagea... s'aurait été pire s'il avait eu quelque chose à cacher! Surtout qu'elle n'aurait pas été au courant! Sa famille ne l'intéressait pas pour l'instant, il allait être le sujet principale après tout.

-Mon père est médecin, ma mère est pharmacienne. Je ne leur ait...jamais dit? Je ne savais pas trop comment aborder la chose. Je n'étais même pas au courant d'elle! Alors j'imagine que de ce coté là ils n'en savent rien non plus.
répondit-elle en toute franchise.

Elle prit un moment avant de continuer, se blotissant un peu plus sur Alfred.

-De ce que j'ai pu en comprendre, ils ne sont ni pour ni contre. Ils sont du genre à laisser une chance à tout le monde... Je ne crois pas que le fait que tu sois mutant vont les déranger particulièrement. Surtout ma mère... ça risque de lui passer 6 pieds par dessus la tête!
dit-elle en riant un peu.

Cézanne était certaine que la question le rendait très nerveu. Contrairement à elle, il s'affichait fièrement en tant que mutant. Elle soupira, sachant qu'un jour ou l'autre, elle n'aurait pas le choix de leur dire.

Eum...je devrais peut-être lui dire ça aussi... j'espère que ça ne changera rien.
réfléchit-elle

-Je ne sais pas si ça à de l'importance pour toi... mais ce ne sont pas mes parents biologiques. Ils m'ont adopter lorsque j'avais 9 ans.
dit-elle sur un ton neutre.

Pour elle ça ne changeait absolument rien. Ces personnes l'avaient élevé, habillé, nourrit et par dessus tout aimé. Qu'elle ait des liens de sang ou pas, ils seraient toujours ses parents.

Alfred fut agréablement surpris de savoir que ses parents n’avait pas de préjugé de base face au mutant, c’était un bon départ selon lui. Il se rappela quand il découvrit l’autre moitié de Cézanne et elle aussi.

-Donc toute ta famille sont dans le domaine médical, on risque d’avoir de quoi discuter c’est sur. Pour le sujet d’être un mutant, je ne toucherais pas le sujet sauf s’il vient sur la table à propos de moi et je ne parlerais pas de ton cas de toute façon, c’est quelque chose de trop personnel. Mais je suis heureux de savoir que ta famille est ouverte.  Répondu Alfred visiblement soulagé.

Lorsqu’elle parla du fait qu’elle était adopté il eut un petit sourire.

-Si tu veux mon sujet sur l’adoption, il faut avoir un très grand coeur pour adopter un enfant. Ta famille t'a choisie, toi, personne d’autre et de la façon que tu m’en parle ils semblent t’aimer beaucoup, que ce soit par sang ou par choix, un lien familiale c’est ce qui est important.

Alfred sembla se perdre un peu dans sa tête en parlant de famille. Clairement le sujet était délicat. Il regardait dans le vide en passant son bras autour des épaules de Cézanne.

-Es-tu enfant unique ?  lui demanda t-il après un moment, sa propre soeur lui revint à l’esprit.

Cézanne fut soulagé de savoir que son statut d'enfant adopter ne posait aucun problème. Elle était de l'avis d'Alfred: adopter un enfant était une preuve d'un très grand coeur. Cependant, ce n'était pas tout le monde qui partageait cette opinion. Elle avait été prise pour souffre douleur à cause de cette différence plusieurs fois.

Les enfants et les adolescents peuvent être vraiment méchants...
se dit-elle avec une pointe de chagrin.

-Euh, oui. Je n'ai pas de frère ni de soeur. J'imagine que j'étais assez!
dit-elle en haussant les épaules.

Cézanne voyait bien que quelque chose troublait son fiancé et ce n'était pas la nervosité de rencontré des parents un peu intense sur la protection et le bien être de leur fille. Pour sa part, Heallya était redevenu étrangement calme. Elle déposa un baiser sur la joue d'Alfred, le regardant avec un petit sourire intérogateur. Elle n'osait pas lui demander directement quel était le problème... elle lui laissait le choix de se confier à elle ou non.

Alfred était pensif durant un moment mais il remarqua qu’elle le regardait avec un regard interrogateur.

-Ah ! Regarde moi, On parle de ta famille et ça me fait pensé à la mienne. Ce n'est rien, ma situation est un peu plus compliqué. Disons que mes parents n’ont pas gérer mon statut de mutant de la même façon que les tiens risque de le faire. Alors la rencontre avec mes parents sera certainement intéressante aussi. Par contre ma sœur risque de t'adorer. Alfred soupira un peu et pris une gorgé et se retourna vers Cézanne.

-Tu semble croire que je vais passer un moment difficile. Que savent tes parents sur moi ? Je dois m’attendre a quel genre de réception ? Questionna t-il à la fois car il était curieux et car il préférait parler de la famille de Cézanne en ce moment. C’était le problème immédiat de toute façon.

Pendant qu’ils parlaient l’avion avait déjà entamé son départ et prenait de l’altitude vers Los Angeles

*Ciel des États-Unis*

Cézanne accepta cette réponse, elle s'aurait toute l'histoire bien assez tôt de toute façon.

Ses parents ont mal réagit donc... c'est dommage.
pensa-t-elle, un peu désolé pour Alfred.

Le problème de ses propres parents lui semblait un peu loin et facilement surmontable à la vu de cette révélation. Puis la question la fit revenir sur terre. Elle pouffa légèrement.

- Je crois que l'on va passer un moment difficile tous les deux!
s'exclama-t-elle

Elle laissa échapper un soupire en regardant son verre. Son regard vient rejoindre celui d'Alfred très rapidement.

-C'est bien ça le problème... Mon père risque d'en savoir trop.
déclara-t-elle

*Ciel des États-Unis*